revu ce week end à l'occasion d'une nuit de l'horreur organisée par un cinoche près de chez moi...
alors je dois dire que j'adore la BO du film, et que finalement je l'apprécie jusqu'à l'apparition du premier monstre ( dans le viseur du camescope).
Ensuite je le trouve quand même pas mal ridicule^^
En gros j'aime assez le film ( qui me rappelle delivrance dans sa première partie) jusqu'à ce qu'il bascule dans sa partie horreur que je trouve foireuse^^
je trouve en définitive les monstres plutot nazes et la mise en scène clippesque pour traduire la sauvagerie saoulante au bout d'un moment...
et décidemment je ne me fais toujours pas à cette fin...
Modifié en dernier par Capricornnoshura le mer. avr. 09, 2008 1:18 am, modifié 1 fois.
Pour la ptite histoire l'affiche reprend une photo de dali
Biensur ils ont oublié au passage que si le sujet et le fond on la même teinte bah ça marche pu.
woups, parcontre la compo des femmes est bien de dali nan ? Enfin l'original car là dali est sur la photo donc l'on ptet refait pour montrer l'oeuvre et le créateur (c'est bien lui au moins sur la photo hein ? ^^) nan ?
Bon j'avou que les cours d'histoire de l'art j'y ai pris que ce qui m'intéressait.
D'après ce que j'ai compris, la partie femmes/squelette du montage est réalisée aussi par Halsman, en référence à une oeuvre antérieure de Dali présentant le même motif (mais que je ne crois pas avoir jamais vue).
En fait Dali a beaucoup travaillé avec des photographes dont Halsman. Dans les années 50 (je ne suis pas spécialiste mais si ma mémoire est bonne je dirais 1951), ils ont eu envie de réaliser des photos de corps entremélés. Dali a donc réalisé un croquis pour visualiser vaguement le truc, et Halsman s'est chargé de la composition graphique de la photo. Il n'existe pas a proprement parlé d'image originale.
L'oeuvre est cette photo. Une oeuvre commune.
Tiens et pis hop !
Not only does God play dice, but... he sometimes throws them where they cannot be seen - Stephen Hawking
The moth with that scull (with exactly the same pattern of the women), was first seen in the movie of Luis Bunuel Un Chien Andalou that Bunuel made with his good friend Dali on 1929.
Vu ce week avec des amis et the Descent plait beaucoup, beaucoup aux filles, qui s'immergent dans le film jusqu'à s'identifier à ces sportives de l'extrême qui se muent en fighteuses sauvages. Donc éviter de les embêter après the Descent, parce que c'est un coup à se faire latter les couilles par ces desmoiselles.
Sinon le film reste un monstre d'efficacité dans sa dernière partie, et tout le monde a sa petite idée sur le climax, ce qui est plutôt sympathique.
Rigolote l'affiche US sinon :
Wishmaster, tout comme "The Relic", n'est pas le film du siècle.