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The Butterfly Effect 2 - 2006 - John R. Leonetti
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
The Butterfly Effect 2 - 2006 - John R. Leonetti
La suite de "L'effet papillon" sort directement en DVD en zone 1 en octobre 2006, chez New Line. Elle est réalisée par le chef-opérateur John R. Leonetti (réalisateur de "Mortal Kombat 2").
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Un DTV relativement à l'aise du côté du budget, mais à l'ambition malheureusement très pauvre. L'effet de surprise qui faisait une des grandes forces du premier métrage s'avère totalement éventé. L'écriture est faible, l'intrigue peinant à remplir les petites 75 minutes de métrage effectif (+ 13 minutes de générique qui semblent passer au ralenti !). Bref, une fausse suite qui s'essouffle très vite et laisse sur une impression de vide et d'inabouti...
Re: The Butterfly Effect 2 - 2006 - John R. Leonetti
N’étant déjà pas fan du premier opus, je n’attendais rien ou presque de cette séquelle. Et comme souvent dans ce de figure, j’aurais tendance à faire preuve d’une relative indulgence envers le produit fini. D’autant qu’on évite ici ce que je redoutais le plus, à savoir un DTV fauché, torché à la va-vite. Comme le remarque Manolito plus haut, même si c’est du petit budget on n’a pas l’impression d’une bande filmée au rabais. L’ensemble est réalisé, photographié et éclairé avec un soin certain.
Maintenant ça reste quand même très dispensable. Le film manque drôlement de cachet du côté de l’interprétation, et puis surtout les auteurs exploitent plus que paresseusement leur intéressant concept. On nous amuse avec des problèmes sentimentalo-professionnels d’une banalité à pleurer sans vraiment travailler le sujet et en étirant au maximum toutes les séquences (cf. 2 les scènes pseudo-hot, qui n’en finissent plus). Pas très glorieux à ce niveau.
Un film inspired by (!?) and in the memory of John Frankenheimer, avec lequel John R. Leonetti a travaillé à 3 reprises comme directeur de la photo.
Maintenant ça reste quand même très dispensable. Le film manque drôlement de cachet du côté de l’interprétation, et puis surtout les auteurs exploitent plus que paresseusement leur intéressant concept. On nous amuse avec des problèmes sentimentalo-professionnels d’une banalité à pleurer sans vraiment travailler le sujet et en étirant au maximum toutes les séquences (cf. 2 les scènes pseudo-hot, qui n’en finissent plus). Pas très glorieux à ce niveau.
Un film inspired by (!?) and in the memory of John Frankenheimer, avec lequel John R. Leonetti a travaillé à 3 reprises comme directeur de la photo.