Retour dans les années 40, Indiana se trouve une fois de plus coursé par les nazis, toujours en quête de pouvoir. Plus d'Arche, mais le Saint Graal, rien que ça !! Seulement, le père d'Indiana revient lui aussi...
A égalité avec le second pour moi, pas foncièrement original mais franchement jubilatoire !!
Spielberg ne se foule pas trop, et reprend la trame du premier dans les grandes lignes : un objet sacré, des nazis et Indiana.
Seulement, Spielberg fait bien mieux que le premier film du coup, en levant le voile, dans l'excellente intro, sur la jeunesse d'Indiana Jones et incluant le personne du père joué par ce british de Sean Connery !!
L'imagerie "Second World War" bat de son plein, et le detour par Venise n'est pas non plus negligeable. Outre des idées formidables (la rencontre accidentelle avec...Hitler
, la poursuite à moto , le combat en avion, le tank...), ce volet permet au defunt River Phoenix d'incarner Indiana himself, lors d'une introduction déchainée et mouvementée comme seul Spielberg à l'habitude de nous donner dans sa fameuse trilogie. Ce troisième opus se termine sur une touche hautement fantastique, avec ce templier fantôme reservant une mauvaise surprise au bad guy. Un clin d'oeil savoureux au premier film, avec l'utilisation très astucieuse et hyper efficace du morphing.
Indémodable !!
La dernière (???) Indiana Girl reste ma favorite
, la plus belle et la plus ambigue (She's a Nazi !!!). Alison Doody, malgré sa beauté rayonnante, se fera discréte dans le cinéma, pour ne pas dire invisible. Ptain les Indiana Girl n'auront pas eu la belle vie 
