Le Diable s'habille en Prada (2006) David Frankel
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Le Diable s'habille en Prada (2006) David Frankel
D'après le best seller eponyme, voici une petite histoire gentillette dans les coulisses d'un grand journal de mode !
Pour realiser le bidule, ils n'ont pas pris de risque, ils ont confié la tache a un specialiste de la serie TV qui a oeuvré, entre autres, sur SEX & THE CITY (j'ai vu 4 episodes, rien d'interessant la dedans !). Tourné en Scope avec du Madonna a fond sur des images clippes et une partition musicale swinguée de Theodore Shapiro (le theme est sympa).
Satire du milieu de la presse et de la mode, c'est ce que nous propose LE DIABLE S'HABILLE EN PRADA. Bon, ca n'egratigne pas trop fort, ce n'est pas le but. On assiste donc a la jolie histoire d'une jeune femme idealiste qui entre dans ce milieu et qui pense que ce sera un bon tremplin pour devenir journaliste. Elle n'en a rien a foutre de la mode, elle ne sait meme pas faire la difference entre 256 nuances de bleues, quelle cruche ! Mais elle est mignone, c'est Anne Hathaway, une des rares actrices qui a un sourire qui prendre plus de 50% de son visage et on avait deja pu la voir dans le tout aussi inoffensif, mais amusant, ELLA AU PAYS ENCHANTE.
Face a elle, le diable (un faux diable, hein !), il y a la directrice du magazine Runway (l'inspiration d'origine etant Vogue) est interprété par Meryl Streep. L'actrice est grandiose dans ce role de dragon des redactions. Elle est odieuse, pédante... Travailler pour elle, c'est l'enfer ! Autre acteur notable, Stanley Tucci incarne un styliste gay (normal, apparemment, c'est inevitable mode=gay) qui bosse pour Runway. Notre jeune assistante va donc evoluer a contre courant avec ses fringues nunuches pour finalement reprendre du poil de la bete et devenir Miss Mode et enchanter ses employeurs. A l'exception de son mec qui ne reconnait plus sa nana. Il faut dire que lorsque tu bosses a faire des sandwich grilles au fromage et que ta nana se pointe habillee en gravure de mode, il y a comme une fissure qui s'ouvre entre les deux.
Bon, ca fini bien, la jeune femme se barre, reprend ses guenilles (bizarrement, elle est plus jolie ainsi), reprend son mec qui fait des sandwichs au fromage et devient une vraie journaliste !
Acéré, rarement voire jamais. Agressif, sur l'affiche avec son talon infernal mais pas vraiment dans le film. En fait, c'est une petite comédie pleine de bons sentiments. Moi, j'ai trouvé ca sympathique, je n'etais pas au supplice, il y a des passages amusants... Manolito doit avoir honte, on la vu ensemble mais il ne s'est pas pressé pour en faire un compte rendu ici meme. Remarquez qu'il n'a pas aimé comme ELLA AU PAYS ENCHANTE d'ailleurs !
Un film ideal pour le placement de produits.
Pour realiser le bidule, ils n'ont pas pris de risque, ils ont confié la tache a un specialiste de la serie TV qui a oeuvré, entre autres, sur SEX & THE CITY (j'ai vu 4 episodes, rien d'interessant la dedans !). Tourné en Scope avec du Madonna a fond sur des images clippes et une partition musicale swinguée de Theodore Shapiro (le theme est sympa).
Satire du milieu de la presse et de la mode, c'est ce que nous propose LE DIABLE S'HABILLE EN PRADA. Bon, ca n'egratigne pas trop fort, ce n'est pas le but. On assiste donc a la jolie histoire d'une jeune femme idealiste qui entre dans ce milieu et qui pense que ce sera un bon tremplin pour devenir journaliste. Elle n'en a rien a foutre de la mode, elle ne sait meme pas faire la difference entre 256 nuances de bleues, quelle cruche ! Mais elle est mignone, c'est Anne Hathaway, une des rares actrices qui a un sourire qui prendre plus de 50% de son visage et on avait deja pu la voir dans le tout aussi inoffensif, mais amusant, ELLA AU PAYS ENCHANTE.
Face a elle, le diable (un faux diable, hein !), il y a la directrice du magazine Runway (l'inspiration d'origine etant Vogue) est interprété par Meryl Streep. L'actrice est grandiose dans ce role de dragon des redactions. Elle est odieuse, pédante... Travailler pour elle, c'est l'enfer ! Autre acteur notable, Stanley Tucci incarne un styliste gay (normal, apparemment, c'est inevitable mode=gay) qui bosse pour Runway. Notre jeune assistante va donc evoluer a contre courant avec ses fringues nunuches pour finalement reprendre du poil de la bete et devenir Miss Mode et enchanter ses employeurs. A l'exception de son mec qui ne reconnait plus sa nana. Il faut dire que lorsque tu bosses a faire des sandwich grilles au fromage et que ta nana se pointe habillee en gravure de mode, il y a comme une fissure qui s'ouvre entre les deux.
Bon, ca fini bien, la jeune femme se barre, reprend ses guenilles (bizarrement, elle est plus jolie ainsi), reprend son mec qui fait des sandwichs au fromage et devient une vraie journaliste !
Acéré, rarement voire jamais. Agressif, sur l'affiche avec son talon infernal mais pas vraiment dans le film. En fait, c'est une petite comédie pleine de bons sentiments. Moi, j'ai trouvé ca sympathique, je n'etais pas au supplice, il y a des passages amusants... Manolito doit avoir honte, on la vu ensemble mais il ne s'est pas pressé pour en faire un compte rendu ici meme. Remarquez qu'il n'a pas aimé comme ELLA AU PAYS ENCHANTE d'ailleurs !
Un film ideal pour le placement de produits.
"Fuck The World", Rambo
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- Enregistré le : ven. août 20, 2004 7:37 pm
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Si le film, comme le bouquin, eveil chez moi un interret des plus limité (avec en prime, Anne"bromure"Hataway, la femme au 52 dents; ça fait beaucoup pour moi!) la presence de l'imperaStreep, et les deux replique culte qu'elle balance dans la dans la B.A ( le "The details of your incompetence do not interest me" qu'elle lache a son assistante terrorisée est assez jouissif)
je suis dans une crise aigüe de Streepomania pour le moment, ce qui fait que sa presence -avec ce look sublime en plus- devrais suffire a attirer mes fesses jusqu'a la salle idoine.
je suis dans une crise aigüe de Streepomania pour le moment, ce qui fait que sa presence -avec ce look sublime en plus- devrais suffire a attirer mes fesses jusqu'a la salle idoine.

film de filles agréable, vu pire dans ce créneau, il y a de belles images de nyc qui remplissent, un rytme suffisament soutenu pour ne pas s'ennuyer.
J'ai envie de dire que cela passe, j'affirme même sans honte avoir passe un bon moment. Meryl strip sauve ce film qui aurait été un peu ennuyeux sans elle.
Arioch tu ne spoili rien du tout, l'histoire se devine dans les 30 première secondes.
le film ideal du mercredi ou enmener sa moitié.
J'ai envie de dire que cela passe, j'affirme même sans honte avoir passe un bon moment. Meryl strip sauve ce film qui aurait été un peu ennuyeux sans elle.
Arioch tu ne spoili rien du tout, l'histoire se devine dans les 30 première secondes.
le film ideal du mercredi ou enmener sa moitié.
Oui et non. Moi, comme Manolito le Taciturne (des qu'il faut parler de comedie pour nanas), on s'est demande si elle n'allait pas choisir le beau journaliste qui ecrit comme un dieu, fait l'amour comme un dieu, friqué et, en fait, assez sympa ! Pas un doute de trois heures mais pendant un moment, tu te dis, tiens, elle serait bete de... Mais les sandwichs trop grilles au fromage, c'est irremplacable !romain2 a écrit :Arioch tu ne spoili rien du tout, l'histoire se devine dans les 30 première secondes.
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Pardon ?romain2 a écrit : le film ideal du mercredi ou enmener sa moitié.

je précise, le film ou votre moitiée vous enmeras un soir de semaine, c'est elle le coeur de cible. Il y avait beaucoup beaucoup de filles lors de la scéance (pour moi mercredi dernier), la plupart venue entre copines.
Excellente comédie, bien rythmée et magistralement interprétée par Meryl Streep qui est jubilatoire. La revoici, la belle Meryl de La diable (She Devil), hautaine et garce, elle me manquait dans ce type de rôle. Bon le film est néanmoins loin d'être parfait et souffre d'une fin d'une bêtise crasse et de bons sentiments déplacés que le roman éviterait (je ne l'ai pas lu).