
16 Blocks de Richard Donner (2006)
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
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Charles était très bien dans "Beethoven" ! Tiens voilà un film qu'il faudrait que je revoie moi ! En plus là, Noel, la féérie, ça serait nickel !Haribo a écrit :C'est toujours mieux que Charles Grodin !celia0 a écrit :C'est un black qui joue sondra Locke?


"J'ai essayé de me suicider en sautant du haut de mon égo. J'ai pas encore atteri... "
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bande annonce : http://www.apple.com/trailers/wb/16blocks/hd/
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vu et c'est presque bon. Déjà willis en fait des tonnes en looser alcoolo. La première scène dans la rue est vraiment bonne ... malheureusement Donner c'est pas le roi du thriller brut de pomme qui défouraille. Ca aurait mérité plus d'action et plus de tension. C'est quand même parfois bien pepère et avec un sujet pareil il aurait pu foutre le feu à NY. Reste une bonne histoire entre les 2 persos et 2/3 scènes d'action pas trop mal. A louer en tout cas car parfait pour un samedi soir si vraiment on a rien d'autre à voir.
Ca démarre pas trop mal, même si les auteurs ont la patte un peu lourde pour nous faire comprendre que Bruce Willis est au bout du rouleau - il arrive à peine à monter un escalier !
La première confrontation entre Willis et David Morse est bien tendue et laisse augurer un film plutôt carré. Mais ça devient progressivement mollasson, répétitif et passé la première heure on commence à compter les clichés.
Sympa quand même et nettement supérieur au précédent Donner.
La première confrontation entre Willis et David Morse est bien tendue et laisse augurer un film plutôt carré. Mais ça devient progressivement mollasson, répétitif et passé la première heure on commence à compter les clichés.
Sympa quand même et nettement supérieur au précédent Donner.
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Ca comence pas trop mal avec 30 premières minutes pas tendues mais sympa....
Puis ça devient du DERRICK larmoyant avec le pauvre petit témoin qui veut ouvrir son commerce de gâteaux d'anniversaire (!!!) , y'a aucune violence (body count=1 mec) , c'est attendu , aucune tension.....Un petit film de merde , mais vraiment nul , ne perdez pas votre tmeps
Puis ça devient du DERRICK larmoyant avec le pauvre petit témoin qui veut ouvrir son commerce de gâteaux d'anniversaire (!!!) , y'a aucune violence (body count=1 mec) , c'est attendu , aucune tension.....Un petit film de merde , mais vraiment nul , ne perdez pas votre tmeps
"Si on devait tirer sur tout ce qui bouge,on vieillirait bien seuls"
"En France je suis considéré comme un gros nul, En Allemagne comme un raté, En Angleterre aussi et aux Etats-Unis pareil"
Michael Bay
"En France je suis considéré comme un gros nul, En Allemagne comme un raté, En Angleterre aussi et aux Etats-Unis pareil"
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Vu hier, j'ai franchement bien aimé, Willis y est étonnant et le scénar, si pas original, est suffisamment bien fait pour qu'on soit pris du début à la fin, malgré quelques longeurs. Mais la voix française de Mos Def, beurk..
Sinon, j'ai vu la version location, c'est à dire, sans la fin alternative (uniquement sur la version vente).
QQu'un a vu cette fin et pourrait la raconter ? Merci d'avance.
Sinon, j'ai vu la version location, c'est à dire, sans la fin alternative (uniquement sur la version vente).
QQu'un a vu cette fin et pourrait la raconter ? Merci d'avance.
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16 BLOCKS, ou le pouvoir insoupçonné du yaourt.
vu sur le DVD Z2 Metropolitan. Bonne compression, son 5.1 excellent (pas vu la VF donc pas testé le DTS -encore une fois, il n'existe qu'une piste DTS en français, et pas en VO
)
Je me suis surpis à aimer le film, en fait, tout du moins dans sa première heure. Bruce Willis nous joue à George C Scott période 1980-1985, ventripotent vieillissant et fatigué. Pas désagréable, mais je le préfère dirigé par Alan Rudolph dans Pensées Mortelles pour le côté antipathique ambigu.
Le plus insupportable (même si le rôle est voulu comme ça) est Mos Def, ave sa voix nasillarde et son anglais quasi-incompréhensible. Là aussi, bien dirigé, il peut donner une interprétation solide ( The Woodsman avec Kevin bacon). Et on a du mal à croire à Mos Def en braqueur repenti dont le seul but dans la vie est d'ouvrir une patisserie à Seattle spécialisée en gateaux d'anniversaires
Le problème demeure la dernière demi-heure, et son avalanche de retournements de situations. Dès l'arrivé du capitaine sur le lieu du bus accidenté, j'ai regardé mon lecteur DVD et j'ai Oh56 et je me suis dit... "hein, encore quarante minutes? Bon." ben... bon. Et ça rebondit de partout, le film ne s'embarassant pas de fioritures ou d'invraisemblances.
Il n'ya pas vraiment de bons et de méchants dans le film, pratiquement que des bad guys (si on met de côté de D.A au final). et le personnage de Willis, criant de volonté de rédemption, prend ainsi une dimension inattendue. Les scènes d'action sont vraiment bien filmées, pleines de punch.
Ca se laisse en effet voir pendant une soirée pas compliquée. je rentrais du sport, il était 21H30 et j'avais le temps de me manger ma salade et mon filet de dinde tout en regardant le film sans problème. J'ai manqué quelques images pour prendre un yaourt et une poire pour dessert sans que je ne manque pour autant la compréhension de l'histoire, en suivant les dialogues.
En y réfléchissant, je me demande si c'est du bon cinéma ou pas, le fait de comprendre le film uniquement par les dialogues - comme si les images n'avaient pas besoin d'exister. Bizarre, non?
Aaaaah, le pouvoir insouçonné du yaourt!
NB : Je me suis même demandé à un moment si le père Willis n'était pas en fait gay (lorsqu'il va dans ce qu'on croit etre son appartement, il y a une photo d'un gars sur la table de nuit. Là j'ai fait
Waow. En fait non, c'est simplement l'appartement de sa soeur
. 1/2 seconde de vraie surprise dans un film de Richard Donner et dans un film avec Bruce Willis! Mais pour les spectateurs de manière générale, cette perspective était inevisageable, j'imagine
)
vu sur le DVD Z2 Metropolitan. Bonne compression, son 5.1 excellent (pas vu la VF donc pas testé le DTS -encore une fois, il n'existe qu'une piste DTS en français, et pas en VO

Je me suis surpis à aimer le film, en fait, tout du moins dans sa première heure. Bruce Willis nous joue à George C Scott période 1980-1985, ventripotent vieillissant et fatigué. Pas désagréable, mais je le préfère dirigé par Alan Rudolph dans Pensées Mortelles pour le côté antipathique ambigu.
Le plus insupportable (même si le rôle est voulu comme ça) est Mos Def, ave sa voix nasillarde et son anglais quasi-incompréhensible. Là aussi, bien dirigé, il peut donner une interprétation solide ( The Woodsman avec Kevin bacon). Et on a du mal à croire à Mos Def en braqueur repenti dont le seul but dans la vie est d'ouvrir une patisserie à Seattle spécialisée en gateaux d'anniversaires


Le problème demeure la dernière demi-heure, et son avalanche de retournements de situations. Dès l'arrivé du capitaine sur le lieu du bus accidenté, j'ai regardé mon lecteur DVD et j'ai Oh56 et je me suis dit... "hein, encore quarante minutes? Bon." ben... bon. Et ça rebondit de partout, le film ne s'embarassant pas de fioritures ou d'invraisemblances.
Il n'ya pas vraiment de bons et de méchants dans le film, pratiquement que des bad guys (si on met de côté de D.A au final). et le personnage de Willis, criant de volonté de rédemption, prend ainsi une dimension inattendue. Les scènes d'action sont vraiment bien filmées, pleines de punch.
Ca se laisse en effet voir pendant une soirée pas compliquée. je rentrais du sport, il était 21H30 et j'avais le temps de me manger ma salade et mon filet de dinde tout en regardant le film sans problème. J'ai manqué quelques images pour prendre un yaourt et une poire pour dessert sans que je ne manque pour autant la compréhension de l'histoire, en suivant les dialogues.
En y réfléchissant, je me demande si c'est du bon cinéma ou pas, le fait de comprendre le film uniquement par les dialogues - comme si les images n'avaient pas besoin d'exister. Bizarre, non?
Aaaaah, le pouvoir insouçonné du yaourt!
NB : Je me suis même demandé à un moment si le père Willis n'était pas en fait gay (lorsqu'il va dans ce qu'on croit etre son appartement, il y a une photo d'un gars sur la table de nuit. Là j'ai fait



Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?