Black Journal / Gran Bollito - Mauro Bolognini - 1976
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Black Journal / Gran Bollito - Mauro Bolognini - 1976
Savon humain et petits gateaux d'os pour mégère acariatre.
Gran Bollito / La signora degli orrori sorti en video sous le titre Black journal est un petit bijou d'humour noir, une oeuvre empreinte de desespoir, desespoir qui doucement mène vers la folie.
La saponificatrice autre titre du film conte l'histoire d'une mère possessive et desespérée qui voue à son fils un amour sans limite un fils qu'elle a voulu plus que tout, la vie lui ayant toujours refusé la joie d'être mère. Avec tout l'acharnement du desespoir, elle a défié Dieu, ce Dieu qui lui a fait endurer sept grossesses ratées. Elle a réussi à le mettre au monde aprés avoir enduré les pires sacrifices jusqu'à s'arracher les ongles, les cheveux et les dents pour combattre le mauvais sort.
Léa, petite femme rondouillarde et vive, est désormais obsédée par la mort et le sang. L'ombre de la Mort la ronge comme un cancer. Elle boit à la santé du diable et cache sa haine des femmes, génératrices de vie et futures menaces pour ce fils qu'elle refuse de voir partir.
Léa, ravagée par le tourment, derrière sa bonhommie apparente et sa force de caractère, cache en fait une monstresse qui dans sa froide cuisine se livre à de terribles actes, les plus abominables qui soient.
Elle tue de sang-froid ses amies qu'elle invite à prendre une gentille tisane.
La femme doit mourrir, créature impure et souillon à ses yeux. Elle brandit alors son hachoir surnoisement et les décapite avant de les saigner comme des porcs sur sa table.
Puis, dans son immense chaudron noir qui donne au film son titre original Gran Bollito/ Big cauldron, elle les fait mijoter, cuire longtemps, trés longtemps, les transformant en savon qu'elle vend avec succés à ses voisines, ce savon qui rend la peau si douce. Les os lui servent à confectionner de petits gâteaux secs qu'elle offre ensuite joyeusement au thé.
Le jour où son fils, grand dadet à qui elle donne le bain ou gifle devant ses amis, lui présente sa fiancée, une danseuse donc forcément une vicieuse de mauvaise vie, Léa perd encore plus pied.
Elle hait cette fille qu'elle doit supporter, à qui elle doit sourire pour faire bonne figure, son visage se fermant et se transformant en un hideux rictus dés qu'elle tourne le dos.
Black journal est un film d'une noirceur totale, un film glauque mais d'une impitoyable lucidité. Bolognini décrit avec précision et toujours avec humour, un humour acide, tranchant comme le hachoir de Léa, l'univers de cette femme qui malgré sa cruauté est d'un pathétisme désarmant.
Quelque soient les actes les plus abominables qu'elle puisse commettre, on aime cette femme finalement plus pitoyable qu'autre chose. Léa n'est que souffrance et desespoir. Chacun de ses actes devient donc pardonnable si toutefois on peut pardonner le crime.
Tout l'univers de Bolognini n'est que tourment. Non seulement il situe son film dans les années 40 aux prémices de la guerre qui gronde au loin mais tous ses personnages sont des êtres torturés par leur vie ou leur passé. La jeune servante est arrièrée mentale, le mari de Léa est impotent et ses amies toutes névrosées.
Bolognini renforce ce coté névrotique en faisant jouer certains rôles féminins par des hommes travestis. Ceci pourrait prêter à rire et tourner à la farce mais ces éléments s'intègrent ici à merveille et viennent renforcer l'aspect glauque et malsain du film. Il en ressort un coté pathéthique et déprimant, presque malsain.
D'une grande tristesse, Black journal n'est pourtant pas avare de plans gore qui ravira l'amateur. Décapitations, restes humains nageant dans le chaudron en ébullition, ruisseaux de sang dégoulinant sur le parquet de cette cuisine qui pue la mort ou ces plans où Léa s'acharne à découper la viande devant sa servante terrifiée.
Doté de dialogues subtils et pertinents, bercé par une magifique BO sifflée, Black journal se termine par une explosion de haine où toute la cruauté de Léa éclatera au grand jour, furie incontrolable que la grossesse de Sandra soudainement destablisera et perdra, bouleversée par cette femme portant ce que la vie lui a trop souvent refusé, cette jeune femme portant la chair et le sang de son fils tant aimé.
On retiendra l'incroyable interprétation de Shelley Winters qui campe une Léa hallucinante, laissant éclater tout son talent. elle est une Léa criante de vérité, jouant à merveille sur les différentes facettes de son personnage ravagé.
A ses cotés, Max Von Sidow joue le double rôle du commissaire et de Lisa, une des amies de Léa.
Adrianna Asti prête ses traits incroyables à la servante attardée, Claudio Cassinelli est le fils, Claudio tout jeune dt la grosse Shelley lave le kiki bien visible et surtout l'apparition toujours aussi lumineuse de Laura Antonelli dans le rôle de Sandra, la malheureuse fiancée
Gran Bollito / La signora degli orrori sorti en video sous le titre Black journal est un petit bijou d'humour noir, une oeuvre empreinte de desespoir, desespoir qui doucement mène vers la folie.
La saponificatrice autre titre du film conte l'histoire d'une mère possessive et desespérée qui voue à son fils un amour sans limite un fils qu'elle a voulu plus que tout, la vie lui ayant toujours refusé la joie d'être mère. Avec tout l'acharnement du desespoir, elle a défié Dieu, ce Dieu qui lui a fait endurer sept grossesses ratées. Elle a réussi à le mettre au monde aprés avoir enduré les pires sacrifices jusqu'à s'arracher les ongles, les cheveux et les dents pour combattre le mauvais sort.
Léa, petite femme rondouillarde et vive, est désormais obsédée par la mort et le sang. L'ombre de la Mort la ronge comme un cancer. Elle boit à la santé du diable et cache sa haine des femmes, génératrices de vie et futures menaces pour ce fils qu'elle refuse de voir partir.
Léa, ravagée par le tourment, derrière sa bonhommie apparente et sa force de caractère, cache en fait une monstresse qui dans sa froide cuisine se livre à de terribles actes, les plus abominables qui soient.
Elle tue de sang-froid ses amies qu'elle invite à prendre une gentille tisane.
La femme doit mourrir, créature impure et souillon à ses yeux. Elle brandit alors son hachoir surnoisement et les décapite avant de les saigner comme des porcs sur sa table.
Puis, dans son immense chaudron noir qui donne au film son titre original Gran Bollito/ Big cauldron, elle les fait mijoter, cuire longtemps, trés longtemps, les transformant en savon qu'elle vend avec succés à ses voisines, ce savon qui rend la peau si douce. Les os lui servent à confectionner de petits gâteaux secs qu'elle offre ensuite joyeusement au thé.
Le jour où son fils, grand dadet à qui elle donne le bain ou gifle devant ses amis, lui présente sa fiancée, une danseuse donc forcément une vicieuse de mauvaise vie, Léa perd encore plus pied.
Elle hait cette fille qu'elle doit supporter, à qui elle doit sourire pour faire bonne figure, son visage se fermant et se transformant en un hideux rictus dés qu'elle tourne le dos.
Black journal est un film d'une noirceur totale, un film glauque mais d'une impitoyable lucidité. Bolognini décrit avec précision et toujours avec humour, un humour acide, tranchant comme le hachoir de Léa, l'univers de cette femme qui malgré sa cruauté est d'un pathétisme désarmant.
Quelque soient les actes les plus abominables qu'elle puisse commettre, on aime cette femme finalement plus pitoyable qu'autre chose. Léa n'est que souffrance et desespoir. Chacun de ses actes devient donc pardonnable si toutefois on peut pardonner le crime.
Tout l'univers de Bolognini n'est que tourment. Non seulement il situe son film dans les années 40 aux prémices de la guerre qui gronde au loin mais tous ses personnages sont des êtres torturés par leur vie ou leur passé. La jeune servante est arrièrée mentale, le mari de Léa est impotent et ses amies toutes névrosées.
Bolognini renforce ce coté névrotique en faisant jouer certains rôles féminins par des hommes travestis. Ceci pourrait prêter à rire et tourner à la farce mais ces éléments s'intègrent ici à merveille et viennent renforcer l'aspect glauque et malsain du film. Il en ressort un coté pathéthique et déprimant, presque malsain.
D'une grande tristesse, Black journal n'est pourtant pas avare de plans gore qui ravira l'amateur. Décapitations, restes humains nageant dans le chaudron en ébullition, ruisseaux de sang dégoulinant sur le parquet de cette cuisine qui pue la mort ou ces plans où Léa s'acharne à découper la viande devant sa servante terrifiée.
Doté de dialogues subtils et pertinents, bercé par une magifique BO sifflée, Black journal se termine par une explosion de haine où toute la cruauté de Léa éclatera au grand jour, furie incontrolable que la grossesse de Sandra soudainement destablisera et perdra, bouleversée par cette femme portant ce que la vie lui a trop souvent refusé, cette jeune femme portant la chair et le sang de son fils tant aimé.
On retiendra l'incroyable interprétation de Shelley Winters qui campe une Léa hallucinante, laissant éclater tout son talent. elle est une Léa criante de vérité, jouant à merveille sur les différentes facettes de son personnage ravagé.
A ses cotés, Max Von Sidow joue le double rôle du commissaire et de Lisa, une des amies de Léa.
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Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
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- Localisation : le coffre d'une bagnole au fond d'un etang pres d'un motel glauque
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Eh oui, Milton!! Notre bonne grosse et si regrettée Shelley est l'heroïne de ce film macabre et tragique, Shelley qui entrait alors dans sa période cinéma italien, exilée à Rome.
Shelley y est dementielle. sa force d'interprétation, les differentes facettes de son personnage qu'elle sait si bien mettre en valeur sont epoustoufflantes. Touchante, cruelle, pitoyable, desespérée.. elle est tout cela à la fois.
Qques infos sur ce flm:
Tout d'abord, il est tiré d'une histoire vraie, celle de la célèbre saponificatrice de Corregio, Valeria Cianculli, qui aujourd'hui à sa statue au musée du crime.
Le titre original est GRAN BOLLITO et il est inédit en salles chez nous mais il existe une belle VHS francaise sous le titre BLACK JOURNAL sorti chez 2 éditeurs comme le précise Fairfax.
Le film est connu sous d'autres titres dont: LA SAPONFICATRICE, LA SIGNORA DEGLI ORRORI, CANNIBAL WOMAN, BIG CAULDRON...
Le film est devenu aujourd'hui assez rare et difficile à trouver en video, faisant figure de film culte. Il est tout aussi rare en Italie où il jouit d'une excellente réputation et Shelley à l'époque a traumatisé plus d'un italien
!!
Au pire, Eric le possède!
Il n'existe aucun DVD pas même une eventuelle prévision pour l'instant.
La VHS sortie chez nous compte une durée de 95mn alors que la durée initiale du film serait de 115mn.. certaines des scènes gore assez trash ayant été j'imagine raccourcies.
Je vais essayer de trouver des photos à moins que Stebhz de son panier magique nous sorte la jaquette!!
Shelley y est dementielle. sa force d'interprétation, les differentes facettes de son personnage qu'elle sait si bien mettre en valeur sont epoustoufflantes. Touchante, cruelle, pitoyable, desespérée.. elle est tout cela à la fois.
Qques infos sur ce flm:
Tout d'abord, il est tiré d'une histoire vraie, celle de la célèbre saponificatrice de Corregio, Valeria Cianculli, qui aujourd'hui à sa statue au musée du crime.
Le titre original est GRAN BOLLITO et il est inédit en salles chez nous mais il existe une belle VHS francaise sous le titre BLACK JOURNAL sorti chez 2 éditeurs comme le précise Fairfax.
Le film est connu sous d'autres titres dont: LA SAPONFICATRICE, LA SIGNORA DEGLI ORRORI, CANNIBAL WOMAN, BIG CAULDRON...
Le film est devenu aujourd'hui assez rare et difficile à trouver en video, faisant figure de film culte. Il est tout aussi rare en Italie où il jouit d'une excellente réputation et Shelley à l'époque a traumatisé plus d'un italien

Au pire, Eric le possède!

Il n'existe aucun DVD pas même une eventuelle prévision pour l'instant.

La VHS sortie chez nous compte une durée de 95mn alors que la durée initiale du film serait de 115mn.. certaines des scènes gore assez trash ayant été j'imagine raccourcies.

Je vais essayer de trouver des photos à moins que Stebhz de son panier magique nous sorte la jaquette!!
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Je précise aussi que le film est connu sous deux autres titres francais: A l'aube de la folie et La mémoire diabolique.
L'affiche italienne du film:

et qques photos:
Shelley Winters et son hachoir

Shelley lavant son fils Claudio cassinelli avec vision de kiki

La table de cuisine servant à découper et vider de leur sang les victimes:

Max Von Sydow travesti en Berta

L'affiche italienne du film:

et qques photos:
Shelley Winters et son hachoir

Shelley lavant son fils Claudio cassinelli avec vision de kiki


La table de cuisine servant à découper et vider de leur sang les victimes:

Max Von Sydow travesti en Berta

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...non là, definitivement faut que je degotte ça: la mère Shirley avec son hachoir, father Merrin en travelot!!!
Ca à l'air bien... enfin bien... enfin comme seul les italiens osaient nous en sortir y a 30 ans quoi!

Sinon les autres titres français, ils viennent de quoi? autres editions vidéo? Canada?
Le film n'est jamais sortit sur les ecrans Français c'est bien ça?
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En effet, le film n'est jamais sorti en France hormis en VHS avec ce titre Black journal. Les autres titres francais doivent etre des titres belges ou pour l'exploitation en pays francophones.
Bonnes recherches... et au pire, si elles demeurent vaines, je l'ai
En tous cas, le fim est grandose à tous point de vue et Shelley divine!!
Bonnes recherches... et au pire, si elles demeurent vaines, je l'ai

En tous cas, le fim est grandose à tous point de vue et Shelley divine!!
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Diffusé cet été sur...Cine Polar !!!
Une vraie perle, quoique les morts soient assez peu graphiques et versent davantage dans le suggéré...
Une atmosphère opressante et morbide à souhait, de l'humour bien noir (le biscuits "Os-de-morts"
), une Shelley Winters impeccable, une magnifique Laura Antonelli
et un Max Von Sydow qu'on reverra pas d'aussitôt en travesti !!
Excellente B.O aux accents morbide/mélancolique et une petite apparition de Franco Branciaroli (l'amant de la Sandrelli dans "La clef") en jeune prêtre très apprecié des vieilles tatas

Une vraie perle, quoique les morts soient assez peu graphiques et versent davantage dans le suggéré...
Une atmosphère opressante et morbide à souhait, de l'humour bien noir (le biscuits "Os-de-morts"


Excellente B.O aux accents morbide/mélancolique et une petite apparition de Franco Branciaroli (l'amant de la Sandrelli dans "La clef") en jeune prêtre très apprecié des vieilles tatas

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Sous quel titre a t'il été diffusé Jeremie?
Et sous quelle durée? A t'on eu droit à une version uncut du film?
Et sous quelle durée? A t'on eu droit à une version uncut du film?

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MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
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Sous le titre de Gran Bollitoeric draven a écrit :Sous quel titre a t'il été diffusé Jeremie?
Et sous quelle durée? A t'on eu droit à une version uncut du film?

Aucune idée de la durée, mais la copie était en V.O et ne semblait pas issue d'un dvd (ou alors il devait être de mauvaise qualité)...
A part le découpage de l'animal et la décapitation en ombre chinoise, ainsi que quelques filets de sang sur les murs, nenni

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- Localisation : Dans la maison aux fenêtres qui rient, tout à côté de chez la Mère des Ténèbres
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Vu ta description Jeremie, c'est la copie qu'on connait en VHS chez nous.
De toutes façons il n'existe aucun DVD du film, un des DVD les plus souhaités en Italie actuellement où le film est devenu rare, sa diffusion TV étant quasiment inexistante depuis des années.
Cinepolar a du faire bien des jaloux du coté de la Botte!!
Je rapelle que la version integrale est de 115 mn, la VHS francaise seulement de 92.
De toutes façons il n'existe aucun DVD du film, un des DVD les plus souhaités en Italie actuellement où le film est devenu rare, sa diffusion TV étant quasiment inexistante depuis des années.
Cinepolar a du faire bien des jaloux du coté de la Botte!!

Je rapelle que la version integrale est de 115 mn, la VHS francaise seulement de 92.
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Hmmm.. ca sent donc le Uncutinfernalia a écrit :Bon (il était temps).
Approximativement, ma version fait 106 minutes...

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