Creature (Titan Find) - William Malone (1984)
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
Creature (Titan Find) - William Malone (1984)
Vu hier soir dans une edition dvd espagnole digne de la francaise, en gros abjecte.
Quant au film en lui même, une belle ressucée d'Alien, interprétation à chier (regardez donc ce qu'ils ont fait faire à Kinski !), de nombreuses scènes qui trainent en longueur. Heureusement qu'il y a quelques effets gores et d'autres involontairement comiques pour sortir le spectateur de sa léthargie...
Bref,j'ai failli passer une nuit blanche en me demandant si c'était encore plus mauvais qu'Inseminoid. J'avoue ne pas encore avoir trouver la réponse.
Et vous ?
Quant au film en lui même, une belle ressucée d'Alien, interprétation à chier (regardez donc ce qu'ils ont fait faire à Kinski !), de nombreuses scènes qui trainent en longueur. Heureusement qu'il y a quelques effets gores et d'autres involontairement comiques pour sortir le spectateur de sa léthargie...
Bref,j'ai failli passer une nuit blanche en me demandant si c'était encore plus mauvais qu'Inseminoid. J'avoue ne pas encore avoir trouver la réponse.
Et vous ?
Les apparitions fatales des morts-vivants, dans leur brutalité, apparaissent inévitables, comme la main aveugle du destin. Les morts sont une fatalité, non un danger qui mettrait en jeu la survie.
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Mauvais souvenir également. Cheap, assomant, mal interprété... et j'en passe. Pauvre Kinski, qu'est-ce qu'il est venu faire là-dedans
.

"Suicides, assassinations, mad bombers, Mafia hitmen, automobile smash-ups: The Death Hour. A great Sunday night show for the whole family. It'd wipe that fuckin' Disney right off the air."
Network, 1976, Sidney Lumet
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Typique des fins de carrieres ca. Bon qui se d´voue pour ouvrir un thread sur Terreur Cannibale ?Filou a écrit :Pauvre Kinski, qu'est-ce qu'il est venu faire là-dedans.

Les apparitions fatales des morts-vivants, dans leur brutalité, apparaissent inévitables, comme la main aveugle du destin. Les morts sont une fatalité, non un danger qui mettrait en jeu la survie.
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Si justement. Alors pour ceux qui ne l'auraient pas vu, foncezBuralo66 a écrit :C'est pas le prochain DVD Mad ?

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Kinski a également tourné pour... Billy Wilder. Dans son dernier film Buddy Buddy.fairfax a écrit :Typique des fins de carrieres ca. Bon qui se d´voue pour ouvrir un thread sur Terreur Cannibale ?Filou a écrit :Pauvre Kinski, qu'est-ce qu'il est venu faire là-dedans.
"Suicides, assassinations, mad bombers, Mafia hitmen, automobile smash-ups: The Death Hour. A great Sunday night show for the whole family. It'd wipe that fuckin' Disney right off the air."
Network, 1976, Sidney Lumet
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Je me permet en toute modestie de vous signaler ma propre chronique abondamment illustrée de ce chef d'oeuvre impérissable sur nanarland.
http://www.nanarland.com/Chroniques/sim ... m=creature
http://www.nanarland.com/Chroniques/sim ... m=creature
"Tellement de connards et si peu de cartouches..."
http://www.nanarland.com : Le monde des mauvais films sympathiques
http://www.nanarland.com : Le monde des mauvais films sympathiques
j'en garde pas un si mauvais souvenir que vous. j'avais surtout été déçu par le pan et scan du DVD. Sinon j'avais bien aimé l'honnêteté des scénaristes qui citent leurs sources quand ils pompent des scénes: l'héroine je crois dit à un moment qu'elle se souvient d'une bande cinematographique du milieu du 20ème siecle où les heros tentent d'électrocuter une chose venue d'un autre monde, pourquoi ne pas essayer? Bravo, les scénaristes! Dans ces conditions comment pourrait on attaquer leur travail? du bel oeuvre!
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C'était même une carotte géante, si mes souvenirs sont bons. Là-dessus, j'ai failli couper le film, tellement je trouvais ça énorme et grotesque...KX69 a écrit :Sinon j'avais bien aimé l'honnêteté des scénaristes qui citent leurs sources quand ils pompent des scénes: l'héroine je crois dit à un moment qu'elle se souvient d'une bande cinematographique du milieu du 20ème siecle où les heros tentent d'électrocuter une chose venue d'un autre monde, pourquoi ne pas essayer? Bravo, les scénaristes! Dans ces conditions comment pourrait on attaquer leur travail? du bel oeuvre!

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ouais faut peut-être rétablir l'équilibre...
je sais pas si c'est de l'avoir vu très jeune, mais j'ai toujours gardé pour cet avatar alienoïde une profonde sympathie... par contre le revoir sur le dvd Mad Movies a été un calvaire, même la VHS de l'époque était en scope respecté !
Si on aimait déjà pas beaucoup ca, là c'est le vaccin ultime.
sinon l'affiche française claque bien
je sais pas si c'est de l'avoir vu très jeune, mais j'ai toujours gardé pour cet avatar alienoïde une profonde sympathie... par contre le revoir sur le dvd Mad Movies a été un calvaire, même la VHS de l'époque était en scope respecté !

Si on aimait déjà pas beaucoup ca, là c'est le vaccin ultime.
sinon l'affiche française claque bien

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Vu recemment enfin en DVD alors que sa vision salle ne m'avait laissé aucun souvenir.. petite review:
Creature ex Titan find vit le jour suite au succés d'Alien, voilà une certitude.
Creature fait partie des innombrables petites productions qui envahissent les drive-in, voilà une 2eme certitude.
Creature devient par la même une curiosité en voilà une 3eme.
C'est donc curieux que le spectateur regarde le film de Malone et c'est à la vitesse de la lumière que l'ennui le gagne. Voilà la 4eme certitude.
Le scénariste ne s'embarasse guère de détails et propose une histoire bancale où on suit distraitement un équipage parti sur Titan, un des satellites de saturne.
Point de suspens donc, tout est jeté dés le pré-générique.
Reste à découvrir l'équipage, une bande d'astronautes d'une transparence extrême, inexistants sans la moindre once d'un infime trait de caractère. Ils sont tout et rien à la fois, simples silhouettes destinées à être tuées.
On oubliera les costumes d'une ringardise stupéfiante, les décors fond de studio réduit au maximum, les dialogues totalement creux débités par l'équipage mais on retiendra les explosions et courses poursuites dans les coursives rendant le spectateur hagard par leur angoissante... molesse, une angoisse qu'on aurait souhaitée réelle et effective mais également moins téléphonée.
Reste au crédit de cette bien pauvre Créature deux personnages qui retiennent l'attention et donnent au film son seul interet.
Celui joué par un Klaus Kinski halluciné en savant allemand cabotinant, totalement en roue libre, véritable pitre qui devant le n'importe quoi de l'entreprise a décidé de faire n'importe quoi.
Irritant mais bienfaisant!
Puis celui de l'androgyne Mrs Bryce jouée par Diane Salinger tout en cuir noir dont l'aspect glacial et l'impassibilité tend à nous faire penser qu'il s'agit là de l'indispensable androïde mais O astuce stupéfiante, elle est bel et bien humaine.
Malheureusement, on perd Mrs Bryce en route sans explication aucune, l'infortunée réapparaissant en fin de film tout aussi mystèrieusement avec comme toute explication qu'elle s'était égarée dans les couloirs!
!!!!
Un tel manque d'imagination scénaristique en guise de twist final fait soudain de Creature un film digne des meilleures... ou pires selon... ringardises SF, un air de série Z que les bissophiles applaudiront. Alfonso Brescia n'est pas loin!
En résumé, un n'importe quoi d'ennui et de vide abyssal mais dont le n'importe quoi en réjouira certains!
Creature ex Titan find vit le jour suite au succés d'Alien, voilà une certitude.
Creature fait partie des innombrables petites productions qui envahissent les drive-in, voilà une 2eme certitude.
Creature devient par la même une curiosité en voilà une 3eme.
C'est donc curieux que le spectateur regarde le film de Malone et c'est à la vitesse de la lumière que l'ennui le gagne. Voilà la 4eme certitude.
Le scénariste ne s'embarasse guère de détails et propose une histoire bancale où on suit distraitement un équipage parti sur Titan, un des satellites de saturne.
Point de suspens donc, tout est jeté dés le pré-générique.
Reste à découvrir l'équipage, une bande d'astronautes d'une transparence extrême, inexistants sans la moindre once d'un infime trait de caractère. Ils sont tout et rien à la fois, simples silhouettes destinées à être tuées.
On oubliera les costumes d'une ringardise stupéfiante, les décors fond de studio réduit au maximum, les dialogues totalement creux débités par l'équipage mais on retiendra les explosions et courses poursuites dans les coursives rendant le spectateur hagard par leur angoissante... molesse, une angoisse qu'on aurait souhaitée réelle et effective mais également moins téléphonée.
Reste au crédit de cette bien pauvre Créature deux personnages qui retiennent l'attention et donnent au film son seul interet.
Celui joué par un Klaus Kinski halluciné en savant allemand cabotinant, totalement en roue libre, véritable pitre qui devant le n'importe quoi de l'entreprise a décidé de faire n'importe quoi.
Irritant mais bienfaisant!
Puis celui de l'androgyne Mrs Bryce jouée par Diane Salinger tout en cuir noir dont l'aspect glacial et l'impassibilité tend à nous faire penser qu'il s'agit là de l'indispensable androïde mais O astuce stupéfiante, elle est bel et bien humaine.
Malheureusement, on perd Mrs Bryce en route sans explication aucune, l'infortunée réapparaissant en fin de film tout aussi mystèrieusement avec comme toute explication qu'elle s'était égarée dans les couloirs!

Un tel manque d'imagination scénaristique en guise de twist final fait soudain de Creature un film digne des meilleures... ou pires selon... ringardises SF, un air de série Z que les bissophiles applaudiront. Alfonso Brescia n'est pas loin!
En résumé, un n'importe quoi d'ennui et de vide abyssal mais dont le n'importe quoi en réjouira certains!
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
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- Localisation : Dans la beauté du sale, la beauté du mal, sous les croix en feu, violant, déféquant...
Illustrons d'autant plus que l'affiche était belle!!



Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
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