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The Omen 666 - de John Moore - 2006
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
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antropophagus
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Nous sommes aujourd'hui le 6 juin 2006, c-à-d le 06-06-2006. Date qu'on peut synthétiser par 6-6-6, le nombre de la bête. 
Aujourd'hui, c'est la Fin Du Monde !
La preuve, Damien l'Antechrist revient sur nos écrans dès aujourd'hui. Bon, en France, la date officielle est prévue pour le 7, mais la Fox a organisé des avants-premières aujourd'hui dans plus de 200 salles pour fêter l'avènement du Malin !
Et, autant le dire tout de suite, ce remake n'est pas folichon-folichon. J'avoue ne pas apprécier particulièrement le film de Donner, que je trouve assez fade et ennuyeux. Mais ce remake de John Moore n'arrange rien, en vérité. Si la distribution s'avère a priori intéressante, la direction d'acteurs est très faible, seul Mia Farrow s'affirmant comme une actrice vraiment à l'aise dans cette histoire.
Elle incarne la nurse de Damien, femme maléfique, à la fois inquiétante et cabotine. Julia Stiles, dans le rôle de la mère de Damien, est sans doute un des points les faibles du métrage tant elle surjoue lourdement... Le scénario suit très fidèlement la trame de l'original, se contentant de rajouter quelques détails à droite ou à gauche. Mais il ne faut guère s'attendre à de grandes surprises. L'acteur jouant Damien est faible, lui aussi, mais on ne le voit pas trop.
Tout n'est pas nul à bouffer du foin néanmoins. Certaines scènes de terreur passent correctement. La pendaison-suicide reste efficace. La décapitation est agréablement réinventée. La photo est agréable, et il y a une certaine ambiance gothique intéressante qui plane là-dessus, particulièrement au travers de décors tels que le monastère italien ou le cimetière étrusque...
Mais bon, un remake très dispensable quand même...
Petite Dépèche AFP
"LA FIN DU MONDE EST POUR AUJOURD'HUI !
HONG KONG (AFP) - La date du mardi 6 juin 2006, soit le 06/06/O6, correspondra pour certains au signe maléfique 666, chiffre biblique du diable, soupçonné de provoquer d'épouvantables désastres, et peut-être même la fin du monde.
Les bookmakers américains ont pris des paris sur les catastrophes attendues en ce jour qui a reçu la dénomination technique de "l'hexakosioihexekontahexaphobie".
666 est appelé "chiffre de la bête" dans le dernier chapitre de la Bible, le Livre des Révélations ou "Apocalypse de Jean".
Le 18e verset du 13e chapitre, avec son apparente allusion à la venue du diable, a longtemps intrigué les chercheurs comme les démonologues et alimenté un imaginaire riche en complots et conspirations qui a beaucoup inspiré les romans d'horreur.
Toutefois, de l'avis des chercheurs chrétiens, la Bible ne se réfère pas au diable mais aux empereurs romains Néron et Domitien qui avaient ordonné l'extermination des premiers chrétiens.
Pour beaucoup d'autres, 666 est le signe authentique de l'Antéchrist, un symbole caché dans différentes sortes d'objets et notamment dans cette date du 06/06/06.
Les fondamentalistes chrétiens, aux Etats-Unis mais aussi ailleurs, se sentent concernés par cette date.
Le site Raptureready.com, qui fournit quotidiennement un indice de probabilité de la fin du monde, a gratifié la journée du mardi 6 juin 2006 de l'indice 154. Un record qui n'avait été battu qu'en septembre 2001 au lendemain des attaques terroristes contre les tours jumelles de New York.
A Denver (Colorado), la police a annoncé qu'elle renforcerait ses patrouilles pour faire face à une éventuelle recrudescence des activités diaboliques.
Aux Pays-Bas, une organisation évangélique protestante a appelé 2.000 chrétiens néerlandais à prier pendant 24 heures afin de "conjurer les forces satanistes actives à l'occasion de cette journée diabolique". Les fidèles devront prier du lundi à 6 heures du soir jusqu'au mardi à la même heure.
Sur le site de l'organisation (http://www.ambasmin.org) on peut lire: "Le Diable a noté la journée du 6 juin en haut de son agenda de destruction (...) Les forces les plus puissantes du mal comme les satanistes, les francs-maçons (...), New Age, Sorcières etc. vont essayer ce jour-là de réaliser les plans qu'a Lucifer pour le monde".
Parallèlement, l'alignement 6/6/6 sera l'occasion de différentes sortes de manifestations.
En Inde, plusieurs cinémas ont décidé de sortir mardi le film d'horreur "The Omen 666" (Le présage 666) à 6 heures, 6 minutes, 6 secondes du soir.
En Italie, plusieurs salles à Turin, Rome, Florence ou Gênes projetteront le même film mais six minutes après minuit dans la nuit de lundi à mardi.
Ce film, qui sort également mardi en République tchèque, a été réalisé par John Moore et tourné en partie à Prague l'an dernier. Remake de "La Malédiction" (1976), il raconte les mésaventures de Damien, né orphelin à la sixième heure du sixième jour d'un sixième mois, qui se découvre être une réincarnation de l'Antéchrist.
Aux Etats-Unis, les résidents de la ville de Hell (Enfer) dans le Michigan comptent organiser une fête géante afin, précise le maire de la ville, que les gens puissent dire qu'ils ont "fait la fête en Enfer un 666".
En Grèce, où a été écrit l'Apocalypse de Jean, des militants de la laïcité annoncent une manifestation "satanique" à Athènes: ils présenteront au public "Le Fléau de Dieu", pamphlet contre le chef de l'Eglise grecque orthodoxe, Mgr Christodoulos.
Les croyances liées au caractère satanique de certains nombres ont été popularisées par des films qui ont battu des records d'affluence comme La Malédiction ou L'Exorciste ainsi que par les romans d'horreur de Stephen King.
Une tendance renforcée par la sortie la semaine dernière du film tiré du best-seller de Dan Brown, "The Da Vinci Code" où un Professeur de Harvard décrypte, à la suite du meurtre du conservateur du Louvre, un enchaînement de messages codés qui aboutissent à des révélations atypiques sur la vie du Christ."
Aujourd'hui, c'est la Fin Du Monde !La preuve, Damien l'Antechrist revient sur nos écrans dès aujourd'hui. Bon, en France, la date officielle est prévue pour le 7, mais la Fox a organisé des avants-premières aujourd'hui dans plus de 200 salles pour fêter l'avènement du Malin !
Et, autant le dire tout de suite, ce remake n'est pas folichon-folichon. J'avoue ne pas apprécier particulièrement le film de Donner, que je trouve assez fade et ennuyeux. Mais ce remake de John Moore n'arrange rien, en vérité. Si la distribution s'avère a priori intéressante, la direction d'acteurs est très faible, seul Mia Farrow s'affirmant comme une actrice vraiment à l'aise dans cette histoire.
Elle incarne la nurse de Damien, femme maléfique, à la fois inquiétante et cabotine. Julia Stiles, dans le rôle de la mère de Damien, est sans doute un des points les faibles du métrage tant elle surjoue lourdement... Le scénario suit très fidèlement la trame de l'original, se contentant de rajouter quelques détails à droite ou à gauche. Mais il ne faut guère s'attendre à de grandes surprises. L'acteur jouant Damien est faible, lui aussi, mais on ne le voit pas trop.
Tout n'est pas nul à bouffer du foin néanmoins. Certaines scènes de terreur passent correctement. La pendaison-suicide reste efficace. La décapitation est agréablement réinventée. La photo est agréable, et il y a une certaine ambiance gothique intéressante qui plane là-dessus, particulièrement au travers de décors tels que le monastère italien ou le cimetière étrusque...
Mais bon, un remake très dispensable quand même...
Petite Dépèche AFP
"LA FIN DU MONDE EST POUR AUJOURD'HUI !
HONG KONG (AFP) - La date du mardi 6 juin 2006, soit le 06/06/O6, correspondra pour certains au signe maléfique 666, chiffre biblique du diable, soupçonné de provoquer d'épouvantables désastres, et peut-être même la fin du monde.
Les bookmakers américains ont pris des paris sur les catastrophes attendues en ce jour qui a reçu la dénomination technique de "l'hexakosioihexekontahexaphobie".
666 est appelé "chiffre de la bête" dans le dernier chapitre de la Bible, le Livre des Révélations ou "Apocalypse de Jean".
Le 18e verset du 13e chapitre, avec son apparente allusion à la venue du diable, a longtemps intrigué les chercheurs comme les démonologues et alimenté un imaginaire riche en complots et conspirations qui a beaucoup inspiré les romans d'horreur.
Toutefois, de l'avis des chercheurs chrétiens, la Bible ne se réfère pas au diable mais aux empereurs romains Néron et Domitien qui avaient ordonné l'extermination des premiers chrétiens.
Pour beaucoup d'autres, 666 est le signe authentique de l'Antéchrist, un symbole caché dans différentes sortes d'objets et notamment dans cette date du 06/06/06.
Les fondamentalistes chrétiens, aux Etats-Unis mais aussi ailleurs, se sentent concernés par cette date.
Le site Raptureready.com, qui fournit quotidiennement un indice de probabilité de la fin du monde, a gratifié la journée du mardi 6 juin 2006 de l'indice 154. Un record qui n'avait été battu qu'en septembre 2001 au lendemain des attaques terroristes contre les tours jumelles de New York.
A Denver (Colorado), la police a annoncé qu'elle renforcerait ses patrouilles pour faire face à une éventuelle recrudescence des activités diaboliques.
Aux Pays-Bas, une organisation évangélique protestante a appelé 2.000 chrétiens néerlandais à prier pendant 24 heures afin de "conjurer les forces satanistes actives à l'occasion de cette journée diabolique". Les fidèles devront prier du lundi à 6 heures du soir jusqu'au mardi à la même heure.
Sur le site de l'organisation (http://www.ambasmin.org) on peut lire: "Le Diable a noté la journée du 6 juin en haut de son agenda de destruction (...) Les forces les plus puissantes du mal comme les satanistes, les francs-maçons (...), New Age, Sorcières etc. vont essayer ce jour-là de réaliser les plans qu'a Lucifer pour le monde".
Parallèlement, l'alignement 6/6/6 sera l'occasion de différentes sortes de manifestations.
En Inde, plusieurs cinémas ont décidé de sortir mardi le film d'horreur "The Omen 666" (Le présage 666) à 6 heures, 6 minutes, 6 secondes du soir.
En Italie, plusieurs salles à Turin, Rome, Florence ou Gênes projetteront le même film mais six minutes après minuit dans la nuit de lundi à mardi.
Ce film, qui sort également mardi en République tchèque, a été réalisé par John Moore et tourné en partie à Prague l'an dernier. Remake de "La Malédiction" (1976), il raconte les mésaventures de Damien, né orphelin à la sixième heure du sixième jour d'un sixième mois, qui se découvre être une réincarnation de l'Antéchrist.
Aux Etats-Unis, les résidents de la ville de Hell (Enfer) dans le Michigan comptent organiser une fête géante afin, précise le maire de la ville, que les gens puissent dire qu'ils ont "fait la fête en Enfer un 666".
En Grèce, où a été écrit l'Apocalypse de Jean, des militants de la laïcité annoncent une manifestation "satanique" à Athènes: ils présenteront au public "Le Fléau de Dieu", pamphlet contre le chef de l'Eglise grecque orthodoxe, Mgr Christodoulos.
Les croyances liées au caractère satanique de certains nombres ont été popularisées par des films qui ont battu des records d'affluence comme La Malédiction ou L'Exorciste ainsi que par les romans d'horreur de Stephen King.
Une tendance renforcée par la sortie la semaine dernière du film tiré du best-seller de Dan Brown, "The Da Vinci Code" où un Professeur de Harvard décrypte, à la suite du meurtre du conservateur du Louvre, un enchaînement de messages codés qui aboutissent à des révélations atypiques sur la vie du Christ."
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Superwonderscope
- DeVilDead Team
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- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:09 am
- Localisation : Pyun City
D'ordinaire, je déteste les remakes quand ils sont là uniquement pour se faire de l'argent sans se soucier de l'aspect artistique à tirer de l’œuvre d'origine. J'ai vu La Malédiction, l'original, trois fois de suite ; et je l'ai aimé avec ses scènes effroyables, sans toutefois crier au chef-d’œuvre absolu, la faute peut-être à une interprétation fade et à une réalisation guère transcendante.
J'ai donc été très réticent à l'idée de voir ce remake. Pourtant, des points dépasse même le film d'origine. Je salue la photographie qui, surtout à la fin, rend des effets visuels bien sentis. Ensuite, on ne s'ennuie pas une seule seconde. Quant aux interprétations, elles sont même habitées : on retrouve comme chacun sait l’acteur déjà convaincant de Scream 2, et sa femme n'est jamais pathétique dans les sentiments ; le gamin reste froid comme voulu. Surtout, Mia Farrow est absolument malsaine, ce qui n'est pas une surprise quand on connaît ses performances dans Rosemary Baby ou Le Cercle Infernal (allez : un ptit clin d'oeil à ce cher dario carpenter
).
On sursaute comme il faut, même si le réalisateur sombre parfois dans la facilité, les meurtres sont assez intenses et inventifs (j'insiste, il faut vraiment faire le off sur l'original pour éviter de chicaner). La patte en plus du réalisateur sera peut-être son apport dans la photographie avec la fameuse scène du prêtre lorsqu'il pleut et la neige de l'Italie rendue superbement sans oublier le château aux allures gothiques modernisées. La pendaison et le premier meurtre est tout simplement intense, en plein jour, vraiment effrayant. Un film qui respecte l'esprit de l'original jusqu'au bout. Un remake intéressant et un bon hommage. J'emmerde la presse et je ravale mes préjugés !
De plus, jJe ne vois pas du tout la comparaison identique avec Psychose où dans son remake, le réal se contentait de reproduire les plans avec des acteurs franchement moins charismatiques que dans l'original.
Là, je crois que c'est différent : le réal respecte l'original (faut-il s'en plaindre ?) mais il donne une nouvelle orientation :
1)Quelques délires oniriques franchement intenses (je pense à la salle immaculée de blanc avec le petit et son masque).
2) L'utilisation nouvelle qu'il fait des forces démoniaques (la scène du prêtre est, je le répète, exquise pour ce qui est de dévoiler (je n'ai pas dit "montrer ») une présence diabolique).
Alors oui : ça fait penser à Destination Finale mais j'ai envie de dire "et alors ?" à ce que je sache, c'est bien ce procédé seul qui donne le sel à ce film (et rien d'autre).
L'essentiel, c'est ce qu'on fait avec la caméra et à aucun moment, je n'ai vu de la fébrilité dans la réalisation. A aucun moment. Le type maîtrise son sujet jusqu'au bout et avec sérieux. Pas de grandiloquent, les meurtres sont à la mesure de ce qu'on devait en espérer : saignants, efficaces et très bien amenés.
3) L'interprétation est juste, et ne sombre jamais dans la mélancolie de pacotille.
Dans l'histoire, ce qu'on n'aime pas je crois, c'est le fait de revoir encore et toujours un remake. Je pense que celui-là a le mérite de donner envie de revoir l'original et j'irais même jusqu'à dire que sur certains points, il le dépasse. Quant au petit, s'il a été pistonné, loin de moi l'idée d'être en accord avec le procédé, mais je crois que le monde du cinéma a connu de bien pire magouilles. Et il ne dit pas grand chose, et c'est bien ce qu'on lui demande.
Je mets 15/20 haut la main
J'ai donc été très réticent à l'idée de voir ce remake. Pourtant, des points dépasse même le film d'origine. Je salue la photographie qui, surtout à la fin, rend des effets visuels bien sentis. Ensuite, on ne s'ennuie pas une seule seconde. Quant aux interprétations, elles sont même habitées : on retrouve comme chacun sait l’acteur déjà convaincant de Scream 2, et sa femme n'est jamais pathétique dans les sentiments ; le gamin reste froid comme voulu. Surtout, Mia Farrow est absolument malsaine, ce qui n'est pas une surprise quand on connaît ses performances dans Rosemary Baby ou Le Cercle Infernal (allez : un ptit clin d'oeil à ce cher dario carpenter
). On sursaute comme il faut, même si le réalisateur sombre parfois dans la facilité, les meurtres sont assez intenses et inventifs (j'insiste, il faut vraiment faire le off sur l'original pour éviter de chicaner). La patte en plus du réalisateur sera peut-être son apport dans la photographie avec la fameuse scène du prêtre lorsqu'il pleut et la neige de l'Italie rendue superbement sans oublier le château aux allures gothiques modernisées. La pendaison et le premier meurtre est tout simplement intense, en plein jour, vraiment effrayant. Un film qui respecte l'esprit de l'original jusqu'au bout. Un remake intéressant et un bon hommage. J'emmerde la presse et je ravale mes préjugés !
De plus, jJe ne vois pas du tout la comparaison identique avec Psychose où dans son remake, le réal se contentait de reproduire les plans avec des acteurs franchement moins charismatiques que dans l'original.
Là, je crois que c'est différent : le réal respecte l'original (faut-il s'en plaindre ?) mais il donne une nouvelle orientation :
1)Quelques délires oniriques franchement intenses (je pense à la salle immaculée de blanc avec le petit et son masque).
2) L'utilisation nouvelle qu'il fait des forces démoniaques (la scène du prêtre est, je le répète, exquise pour ce qui est de dévoiler (je n'ai pas dit "montrer ») une présence diabolique).
Alors oui : ça fait penser à Destination Finale mais j'ai envie de dire "et alors ?" à ce que je sache, c'est bien ce procédé seul qui donne le sel à ce film (et rien d'autre).
L'essentiel, c'est ce qu'on fait avec la caméra et à aucun moment, je n'ai vu de la fébrilité dans la réalisation. A aucun moment. Le type maîtrise son sujet jusqu'au bout et avec sérieux. Pas de grandiloquent, les meurtres sont à la mesure de ce qu'on devait en espérer : saignants, efficaces et très bien amenés.
3) L'interprétation est juste, et ne sombre jamais dans la mélancolie de pacotille.
Dans l'histoire, ce qu'on n'aime pas je crois, c'est le fait de revoir encore et toujours un remake. Je pense que celui-là a le mérite de donner envie de revoir l'original et j'irais même jusqu'à dire que sur certains points, il le dépasse. Quant au petit, s'il a été pistonné, loin de moi l'idée d'être en accord avec le procédé, mais je crois que le monde du cinéma a connu de bien pire magouilles. Et il ne dit pas grand chose, et c'est bien ce qu'on lui demande.
Je mets 15/20 haut la main
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milton arbogast
- Messages : 1564
- Enregistré le : ven. août 20, 2004 7:37 pm
- Localisation : le coffre d'une bagnole au fond d'un etang pres d'un motel glauque
Merveilleux!
ce week-end, THE OMEN 666 affichait une baisse de 66,6% au box-office americain!!!
http://www.boxofficemojo.com/weekend/chart/
...c'est un signe, je vous le dis moi, c'est un signe, la fin du monde est proche!
ce week-end, THE OMEN 666 affichait une baisse de 66,6% au box-office americain!!!
http://www.boxofficemojo.com/weekend/chart/
...c'est un signe, je vous le dis moi, c'est un signe, la fin du monde est proche!
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sarahlaughs
- Messages : 14
- Enregistré le : ven. oct. 21, 2005 9:13 pm
- Localisation : Roma
Le problème du film c'est qu'il est pachydermique et faux là où l'original était fin et juste.
J'ai pu noter des milliers de trucs ridicules, des barrières d'1m20 qui empêchent des chiens de passer, un chien qui se cogne contre une porte à la Tex Avery, Damien qui mange des fraises avec sa nounou, les vilains effets photoshop sur les photos, le combat contre la nounou qui dans l'original se battait comme une possédée se résume là à un coup de pieds dans la face...
La meuf qui joue la mère n'a pas de charisme, elle est molle, la scène des singes se termine... euh ne se termine pas, Damien a une tête à claques.
Reste juste que la photo est jolie. Mais quand même l'action est super brouillone à la fin.
J'ai pu noter des milliers de trucs ridicules, des barrières d'1m20 qui empêchent des chiens de passer, un chien qui se cogne contre une porte à la Tex Avery, Damien qui mange des fraises avec sa nounou, les vilains effets photoshop sur les photos, le combat contre la nounou qui dans l'original se battait comme une possédée se résume là à un coup de pieds dans la face...
La meuf qui joue la mère n'a pas de charisme, elle est molle, la scène des singes se termine... euh ne se termine pas, Damien a une tête à claques.
Reste juste que la photo est jolie. Mais quand même l'action est super brouillone à la fin.
...des stars hollywoodiennes battues à mort.
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milton arbogast
- Messages : 1564
- Enregistré le : ven. août 20, 2004 7:37 pm
- Localisation : le coffre d'une bagnole au fond d'un etang pres d'un motel glauque
J'ai commis deux sacrilége cette semaine!
me suis tapés POSEIDON et LA MALEDICTION! ...pas mal hein!
Bon, pouir ceux qui n'ont pas vu l'original, SPOILER INSIDE, pour les autres, vous connaissez deja le biniou donc, à vos risques et perils.
...alors en toute franchise, je dois dire que côté bon point, c'est qu'aucun des deux n'est une daube abyssale.
Chacun comporte même ses bons moments.
Ici on sent à la fois une vrai volonté de respecter l'histoire originale ...ce qui a pour effet de tuer toute surprise et donne un film bourré de bonne intention, mais terriblement planplan.
La distribution:
...bon, Liev Schrieber, fait tout son possible, mais son jeux semble un peu limité et il peine à imposer autorité et crédibilité à son personnage.(...et faut lui dire d'éviter de se faire filmer de profil, qu'il a cocasse!)
Son petit boudin de femme, au charisme de bovidé, s'en tire un peu mieux, mais de justesse.
le gamin! ...alors le gamin, c'est presque une bonne surprise, enfin je veux dire c'est moins pire que ce que je craignais en voyant les BA; et je trouve même plutot interessant l'idée de le montrer comme un autiste insensible.
Les meilleurs moment viennent des second rôle, bien que là aussi, il faut faire abstraction de l'original.
Mia Farrow commence plutot mal, mais rattrape bien son coup avec quelques bonnes scenes, même si son combat avec Schrieber est trés frustrant par sa brieveté.
Mon préféré c'est Pete Postlethwaite qui arrive a être vraiment inquietant dans les quelques scnes qui lui sont accordées.
...et les meurtres? bein oui, c'est quand même le gimmick number one de la série orignale!
là aussi, on a a boire et à manger.
ceux qui ne valent pas la version 76: la nounou, mme Baylock, padre Spileto
ceux qui sont ok: la décapitation (super efficace, mais qu'est ce que le decors fait carton-pâte!!!)
...et puis, quand on ne l'attendait plus, le moment qui surpasse l'original: la mort de Kathe, d'un sadisme raffiné, grand moment pour Mia Farrow.
Donc, le bon côté: c'est tout à fait regardable, et j'ai même trouvé que la musique arrive a trouver un ton juste, sans devoir plagier le score de Goldsmith, qu'il cite de façon trés subtil avec les trois petites notes de piano du theme original.
Le mauvais côté: c'est un remake inutile, qui nous donne surtout une furieuse envie de revoir l'original, pour constater a quel point tout est histoire de dosage: Ici, tout en suivant trés scrupuleusment le scenar d'origine, il suffit d'un mot en plus parfois dans un dialogues, d'une intention, pour faire balancer la scene dans le grotesque, ce que le film de Donner éludait avec beaucoup d'habilité.
Le prologue par exemple -qui fait craindre le pire- est d'un ridicule achevé, avec la petite conference au Vatican.
Heureusement, la suite n'est pas de ce niveaux!
Honnête et consciencieux, mais n'echappe pas à une certaine médiocrité.
me suis tapés POSEIDON et LA MALEDICTION! ...pas mal hein!
Bon, pouir ceux qui n'ont pas vu l'original, SPOILER INSIDE, pour les autres, vous connaissez deja le biniou donc, à vos risques et perils.
...alors en toute franchise, je dois dire que côté bon point, c'est qu'aucun des deux n'est une daube abyssale.
Chacun comporte même ses bons moments.
Ici on sent à la fois une vrai volonté de respecter l'histoire originale ...ce qui a pour effet de tuer toute surprise et donne un film bourré de bonne intention, mais terriblement planplan.
La distribution:
...bon, Liev Schrieber, fait tout son possible, mais son jeux semble un peu limité et il peine à imposer autorité et crédibilité à son personnage.(...et faut lui dire d'éviter de se faire filmer de profil, qu'il a cocasse!)
Son petit boudin de femme, au charisme de bovidé, s'en tire un peu mieux, mais de justesse.
le gamin! ...alors le gamin, c'est presque une bonne surprise, enfin je veux dire c'est moins pire que ce que je craignais en voyant les BA; et je trouve même plutot interessant l'idée de le montrer comme un autiste insensible.
Les meilleurs moment viennent des second rôle, bien que là aussi, il faut faire abstraction de l'original.
Mia Farrow commence plutot mal, mais rattrape bien son coup avec quelques bonnes scenes, même si son combat avec Schrieber est trés frustrant par sa brieveté.
Mon préféré c'est Pete Postlethwaite qui arrive a être vraiment inquietant dans les quelques scnes qui lui sont accordées.
...et les meurtres? bein oui, c'est quand même le gimmick number one de la série orignale!
là aussi, on a a boire et à manger.
ceux qui ne valent pas la version 76: la nounou, mme Baylock, padre Spileto
ceux qui sont ok: la décapitation (super efficace, mais qu'est ce que le decors fait carton-pâte!!!)
...et puis, quand on ne l'attendait plus, le moment qui surpasse l'original: la mort de Kathe, d'un sadisme raffiné, grand moment pour Mia Farrow.
Donc, le bon côté: c'est tout à fait regardable, et j'ai même trouvé que la musique arrive a trouver un ton juste, sans devoir plagier le score de Goldsmith, qu'il cite de façon trés subtil avec les trois petites notes de piano du theme original.
Le mauvais côté: c'est un remake inutile, qui nous donne surtout une furieuse envie de revoir l'original, pour constater a quel point tout est histoire de dosage: Ici, tout en suivant trés scrupuleusment le scenar d'origine, il suffit d'un mot en plus parfois dans un dialogues, d'une intention, pour faire balancer la scene dans le grotesque, ce que le film de Donner éludait avec beaucoup d'habilité.
Le prologue par exemple -qui fait craindre le pire- est d'un ridicule achevé, avec la petite conference au Vatican.
Heureusement, la suite n'est pas de ce niveaux!
Honnête et consciencieux, mais n'echappe pas à une certaine médiocrité.
vu en salle egalement, et trés loin de la bousse qui se profilait à l'horizon. Un divertissement de facture honnête, qui tente même dans son prologue une justification du mal par des évenements "spirituels " plutôt neuneu mais au moins il y a un point de vue. Aprés le cast est plutôt frelaté, avec des acteurs qui peine à retranscrire la panique , le doute et l'inommable. Entre le pére assez creux qui traine toujours la même tronche et la mére inexpressive , seul Mia Farrow relève le ton en furie mielleuse , adoubé suppot de satan. Le rythme est conci, ça se suit bien , les morts ont une belles forces évocatrices ( pendaison, et surtout la mort du prétre ). C'est filmé agréablement et emballé avec respect. Un p'tit film pas prétentieux et sympahique par moment.
Vu hier soir. Pas l'ignoble daube à laquelle je m'attendais, mais quand même très mauvais. Les rares ajouts par rapport à l'original m'ont beaucoup fait rire (les scènes de cauchemar de madame Thorn, ridicules). La musique, remplacant le score magnifique de Goldsmith, est d'une platitude totale. Les inserts style Stigmata décrédibilisent le film dès sont prologue. Les scénes de morts ne sont que de mauvaises décalques des originales (particulièrement la chute de la mère dans sa maison, ô combien ingénieusement filmée et efficace dans l'original, devient grotesque et filmée avec les pieds ici). Mais le pire dans ce remake, c'est son casting. Remplacer Gregory Peck et Lee Remick par Liev Shreiber et Julia Stiles, c'est comme remplacer Lauren Bacall par Britney Spears. La Stiles, à qui on donnerait 19 ans grand maximum, essayant d'imiter une quarantenaire sur le retour, s'en sort le plus mal. Le choix du gamin jouant Damien est au niveau: Prendre un gosse au regard diabolique et malsain etait l'erreur à ne pas commettre.
En gros : 90' que j'aurais du passer à revoir l'original, un des films d'épouvante grand public les plus classe jamais fait.
En gros : 90' que j'aurais du passer à revoir l'original, un des films d'épouvante grand public les plus classe jamais fait.
ce film est une injure, une pure injure.... vraiment on accroche pas !!
pas d'ambiance ni de bons moments, tout cela reste froid ! c'est pas hideux ( même si parfois j'ai cru qu'Uwe Boll est à la real' ) mais en effet le casting est drolement raté !! liev Shreiber, Julia Stiles sont vides et la grosse grosse ereur, la tâche c'est le gosse qui est vraiment pitoyable ( il a l'air malade, souffreteux mais pas maléfique ! ) et ses grimaces surjouées sont limite caricaturales ! comment a-t-on pu le choisir au casting ?? même le pauvre Pete "kobayashi" Postlewaithe que j'apprécie bcp traverse le film comme une ame en peine....
On reste désepérement insensible à ce métrage et on regrette presque le temps consacré à son visonnage...
seul moment interressant, cinq secondes 1/2 de pur bonheur, la sublime décapitation du journaliste, un des plus belles que j'ai vu ses dernières années...
pas d'ambiance ni de bons moments, tout cela reste froid ! c'est pas hideux ( même si parfois j'ai cru qu'Uwe Boll est à la real' ) mais en effet le casting est drolement raté !! liev Shreiber, Julia Stiles sont vides et la grosse grosse ereur, la tâche c'est le gosse qui est vraiment pitoyable ( il a l'air malade, souffreteux mais pas maléfique ! ) et ses grimaces surjouées sont limite caricaturales ! comment a-t-on pu le choisir au casting ?? même le pauvre Pete "kobayashi" Postlewaithe que j'apprécie bcp traverse le film comme une ame en peine....
On reste désepérement insensible à ce métrage et on regrette presque le temps consacré à son visonnage...
seul moment interressant, cinq secondes 1/2 de pur bonheur, la sublime décapitation du journaliste, un des plus belles que j'ai vu ses dernières années...