News DVD et Bluray Warner
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
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je suis pas magicien , mais bon, ton voeux est exhausséProdigy a écrit :le Reptile ! Votez pour le Reptile !


sinon j'avais déja parlé de cette sortie dans le thread consacré au film, pour un prix modique de 9.99 euros

warner film noir vol 3

voila la liste de ce prochain coffret est sorti, c'est beau, c'est pour juillet, c'est pas cher sur pacific, ca a l'air bien
Border Incident (1949) (Incident de frontière)
De Anthony Mann
IMDB
His Kind of Woman (1951) (Fini de rire)
De John Farrow, avec Robert Mitchum, Vincent Price et Jane Russel
IMDB
Lady in the Lake (1947) (La dame du lac)
De et avec Robert Montgomery
(LE fameux film entièrement tournée en vue subjective)
IMDB
Le commentaire audio en bonus sera assuré par Alan Silver.
On Dangerous Ground (1952) (La maison dans l'ombre)
De Nicholas Ray
IMDB
(déjà disponible en France dans la colleciton RKO des éditions Montparnasse)
The Racket (1951) (Racket)
De John Cromwell, avec Robert Mitchum
Wikipedia
Niveau prix sur pacific ils seront pas trop cher, le volume 2 est autour de 24 euros en ce moment.
De plus un autre coffret warner vas sortir , il s'agit du coffret tough guy qui contiendra :
'G' Men (1935)
Réalisé par William Keighley
Avec James Cagney
http://www.imdb.com/title/tt0026393/
Guerre au crime (Bullets or Ballots) 1936
Réalisé par William Keighley
Avec Edward G. Robinson
http://www.imdb.com/title/tt0027407/
La Révolté (San Quentin) 1937
Réalisé par Lloyd Bacon
Avec Pat O'Brien et Humphrey Bogart
http://www.imdb.com/title/tt0029511/
Un Meurtre sans importance (A Slight Case of Murder) 1938
Réalisé par Lloyd Bacon
Avec Edward G. Robinson
http://www.imdb.com/title/tt0030764/
A chaque aube je meurs (Each Dawn I Die) 1939
Réalisé par William Keighley
Avec James Cagney et George Raft
http://www.imdb.com/title/tt0031260/
Ville Conquise (City for Conquest) 1940
Réalisé par Anatole Litvak
Avec James Cagney, Ann Sheridan, Frank Craven, Donald Crisp
sinon un article de libé qui apporte quelques trés bonne nouvelle sur des prochain dvd de film noir.
Ellroy en pyromane du film noir
Pour des DVD Warner, le pape du polar se livre à des séances salées d'exégèse cinéphilique.
par Philippe GARNIER
QUOTIDIEN : mercredi 21 juin 2006
Los Angeles correspondance
«Good evening, peepers, prowlers, pederasts, skanks, panty-sniffers and dips. I'm James Ellroy.» (Bonsoir, voyeurs, rôdeurs, pédérastes, renifleurs de petites culottes, boudins et pickpockets), le «Top dog» du roman noir ouvrait ainsi les festivités à l'American Cinematheque pour leur annuel raout du film noir. Jusqu'ici, rien que la routine pour le «Slick Trick With the Donkey Dick» (l'arsouille monté comme un âne) l'écrivain m'as-tu-vu se présentant ainsi depuis des années à son public transis. Mais ces derniers temps, un goût partagé pour la boxe et le film noir aidant, il s'est trouvé un partenaire en la personne de l'écrivain Eddie Muller, «prince du noir» et infatigable démarcheur de la chose, avec qui il fait un remarquable numéro de claquettes verbal. On verra ces Abbott et Costello du film noir sur plusieurs DVD Warner à venir, dont celui de Crime Wave, justement, qui était présenté en ouverture du festival. Pour l'occase, ils se sont adonnés en public à un exercice d'introït cinéphile à la lampe à souder.
«Baisé.» «Géographie et chronologie sont notre destinée, continue Ellroy. Je suis né à Los Angeles en 1948, à l'apogée du film noir, ici à LA, l'épicentre du film noir. J'ai pris mon ticket pour la vie au même hôpital où Bobby Kennedy a pris le sien pour la sortie. Ma mère a été assassinée en 1958, affaire jamais résolue, et j'ai passé ma jeunesse à écumer les beaux quartiers d'Hancock Park, j'entrais dans les maisons par effraction, je reniflais les dessous de femme, malheureusement sans femme dedans. J'aime le film noir parce qu'il développe le seul thème qui compte : YOU'RE FUCKED (vous êtes baisé, vous l'avez dans l'os). Vous venez de rencontrer cette femme. Oh, ouais. Vous voilà parti pour le voyage sexuel dont rêve tout individu sur la planète, mais qu'il réalise rarement. ça c'est le bon côté. Le mauvais, c'est qu'en à peine six semaines vous allez vous retrouver condamné pour un crime que vous n'avez pas commis. Vous serez dans la Green Room à San Quentin, et juste au moment où ils lâcheront les granulés d'acide sulfurique votre dernière pensée sera pour elle, et vous lui serez RECONNAISSANT pour les brefs moments qu'elle vous aura donnés. Parce qu'on vit dans un univers noir, et...YOU'RE FUCKED."
Dix minutes et trois riffs sur le mot FUCKED plus tard, Ellroy conclue : «Et au fait, le film que vous allez voir n'est pas dégueu. Tourné en treize jours en 1952 par Andre DeToth. Beaucoup de gens trouvent que Russell Crowe était bon en Bud White dans LA Confidential. ERREUR. C'est Sterling Hayden qui aurait dû jouer Bud White, le Hayden que vous voyez ici dans le rôle du flic à cure-dent. Russell Crowe à côté, c'est de la crêpe Suzette un peu musclée. Et Phyllis Kirk !»
Muller interrompt : «C'est vrai, Phyllis Kirk est bandante dans ce film. Son état civil avait beau être Phyllis Kirkegaard (!), je n'ai jamais gobé ces pyjamas en flanelle qu'on lui voit porter au lit...»Ellroy, pas en reste : «Phyllis est TROP pour Gene Nelson. TOO MUCH WOMAN ! Gene Nelson, qui joue son mari taulard, était danseur dans Oklahoma sur Broadway, et on connaît ce monde-là... D'ailleurs, en automne 1952, quand ce film est sorti, j'avais quatre ans, et j'ai eu une liaison avec Phyllis Kirk...» (rires) (en fait, le film n'est sorti que deux ans plus tard).
Muller : «Mais eh, Ted DeCorsia, qui joue Doc Penny, il n'est pas dégueu non plus. Un de ces grands acteurs qu'on peut SENTIR quand il joue un mélange de pastilles contre la mauvaise haleine, de sueur et de gomina...»
Ellroy : «Ce que veut dire Eddie, c'est que DeCorsia est un pain bagnat. A greaseball..» (rires)
Muller se demande tout haut pourquoi le film s'appelle Crime Wave : «Le titre de travail était, tenez-vous bien, Don't Cry, Baby. Au moment de la sortie, c'était The City is Dark. Mais où sont-ils allés chercher cette histoire de vague criminelle ? Mince, je suis une plus grande vague criminelle que tous ces gars-là réunis !» (rires)
«Allez, une question choc, merde.» Ellroy : «C'est ça qui est bien avec ce film : ça décrit bien l'impasse, et aussi le boulot de flic, qui demande à employer des méthodes parfois criminelles. La vérité sur le film noir, c'est que la plupart du temps, c'est un tas de conneries sentimentales, qui très souvent ne marchent pas. ça vaut aussi pour certains bons films, comme la Griffe du passé. C'est bien, mais c'est rempli d'impossibilités, de trucs nazes et de mélodrame ridicule. Pas ici. Allez, une question choc, merde.» Quelqu'un demande: «Comment était monté Hayden ? Est-ce qu'il balançait avec le salami, ou juste le salsifis ?»
«Monsieur fait référence à mon court roman Hollywood Shakedown, dans lequel figure le queutard Steve Cochran, acteur qu'on disait doté d'un demi-mètre de joie dans le calebard, au repos. Pour Sterling Hayden, je n'ai pas l'info.»
Quelqu'un lui demande s'il a déjà vu The Black Dahlia, l'adaptation de son roman par Brian De Palma. «J'en ai vu six heures. C'est très beau. Maintenant, savoir si ça va pouvoir se ramener à un tout narratif cohérent sur deux heures... On verra ça en septembre. Scarlett Johansson est dedans, Aaron Eckhart, Hilary Swank... Mais je peux déjà vous dire que Josh Hartnett qui joue le policier Bucky Bleishert, vole toutes les scènes dans lesquelles il apparaît.»
«Ce sera mon chef-d'oeuvre.» Et les livres ? «Dans un an et demi. C'est énorme, la suite d'American Tabloïd, dernier volet de ma trilogie, et ce sera mon chef-d'oeuvre. Comme les autres.»
Ses films noirs préférés ? «Celui-ci, Crime Wave, serait en fin de liste. The Prowler (le rôdeur), de Losey. Les deux films noirs de Wilder, Assurance sur la mort et Sunset Boulevard. The Line up, de Don Siegel. Incident de frontière, de Mann. J'adore aussi certaines portions de He Walked By Night(il marchait la nuit), aussi dirigé par Mann, malgré ce que dit le générique.»
Muller : «A ce propos, on a de bonnes nouvelles à vous annoncer. A force de tarauder les studios et les institutions, on commence à obtenir des résultats. Pas plus tard qu'hier, on a retrouvé le négatif original de The Prowler, qui sera donc bientôt restauré par l'UCLA Film Archive. Et si vous vous demandez pourquoi diable Assurance sur la mort n'est pas encore en DVD, eh bien c'est fait : version restaurée aussi, commentaires par James et moi. Mais ne vous attendez pas à avoir l'intégrale de ses élucubrations. Warner et les avocats ont déjà coupé au moins 45 % de ses outrages dans le commentaire qu'on a fait pour Crime Wave !"
Crime Wave, ou razzia sur la cinéphilie ?
De plus un autre coffret warner vas sortir , il s'agit du coffret tough guy qui contiendra :
'G' Men (1935)
Réalisé par William Keighley
Avec James Cagney
http://www.imdb.com/title/tt0026393/
Guerre au crime (Bullets or Ballots) 1936
Réalisé par William Keighley
Avec Edward G. Robinson
http://www.imdb.com/title/tt0027407/
La Révolté (San Quentin) 1937
Réalisé par Lloyd Bacon
Avec Pat O'Brien et Humphrey Bogart
http://www.imdb.com/title/tt0029511/
Un Meurtre sans importance (A Slight Case of Murder) 1938
Réalisé par Lloyd Bacon
Avec Edward G. Robinson
http://www.imdb.com/title/tt0030764/
A chaque aube je meurs (Each Dawn I Die) 1939
Réalisé par William Keighley
Avec James Cagney et George Raft
http://www.imdb.com/title/tt0031260/
Ville Conquise (City for Conquest) 1940
Réalisé par Anatole Litvak
Avec James Cagney, Ann Sheridan, Frank Craven, Donald Crisp
sinon un article de libé qui apporte quelques trés bonne nouvelle sur des prochain dvd de film noir.
Ellroy en pyromane du film noir
Pour des DVD Warner, le pape du polar se livre à des séances salées d'exégèse cinéphilique.
par Philippe GARNIER
QUOTIDIEN : mercredi 21 juin 2006
Los Angeles correspondance
«Good evening, peepers, prowlers, pederasts, skanks, panty-sniffers and dips. I'm James Ellroy.» (Bonsoir, voyeurs, rôdeurs, pédérastes, renifleurs de petites culottes, boudins et pickpockets), le «Top dog» du roman noir ouvrait ainsi les festivités à l'American Cinematheque pour leur annuel raout du film noir. Jusqu'ici, rien que la routine pour le «Slick Trick With the Donkey Dick» (l'arsouille monté comme un âne) l'écrivain m'as-tu-vu se présentant ainsi depuis des années à son public transis. Mais ces derniers temps, un goût partagé pour la boxe et le film noir aidant, il s'est trouvé un partenaire en la personne de l'écrivain Eddie Muller, «prince du noir» et infatigable démarcheur de la chose, avec qui il fait un remarquable numéro de claquettes verbal. On verra ces Abbott et Costello du film noir sur plusieurs DVD Warner à venir, dont celui de Crime Wave, justement, qui était présenté en ouverture du festival. Pour l'occase, ils se sont adonnés en public à un exercice d'introït cinéphile à la lampe à souder.
«Baisé.» «Géographie et chronologie sont notre destinée, continue Ellroy. Je suis né à Los Angeles en 1948, à l'apogée du film noir, ici à LA, l'épicentre du film noir. J'ai pris mon ticket pour la vie au même hôpital où Bobby Kennedy a pris le sien pour la sortie. Ma mère a été assassinée en 1958, affaire jamais résolue, et j'ai passé ma jeunesse à écumer les beaux quartiers d'Hancock Park, j'entrais dans les maisons par effraction, je reniflais les dessous de femme, malheureusement sans femme dedans. J'aime le film noir parce qu'il développe le seul thème qui compte : YOU'RE FUCKED (vous êtes baisé, vous l'avez dans l'os). Vous venez de rencontrer cette femme. Oh, ouais. Vous voilà parti pour le voyage sexuel dont rêve tout individu sur la planète, mais qu'il réalise rarement. ça c'est le bon côté. Le mauvais, c'est qu'en à peine six semaines vous allez vous retrouver condamné pour un crime que vous n'avez pas commis. Vous serez dans la Green Room à San Quentin, et juste au moment où ils lâcheront les granulés d'acide sulfurique votre dernière pensée sera pour elle, et vous lui serez RECONNAISSANT pour les brefs moments qu'elle vous aura donnés. Parce qu'on vit dans un univers noir, et...YOU'RE FUCKED."
Dix minutes et trois riffs sur le mot FUCKED plus tard, Ellroy conclue : «Et au fait, le film que vous allez voir n'est pas dégueu. Tourné en treize jours en 1952 par Andre DeToth. Beaucoup de gens trouvent que Russell Crowe était bon en Bud White dans LA Confidential. ERREUR. C'est Sterling Hayden qui aurait dû jouer Bud White, le Hayden que vous voyez ici dans le rôle du flic à cure-dent. Russell Crowe à côté, c'est de la crêpe Suzette un peu musclée. Et Phyllis Kirk !»
Muller interrompt : «C'est vrai, Phyllis Kirk est bandante dans ce film. Son état civil avait beau être Phyllis Kirkegaard (!), je n'ai jamais gobé ces pyjamas en flanelle qu'on lui voit porter au lit...»Ellroy, pas en reste : «Phyllis est TROP pour Gene Nelson. TOO MUCH WOMAN ! Gene Nelson, qui joue son mari taulard, était danseur dans Oklahoma sur Broadway, et on connaît ce monde-là... D'ailleurs, en automne 1952, quand ce film est sorti, j'avais quatre ans, et j'ai eu une liaison avec Phyllis Kirk...» (rires) (en fait, le film n'est sorti que deux ans plus tard).
Muller : «Mais eh, Ted DeCorsia, qui joue Doc Penny, il n'est pas dégueu non plus. Un de ces grands acteurs qu'on peut SENTIR quand il joue un mélange de pastilles contre la mauvaise haleine, de sueur et de gomina...»
Ellroy : «Ce que veut dire Eddie, c'est que DeCorsia est un pain bagnat. A greaseball..» (rires)
Muller se demande tout haut pourquoi le film s'appelle Crime Wave : «Le titre de travail était, tenez-vous bien, Don't Cry, Baby. Au moment de la sortie, c'était The City is Dark. Mais où sont-ils allés chercher cette histoire de vague criminelle ? Mince, je suis une plus grande vague criminelle que tous ces gars-là réunis !» (rires)
«Allez, une question choc, merde.» Ellroy : «C'est ça qui est bien avec ce film : ça décrit bien l'impasse, et aussi le boulot de flic, qui demande à employer des méthodes parfois criminelles. La vérité sur le film noir, c'est que la plupart du temps, c'est un tas de conneries sentimentales, qui très souvent ne marchent pas. ça vaut aussi pour certains bons films, comme la Griffe du passé. C'est bien, mais c'est rempli d'impossibilités, de trucs nazes et de mélodrame ridicule. Pas ici. Allez, une question choc, merde.» Quelqu'un demande: «Comment était monté Hayden ? Est-ce qu'il balançait avec le salami, ou juste le salsifis ?»
«Monsieur fait référence à mon court roman Hollywood Shakedown, dans lequel figure le queutard Steve Cochran, acteur qu'on disait doté d'un demi-mètre de joie dans le calebard, au repos. Pour Sterling Hayden, je n'ai pas l'info.»
Quelqu'un lui demande s'il a déjà vu The Black Dahlia, l'adaptation de son roman par Brian De Palma. «J'en ai vu six heures. C'est très beau. Maintenant, savoir si ça va pouvoir se ramener à un tout narratif cohérent sur deux heures... On verra ça en septembre. Scarlett Johansson est dedans, Aaron Eckhart, Hilary Swank... Mais je peux déjà vous dire que Josh Hartnett qui joue le policier Bucky Bleishert, vole toutes les scènes dans lesquelles il apparaît.»
«Ce sera mon chef-d'oeuvre.» Et les livres ? «Dans un an et demi. C'est énorme, la suite d'American Tabloïd, dernier volet de ma trilogie, et ce sera mon chef-d'oeuvre. Comme les autres.»
Ses films noirs préférés ? «Celui-ci, Crime Wave, serait en fin de liste. The Prowler (le rôdeur), de Losey. Les deux films noirs de Wilder, Assurance sur la mort et Sunset Boulevard. The Line up, de Don Siegel. Incident de frontière, de Mann. J'adore aussi certaines portions de He Walked By Night(il marchait la nuit), aussi dirigé par Mann, malgré ce que dit le générique.»
Muller : «A ce propos, on a de bonnes nouvelles à vous annoncer. A force de tarauder les studios et les institutions, on commence à obtenir des résultats. Pas plus tard qu'hier, on a retrouvé le négatif original de The Prowler, qui sera donc bientôt restauré par l'UCLA Film Archive. Et si vous vous demandez pourquoi diable Assurance sur la mort n'est pas encore en DVD, eh bien c'est fait : version restaurée aussi, commentaires par James et moi. Mais ne vous attendez pas à avoir l'intégrale de ses élucubrations. Warner et les avocats ont déjà coupé au moins 45 % de ses outrages dans le commentaire qu'on a fait pour Crime Wave !"
Crime Wave, ou razzia sur la cinéphilie ?
Legends of Horror Collection chez Warner le 3 octobre
Trouvé sur Classik cette excellente nouvelle : coffret 3 dvd regroupant 6 films:
the Devil Doll, Doctor X, The Return of Doctor X, Mad Love, The Mask of Fu Manchu and Mark of the Vampire.
Bref du Tod Browning, du Lugosi, du Karl Freund, du Karloff, du Michael Curtiz, du Atwill, du Peter Lorre d'un coup, c'est que du bonheur en perspective...
the Devil Doll, Doctor X, The Return of Doctor X, Mad Love, The Mask of Fu Manchu and Mark of the Vampire.
Bref du Tod Browning, du Lugosi, du Karl Freund, du Karloff, du Michael Curtiz, du Atwill, du Peter Lorre d'un coup, c'est que du bonheur en perspective...
J'en avais parler là, mais bon... Une aussi bonne nouvelle, ça se met en valeur.
viewtopic.php?t=5053

viewtopic.php?t=5053

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- Messages : 7653
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:30 am
- Localisation : A la recherche du bonus ultime
- Contact :
Warner France invente le DVD VHS
du 4/3 uniquement et que de la VF sur quelques titres qui viennent de sortir.
http://www.dvdrama.com/news.php?16050
et cela devrait continuer avec les Cheyennes en aout, 16/9 en zone 1, 4/3 en zone 2 et cut en +.
http://www.dvdrama.com/news.php?16050
et cela devrait continuer avec les Cheyennes en aout, 16/9 en zone 1, 4/3 en zone 2 et cut en +.
Sa place est dans un Blu-Ray !
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- Enregistré le : ven. déc. 17, 2004 8:43 pm
- Localisation : Dans un Bunker avec Playboy, une Dreamcast et un M16
Ouf, le seul qui me tentait !La bonne surprise
Involontairement, inconsciemment, Warner traite mieux Les Derniers Jours du disco que le reste de ces titres prévus Mercredi, en proposant une version originale sous-titrée français sur cette édition, que la jaquette n'indique même pas ("Français 2.0, sous-titres français" sont les seules indications). Certes nous pesterons toujours contre le transfert 4/3, mais il s'agit dans le lot du film souffrant le moins du zoom sur 16/9, du master le plus beau (en 16/9 la note image serait montée à 9/10), et surtout de l'inédit à découvrir cette semaine dans les bacs.

Avec joe's appartement également.
Sinon, et bien c'est tout simplement scandaleux.
Problème : Le gros des consomateurs, ceux qui achetent leur DVD en allant faire leurs courses à Leclerc, en a t-il quelque chose à faire de la VO ?
Je crois bien que non.
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- Messages : 7653
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:30 am
- Localisation : A la recherche du bonus ultime
- Contact :
c'est en tout cas un gros nivellement par le bas de la part d'une major américaine.
Universal avait amorcé la pompe en supprimant les VOST sur Magnum et autres séries mais là, c'est plus grave, avec l'absence de 16/9 là où les zone 1 le sont.
Visiblement des dvd faits en france alors que d'habitude, ils sont fait au niveau mondial et sans doute qu'en france, il n'y a pas de master 16/9 pour ces films. C'est triste
Universal avait amorcé la pompe en supprimant les VOST sur Magnum et autres séries mais là, c'est plus grave, avec l'absence de 16/9 là où les zone 1 le sont.
Visiblement des dvd faits en france alors que d'habitude, ils sont fait au niveau mondial et sans doute qu'en france, il n'y a pas de master 16/9 pour ces films. C'est triste
Sa place est dans un Blu-Ray !
De toutes façons, entre l'émergence de la VOD et du DVD-HD, on sent une volonté de ramener le DVD à un standard courant, "bas". Même chez les major. A une époque, les gens gueulaient quand "Creature" passait en DVD Mad recadré. Maintenant, il n'y a presque jamais la VO et le 16/9, et on hausse les épaules - je ne dis pas ça pour les gens de Mad - j'imagine que ça doit être la galère de dégotter un titre chaque mois - mais bien pour les éditeurs qui font de moins en moins d'efforts.
Les consomateurs sont de moins en moins exigeants, et quand on critique le fait qu'un DVD soit livré sans VO, etc., on a de plus en plus l'impression de passer pour un dangereux maniaque...
Les consomateurs sont de moins en moins exigeants, et quand on critique le fait qu'un DVD soit livré sans VO, etc., on a de plus en plus l'impression de passer pour un dangereux maniaque...
Modifié en dernier par Anonymous le mar. juil. 18, 2006 7:26 am, modifié 1 fois.
Un bon DVD, c'est....
1. Format cinema respecte. Transfert 16/9 quand il existe si on a pas les moyens de le faire.
2. Pluralité de langue dont la version originale.
3. Pluralité de sous-titrage.
4. des suppléments, parce que c'est bien aussi les supplements. Mais des supplements intelligents.
Ca, ca devrait etre le minimum syndical ! Mais disons que le (4) est quelque peut optionnel si on a deja le 1, le 2 et le 3.
Parce que retirer des bonus, ne jamais sous-titrer les commentaires audio ca craind. Mais si Warner continue en balancant des trucs recadré ou avec transfert 4/3 sans VO, ca craind. C'est Warner, quand meme !
1. Format cinema respecte. Transfert 16/9 quand il existe si on a pas les moyens de le faire.
2. Pluralité de langue dont la version originale.
3. Pluralité de sous-titrage.
4. des suppléments, parce que c'est bien aussi les supplements. Mais des supplements intelligents.
Ca, ca devrait etre le minimum syndical ! Mais disons que le (4) est quelque peut optionnel si on a deja le 1, le 2 et le 3.
Parce que retirer des bonus, ne jamais sous-titrer les commentaires audio ca craind. Mais si Warner continue en balancant des trucs recadré ou avec transfert 4/3 sans VO, ca craind. C'est Warner, quand meme !
"Fuck The World", Rambo