Il était une fois dans l'oued de Djamel Bensalah (2005)
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Il était une fois dans l'oued de Djamel Bensalah (2005)
Je ne sais pas de quoi ce parle ... par le réal du Ciel les Oiseaux et ta mère (j'adore le titre) ...
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Visiblement, ça parle d'un français qui se prend pour un algérien.
Avec le même acteur qui avait déjà une attitude similaire dans le film précédent de Djamel Bensalah (qui était très mauvais mais bon, ça, c'est un autre histoire !
).
Le sujet est originale, mais si je me fie à la bande annonce, on va visiblement avoir le droit a une succéssion de gag plus ou moins drole uniquement basé sur cette situation étrange, probablement avec la structure des comédies dramatiques classique. 1H d'exposition et de développement marrants, 10 minutes de "situation de crise" puis 20 minutes de dénouments plus ou moins drole. (En tout cas, c'était comme ça dans l'ultra nul "Le ciel, les oiseaux et ta mère", du même Djamel Bensalah)
Enfin bon, on verra bien
Avec le même acteur qui avait déjà une attitude similaire dans le film précédent de Djamel Bensalah (qui était très mauvais mais bon, ça, c'est un autre histoire !

Le sujet est originale, mais si je me fie à la bande annonce, on va visiblement avoir le droit a une succéssion de gag plus ou moins drole uniquement basé sur cette situation étrange, probablement avec la structure des comédies dramatiques classique. 1H d'exposition et de développement marrants, 10 minutes de "situation de crise" puis 20 minutes de dénouments plus ou moins drole. (En tout cas, c'était comme ça dans l'ultra nul "Le ciel, les oiseaux et ta mère", du même Djamel Bensalah)
Enfin bon, on verra bien

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J'ai vu les deux films de Bensalah, Le Ciel (...) et Le Raid. A chaque fois, je me dit que ce Djamel serait plus à l'aise dans le drame. Autant ses gags sont variables, autant il a un dont pour capter le truc triste ou glauque. D'ailleurs ses deux films sont bizarres, des bouts de comédie et des bouts de drame, sans demi-teinte...
Gna !
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Si à l'instant, ça m'avait pas sauté aux yeux avant. Après Gomez et Tavares sur une idée originale de Gomez et Tavares, voila le film inspiré du 113.
Maintenant j'attends Sitcom du Ghetto, comédie aigre douce sur une histoire originale de Disiz Lapeste, Ma Benz' où deux lascars vont draguer des meufs en mercedes, sur une idée orignale d'NTM ou J'Temmerde, long film subversif sur une idée originale d'MC Jean Gab1...
Maintenant j'attends Sitcom du Ghetto, comédie aigre douce sur une histoire originale de Disiz Lapeste, Ma Benz' où deux lascars vont draguer des meufs en mercedes, sur une idée orignale d'NTM ou J'Temmerde, long film subversif sur une idée originale d'MC Jean Gab1...
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En tous cas, l'affiche nous révèle la population de spectateurs que le film cible grâce à son esthétique générale, et surtout grâce la tête du héros.
Ainsi le coeur de cible de ce film est le suivant : pensionnaires d'asiles et autres ADAPEI, appréciant la mauvaise musique soit-disant "de banlieue", et dotés d'un sens visuel atrophié.
En terme de marketing, on appelle cela une niche, tant le nombre de personnes potentiellement intéressées doit être faible (qui à dit zéro ???).
Pardon à tous les pensionnaires d'asiles et autres ADAPEI, appréciant la mauvaise musique "de banlieue", et dotés d'un sens visuel atrophié. Je n'ai rien contre vous... j'en veux juste à l'initiateur de ce film dont le résultat est d'avance connu de tous. Quand je pense que cela va coûter plusieurs millions d'euros... 
Ainsi le coeur de cible de ce film est le suivant : pensionnaires d'asiles et autres ADAPEI, appréciant la mauvaise musique soit-disant "de banlieue", et dotés d'un sens visuel atrophié.
En terme de marketing, on appelle cela une niche, tant le nombre de personnes potentiellement intéressées doit être faible (qui à dit zéro ???).


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et ben c'est loin d'être une merde. On parle au dessus de la cible du film. Je me demande quel est leproblème. Un film intello français vise aussi une cible, coute aussi cher et ne gagne jamais d'argent.
En fait Djamel Bensalah réussi un partie de son film mais rate l'autre.
Déjà c'est une bonne idée de placer le film en 1988. L'Algérie n'est pas encore tomber dans la guerre civile, les tensions en palestine sont présentes mais moins que maintenant et la génération de ceux née juste avant l'ère mitterand tient les marches des cités.
Bensalah dresse un beau portrait comique de ce français joué par Courbet pour une fois excellent, qui se prend pour un musulman, parle et vie comme un musulman et dont le rêve est de revoir son village natal. Tout le monde lui dit qu'il est français et se fout de sa gueule. Mais peut être n'a t'il pas tord. Le réal montre bien les déracinés, l'envie de retrouver ses racines, de s'attacher à une terre, même si peut être on ne l'a jamais foulée. Comme dit Amina "On appartient à la terre où l'on se sent le mieux". Rejecté par pas mal de monde, Courbet est donc une personne entre 2 terres. Le match de foot est un grand moment de douleur d'ailleurs et on remarque que le réal n'est pas si con que cela et parvient à faire passer son petit message.
C'est bizarre car en contreparti, il loupe l'histoire d'amour du film dont on se fout un peu. Surtout il arrive à faire passer le mariage forcé comme un acte bana et normal sans le juger un seul instant. Même si il est contesté par le fils... la fille ne se pose pas de question.
Malgré tout, le film respire la bonne humeur .... et surtout on revoit à l'écran Karina Testa de Ze Film.



En fait Djamel Bensalah réussi un partie de son film mais rate l'autre.
Déjà c'est une bonne idée de placer le film en 1988. L'Algérie n'est pas encore tomber dans la guerre civile, les tensions en palestine sont présentes mais moins que maintenant et la génération de ceux née juste avant l'ère mitterand tient les marches des cités.
Bensalah dresse un beau portrait comique de ce français joué par Courbet pour une fois excellent, qui se prend pour un musulman, parle et vie comme un musulman et dont le rêve est de revoir son village natal. Tout le monde lui dit qu'il est français et se fout de sa gueule. Mais peut être n'a t'il pas tord. Le réal montre bien les déracinés, l'envie de retrouver ses racines, de s'attacher à une terre, même si peut être on ne l'a jamais foulée. Comme dit Amina "On appartient à la terre où l'on se sent le mieux". Rejecté par pas mal de monde, Courbet est donc une personne entre 2 terres. Le match de foot est un grand moment de douleur d'ailleurs et on remarque que le réal n'est pas si con que cela et parvient à faire passer son petit message.
C'est bizarre car en contreparti, il loupe l'histoire d'amour du film dont on se fout un peu. Surtout il arrive à faire passer le mariage forcé comme un acte bana et normal sans le juger un seul instant. Même si il est contesté par le fils... la fille ne se pose pas de question.
Malgré tout, le film respire la bonne humeur .... et surtout on revoit à l'écran Karina Testa de Ze Film.


