"Les créatures de l'ombre", de John Newland (1973)
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milton arbogast
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ouiiiii, je vois: ils sont cachés dans la cheminée et la femme entend toujours murmurer son nom.Le titre c'est quelques choses "don't be afraid of the dark" or something dans ce gout la! ...et c'est un télé film.
Bon d'accord c'est un peu vaporeux comme ça mais, est ce que çà à l'air de coller un peu?
Modifié en dernier par milton arbogast le dim. oct. 22, 2006 1:55 pm, modifié 1 fois.
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milton arbogast
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milton arbogast
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Oui c'est ça!
Ca fait un bail que j'avais pas revu ces affreuses petites têtes
Bravo et merci
Je vois qu'ils parlent d'un remake sur Imdb...le point positif c'est que l'original ressortira peut être en DvD.
Donc c'etait pas une fillette mais la femme et les créatures voulaient en faire une des leurs, ce film m'a vraiment fait flipper
Ca fait un bail que j'avais pas revu ces affreuses petites têtes
Bravo et merci
Je vois qu'ils parlent d'un remake sur Imdb...le point positif c'est que l'original ressortira peut être en DvD.
Donc c'etait pas une fillette mais la femme et les créatures voulaient en faire une des leurs, ce film m'a vraiment fait flipper
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bluesoul
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Don’t be afraid of the Dark TV (1973) – John Newland
Apres qu’un couple ayant herite de la demeure familiale de l’epouse ait commence a s’installer dans les lieux, l’epouse, passant outre les recommendations d’un vieil ouvrier, s’essaye a rendre fonctionnelle une cheminee installee dans une piece secrete. Ce qu’elle ignore, c’est que “quelque chose” fut jadis enferme dans cette cheminee, et que ce “quelque chose” est maintenant libre “grace” ou “a cause” d’elle…
Si la compagnie de production du metrage; la Lorimar, est surtout connue pour etre derriere les succes de la television que sont Dallas (1978), Falcon Crest (1981) ou Flamingo Road (1981), series racontant les malheurs des riches en “narration-fleuve”, dans les annees 70s, et comme bien d’autres societes, cette compagnie n’hesitait pas a produire des “telefrights” (“telefilm de trouille”); tels Dying Room only TV (1973), The Stranger within TV (1974), Bad Ronald TV (1974), Conspiracy of Terror TV (1975) ou le DbaotD present.
A ce titre, DbaotD fait partie des telefrights les plus connus Outre-Atlantique, car multi-rediffuse sur les chaines US.
Diffuse initialement sur la chaine ABC, DbaotD est une variation sur le theme de la maison hantee ou sur un cas de presence diabolique, mais jouant en parallele et assez adroitement la carte de la fragilite mentale de sa protagoniste principale en proie a des problemes de couple.
En effet, le couple-vedette, est loin d’etre un couple-modele, ou l’epouse, coincee entre sa solitude déjà tres marquee et ses psychoses grandissantes d’un cote, et ou le mari, accapare par sa carriere, commence a voir sa femme comme un “obstacle”.
Si l’approche de la potentielle faiblesse mentale de l’epouse est plutot bien exploitee narrativement, le spectateur est neanmoins mis rapidement dans la confidence et mis en presence avec la “menace” ce qui amoindrit un peu l’impact du recit.
De par son contenu et son “bestiaire”, le film fait souvent penser a The Gate (1987), mais dans une version orientee plus pour adulte (epoque oblige).
Concernant les creatures, si ces dernieres sont tres typees “tele des annees 70s”, elle restent cependant peu engageantes, assez bien exploitees par la realisation de John Newland (Alcoa Presents: One Step Beyond TV (1959), Thriller TV (1961), The Survivors TV (1969) ) qui met la demeure tout aussi bien en valeur.
Ainsi, l’interieur de la maison reste constemment dans les tenebres, sombres recoins dans lesquels rodent les “autres”. ( Notons qu’au passage, ceci permet de garder ces derniers dans des tenebres qui les cacheront judicieusement. CQFD ).
Notons aussi, que les tenebres dans lesquelles le couple, mais surtout l’epouse passe ainsi son temps, semblent tracer un parallele avec son etat mental, déjà apparemment peu solide au depart, et qui semblera (a son entourage) graduellement se fissurer.
Quelque part, le recit est egalement celui d’un epouse “enfermee” ans un mariage decevant, ainsi que dans une demeure sinistre et devant faire face a ses peurs, ici; les creatures, mais peut-etre aussi des craintes plus profondes quant a justement son mariage et ses relations (de plus en plus tendues) avec son mari…
La realisation de Newland est tres efficace dans l’ensemble, fesant bonne utilisatin de son decors et ses acteurs, tout en laissant planer un doute quant a la sante mentale de son interprete principale. Il est en fait juste un peu dommage que le scenario fait partager les angoisses de l’heroine avec certains personnages, diminuant donc l’element psychologique du recit.
Cote casting, Kim Darby (True Grit (1969), The Grissom Gang (1971), Ghost Story TV (1973) ) livre une tres bonne prestation exploitant bien la dimension mentale du personnage, tandis que Jim Hutton (Major Dundee (1965), The Green Berets (1972), Ellery Queen TV (1975) ) fait bien passer l’egoisme du sien et l’irritation face aux “divagations” de sa partenaire.
Un excellent (tele)film au final, qui aurait pu encore plus “marquer le coche” si le scenario s’etait montre un cran plus fin, mais ne boudons neanmoins pas notre plaisir face a un film qui installe tres bien sa sombre atmosphere.
Don’t be afraid of the Dark: 4.25 / 5
Si la compagnie de production du metrage; la Lorimar, est surtout connue pour etre derriere les succes de la television que sont Dallas (1978), Falcon Crest (1981) ou Flamingo Road (1981), series racontant les malheurs des riches en “narration-fleuve”, dans les annees 70s, et comme bien d’autres societes, cette compagnie n’hesitait pas a produire des “telefrights” (“telefilm de trouille”); tels Dying Room only TV (1973), The Stranger within TV (1974), Bad Ronald TV (1974), Conspiracy of Terror TV (1975) ou le DbaotD present.
A ce titre, DbaotD fait partie des telefrights les plus connus Outre-Atlantique, car multi-rediffuse sur les chaines US.
Diffuse initialement sur la chaine ABC, DbaotD est une variation sur le theme de la maison hantee ou sur un cas de presence diabolique, mais jouant en parallele et assez adroitement la carte de la fragilite mentale de sa protagoniste principale en proie a des problemes de couple.
En effet, le couple-vedette, est loin d’etre un couple-modele, ou l’epouse, coincee entre sa solitude déjà tres marquee et ses psychoses grandissantes d’un cote, et ou le mari, accapare par sa carriere, commence a voir sa femme comme un “obstacle”.
Si l’approche de la potentielle faiblesse mentale de l’epouse est plutot bien exploitee narrativement, le spectateur est neanmoins mis rapidement dans la confidence et mis en presence avec la “menace” ce qui amoindrit un peu l’impact du recit.
De par son contenu et son “bestiaire”, le film fait souvent penser a The Gate (1987), mais dans une version orientee plus pour adulte (epoque oblige).
Concernant les creatures, si ces dernieres sont tres typees “tele des annees 70s”, elle restent cependant peu engageantes, assez bien exploitees par la realisation de John Newland (Alcoa Presents: One Step Beyond TV (1959), Thriller TV (1961), The Survivors TV (1969) ) qui met la demeure tout aussi bien en valeur.
Ainsi, l’interieur de la maison reste constemment dans les tenebres, sombres recoins dans lesquels rodent les “autres”. ( Notons qu’au passage, ceci permet de garder ces derniers dans des tenebres qui les cacheront judicieusement. CQFD ).
Notons aussi, que les tenebres dans lesquelles le couple, mais surtout l’epouse passe ainsi son temps, semblent tracer un parallele avec son etat mental, déjà apparemment peu solide au depart, et qui semblera (a son entourage) graduellement se fissurer.
Quelque part, le recit est egalement celui d’un epouse “enfermee” ans un mariage decevant, ainsi que dans une demeure sinistre et devant faire face a ses peurs, ici; les creatures, mais peut-etre aussi des craintes plus profondes quant a justement son mariage et ses relations (de plus en plus tendues) avec son mari…
La realisation de Newland est tres efficace dans l’ensemble, fesant bonne utilisatin de son decors et ses acteurs, tout en laissant planer un doute quant a la sante mentale de son interprete principale. Il est en fait juste un peu dommage que le scenario fait partager les angoisses de l’heroine avec certains personnages, diminuant donc l’element psychologique du recit.
Cote casting, Kim Darby (True Grit (1969), The Grissom Gang (1971), Ghost Story TV (1973) ) livre une tres bonne prestation exploitant bien la dimension mentale du personnage, tandis que Jim Hutton (Major Dundee (1965), The Green Berets (1972), Ellery Queen TV (1975) ) fait bien passer l’egoisme du sien et l’irritation face aux “divagations” de sa partenaire.
Un excellent (tele)film au final, qui aurait pu encore plus “marquer le coche” si le scenario s’etait montre un cran plus fin, mais ne boudons neanmoins pas notre plaisir face a un film qui installe tres bien sa sombre atmosphere.
Don’t be afraid of the Dark: 4.25 / 5
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.
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Superwonderscope
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Re: Don’t be afraid of the Dark TV (1973) – John Newland
Merci d'utiliser la fonction rechercher, car il s'agit d'un "quadruplon" dans ce cas précis 
http://www.devildead.com/forum/viewtopi ... 48#p226648
mais aussi :
http://www.devildead.com/forum/viewtopi ... it=newland
et encore :
http://www.devildead.com/forum/viewtopi ... it=newland
http://www.devildead.com/forum/viewtopi ... 48#p226648
mais aussi :
http://www.devildead.com/forum/viewtopi ... it=newland
et encore :
http://www.devildead.com/forum/viewtopi ... it=newland
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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bluesoul
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Re: Don’t be afraid of the Dark TV (1973) – John Newland
Oups desole! 
Me rappelait absolument pas d'avoir vu de thread sur les telefilms...
Me rappelait absolument pas d'avoir vu de thread sur les telefilms...
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.
Re: "Les créatures de l'ombre", de John Newland (1973)
En attendant le remake en France (si jamais il sort un jour !), le test du DVD R sur devil ! 
http://www.devildead.com/indexfilm.php3 ... k-1973-dvd
A noter qu'il s'agit du premier dvdr de 2009 ; depuis aout 2011, c'est une nouvelle édition que propose Warner, avec un nouveau télécinéma. On remarque aussi que les prix deviennent plus cools qu'il y a deux ans pour ces dvd r : 13,50 dollars sur deepdiscount pour celui-ci par exemple...
http://www.devildead.com/indexfilm.php3 ... k-1973-dvd
A noter qu'il s'agit du premier dvdr de 2009 ; depuis aout 2011, c'est une nouvelle édition que propose Warner, avec un nouveau télécinéma. On remarque aussi que les prix deviennent plus cools qu'il y a deux ans pour ces dvd r : 13,50 dollars sur deepdiscount pour celui-ci par exemple...