Alors kikin'a vu en vhs le premier film du fils du grand arcady ?
Dans une région imaginaire, située hors du temps ou du moins dans un futur proche, une dictature a pris les rênes du pays au lendemain d’une guerre.
Les moyens d’expression sont devenus hors-la-loi et, de jour comme de nuit, Armée et Police traquent les volontés artistiques de ses citoyens.
Voulant tuer l’imagination dans l’œuf, le pouvoir totalitaire utilise des méthodes miliciennes pour faire régner l’ordre et capturer, ficher, torturer les belligérants, ne les relâchant (quand ils les relâchent) que vidés de toutes velléités créatrices.
Dans cet univers figé, Théo (Stanislas Merhar), du haut de ses 20 ans, fait acte de rébellion. Profitant de ses sorties nocturnes dans les ruelles désertes, il s’exprime par le dessin sur les murs de sa ville, malgré la peine de mort que risquent les taggers. Bien entendu, jour après jour, les membres de la police-milice viennent nettoyer les façades de ces créations subversives.
Finalement, Théo rencontre l’amour avec Elia (Marion Cotillard), une charmante jeune fille qui partage sa passion du dessin. Malheureusement, leur romance sera de courte durée.
(YOZONE)
çà existe que en VHS je crois...
j'en avais même entendu parlé dans le JT et çà m'avait un peu interpellé à l'époque mais je crois que çà avait été un gros bide. heureusement que papa est là...
Je l'ai même vu au cinéma, un samedi après-midi dans une salle toute vide du Gaumont Convention. A quelques exceptions près - dont "Mad" qui avait sorti un petit fascicule promo distribué dans le FNAC si je me souvien bien, le film s'était fait défoncé par la critique et était sorti dans la plus totale indifférence. Evidemment, dans cette histoire de "pays où il est interdit de dessiner", il y a un côté fantastique français un peu ampoulé, mais j'avais tout de même trouvé ça sympa, bien que perfectible. Ce que j'écrivais alors :
"Certes, il a un peu de mal au démarrage et il y a des maladresses dans la réalisation. Mais ce film reste une histoire touchante sur le refus de l'abnégation. Il m'a beaucoup fait penser à des BD de SF francophones, notamment au Jérémiah de Hermann. On notera aussi la bonne utilisation des décors marocains. Un bon mélange de romantisme et de série B, sans concession sur la représentation de la violence (la preuve: télérama, les cahiers et le monde l'ont trouvé complaisant!)."
vu récemment sur le cable et j'ai trouvé ça très moyen...
une sorte de post apo made in France sur fond de rebellion, d'anarchisme et d'amour impossible...
y'a de bonnes intentions, de beaux décors, un casting correct (excepté la Cotillard ! ) mais la réa manque de peche, y'a pas mal de longueurs et la photo est limite dégueu !
au final, un film de sf très anecdotique, parfois touchant mais raté dans l'ensemble...
Clair qu'il était trop jeune pour faire ce film, une erreur de jeunesse qui m'a fait perdre du temps en salle. Je préfère vite l'oublier (tout comme sa colline a des yeux, mais vu sa bananlité, l'oubli s'est imposé de lui-même).
Modifié en dernier par Zecreep le jeu. juin 22, 2006 4:55 pm, modifié 1 fois.
Bon. Pour que les choses soient claires une fois pour toutes et si vous désirez ensuite discuter des origines d'Aja, merci d'aller là : viewtopic.php?t=15393
ZombiGirl a écrit :Bon. Pour que les choses soient claires une fois pour toutes et si vous désirez ensuite discuter des origines d'Aja, merci d'aller là : viewtopic.php?t=15393
On revient à FURIA, svp ?
Merci de me relire, j'ai comparé Furia et La colline a des yeux, je ne suis en rien hors sujet.
Vu en salle à l'époque... J'adore l'affiche du film. De belles images parsemées dans un métrage inégal, un peu puéril c'est vrai, mais que j'avais trouvé prometteur.
à revoir pas sûr, mais à découvrir pour les autres surement.