Un Fulci mesestimé et trop méconnu qui est une petite exception dans le déclin de sa carrière.
Il miele del diavolo prend comme thème l'amour-passion, l'amour qui mène inéluctablement vers la folie mais égalemnt les relations ténues enre un bourreau et sa victime. On pense souvent à 37°2 le matin dt il pourrait être une sorte de resucée.
Aprés une ouverture assez vulgaire et inhabituelle pour Fulci, une ouverture à la limite du X, l'heroine se fait caresser par une clarinette qui recueille sa mouille suivi dune visite chez une pute particulièrement crade, le film prend ses aises et glisse progressivement vers le drame et la folie.
Ayant perdu son amour- qu'elle masturbe d'ailleurs en faisant de la moto, ca donne dse idées ca

-, elle en tient pour responsable le chirurgien qui l'a opéré, le kidnappe et va lui faire subir les pires humiliations, le traitant en animal, nu et tenu en laisse.
Mais une étrange relation va naitre eux, sorte d'amour/répulsion/fascination, une relation ténue mais forte, trouble et malsaine jusqu'au final assez ouvert...
Plutot agréablement mis en scène, bien interprété, bénéficiant d'un joli score et d'une belle photographie, ce film est à découvrir et à réestimer.
Niveau casting, le vieux Brett halsey, une Corinne Clery défraichie mais qui pose encore nue, la sale

!
Plus interessant, le beau Stefanio Madia

dans le role de Stefano et la Bianca Marsillac, soeur de Cristina, au 3/4 quart du temps nue, la Marsillac en parfaite sale simulant à merveille la folie.
Le film est sortie en salles en 1988 sous le titre Plaisirs pervers.
hé!Hé! Dragon, tu as de la touche ds l'air, on dirait!! OH MON DIEU comme s'exclamerait qqn!!
