J'appuirais un peu plus sur les réserves personnellement aussi, comme Zecreep ou Eric.
Je dois dire que je me suis bien fais chier tout du long pour quelques scènes de tention bien trop éparsse. L'histoire générale met trop de temps à se mettre en place et le mystère n'opère pas/plus.
Dommage car il y avait de quoi faire avec cette jolie distribution (et cette très bonne idée de duo (Mullan / Caruso) et cette imposante batisse qui comme Manu le dit bien "est le meilleur des effet spéciaux".
session 9
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ZombiGirl
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Un excellent film un peu en deçà de THE MACHINIST où le talent de Brad Anderson se révèle vraiment. Les deux films se rapprochent un peu en ce qui concerne la construction de leurs histoires respectives qui sont certes prévisibles (et parfois répétitive pour SESSION 9), mais le réal nous amène jusqu'au bout d'une façon qui ne l'est pas. Quelques vrais moments de terreur (la scène du couloir 
) et une réalisation sans faille. J'aime Brad Anderson 
J'aimerais bien revoir le film, d'ailleurs 
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Allan Theo
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ZombiGirl
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Test du Z2 perfectible au niveau des suppléments mais pour la qualité, c'est impec !
http://www.devildead.com/indexfilm.php3?FilmID=1360
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Dragonball
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C'est assez difficile d'aborder "Session nine" en faisant abstraction de on réalisateur, et surtout, du film qui l'a réellement fait connaitre, "The Machinist".
Heureusement, quand j'ai vu "Session 9", je n'étais pas au courant que c'était Brad anderson qui était derrière.
En l'état, j'avais trouvé le film sympathique, mais pas transcendant non plus. C'est bien réalisé, l'interprétation est correcte, mais le film est un peu trop lent et un trop emprunt de retenu. Le tout reste trop timoré pour qu'on soit vraimen pris dans le film même si celui ci arrive à maintenir un petit suspense jusqu'à la fin.
Après, lorsqu'on sait que le film est de Brad Anderson, "Session 9" apparait clairement comme un brouillon de "The Machinist", plus abouti et plus prenant que ce dernier.
Paradoxalement, il met aussi en lumière l'importance capital de la performance de Christian Bale dans la réussite de "The Machinist". Sans lui, nul doute que celui ci aurait été moins percutant, de même que "Session 9", avec des acteurs plus charismatiques (même si ceux ci sont comme je l'ai dit totu à fait correcte) aurait été bien meilleur.
Bref, "Session 9", comme "The machinist" apparaissent, qaund on a vu l'un et l'autre et qu'on a donc pu les comparer, comme des films devant principalement leurs intensité aux acteurs qu'ils mettent en scène, qu'a leur réalisation respective.
Heureusement, quand j'ai vu "Session 9", je n'étais pas au courant que c'était Brad anderson qui était derrière.
En l'état, j'avais trouvé le film sympathique, mais pas transcendant non plus. C'est bien réalisé, l'interprétation est correcte, mais le film est un peu trop lent et un trop emprunt de retenu. Le tout reste trop timoré pour qu'on soit vraimen pris dans le film même si celui ci arrive à maintenir un petit suspense jusqu'à la fin.
Après, lorsqu'on sait que le film est de Brad Anderson, "Session 9" apparait clairement comme un brouillon de "The Machinist", plus abouti et plus prenant que ce dernier.
Paradoxalement, il met aussi en lumière l'importance capital de la performance de Christian Bale dans la réussite de "The Machinist". Sans lui, nul doute que celui ci aurait été moins percutant, de même que "Session 9", avec des acteurs plus charismatiques (même si ceux ci sont comme je l'ai dit totu à fait correcte) aurait été bien meilleur.
Bref, "Session 9", comme "The machinist" apparaissent, qaund on a vu l'un et l'autre et qu'on a donc pu les comparer, comme des films devant principalement leurs intensité aux acteurs qu'ils mettent en scène, qu'a leur réalisation respective.
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bluesoul
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Re: session 9
Un groupe de cinq ouvriers d’une compagnie de nettoyage de matieres dangereuses sont engages pour desamianter un gigantesque hopital psychiatrique ferme en 1984. Deja sous pression de finir l’ouvrage en un temps trop court afin d’obtenir leurs bonus, l’environnement semble peu a peu mettre exacerber les nerfs, ponctuant leur sejour d’etranges incidents jusqu’a l’explosion finale.
S9 est ce que l’on peut appeller un “petit film”; des decors plus grands que nature, mais abandonnes, des acteurs qui meme, si ayant des carrieres bien remplies, ne nous ont pas habitués a des couvertures mediatiques obsessionnelles; un scenariste qui joue aussi les acteurs; une camera mobile qui suit le lent et fatal cheminement de l’intrigue, le tout sur le canevas plutot ecule de la maison “hantee” ou “mauvaise”, en tout cas, en surface…
Et pourtant…Le film ne “marche” pas seulement, mais il “court”!
Tout au long du film, la tension ne relache pas et ne fait qu’augmenter cran a cran. Les performances des acteurs en plus du scenario et de la realization n’y sont pas pour rien.
L’atmosphere se detache des productions habituelles en la matiere. Ici, non seulement le batiment peut etre considere comme “malade” physchiquement (de par son passé), mais aussi physiquement de par la contamination par amiante et autres matieres dangereuses.
Ici, les personnages n’ont dans l’ensemble que faire du passé du batiment, mais sont nerveux, car ils connaissent le danger que represente le fait d’y sejourner. C’est d’ailleurs pour en “liberer” le batiment, qu’ils sont venus.
Tout en contournant les ponctifs du genre, le film parvient a respecter les codes en vigueur et imposes par les modeles du genre que son La Maison du Diable (1963) et Shining (1980); le batiment est demesure, mais ici les protagonistes ne s’y perdent pas. Il ne semble pas y avoir d’influence surnaturelle contrairement aux deux autres productions.
La ou l’hotel Overlook et Hill House sont en parfait etat de conservation, l’hopital Danvers est pollue et corrompu, bref; il est malade. Le comble pour un ancien hopital!
Contrairement a l’Overlook qui est encore un lieu de vie et Hill House qui etat cense etre un lieu de bonheur, l’hopital Danvers etait des le debut cense habriter (cacher) ceux que l’on ne voulait pas montrer, enfermer les irrecuperables, il etait destine a arbiter la maladie.
Comme le batiment qu’ils arpentent, les oubriers commencent a souffrir de “maux”, les altercations deviennent de plus en plus frequentes, la tension monte inexorablement. Bref, eux aussi, deviennent malades au fur et a mesure que l’atmosphere devient deletere.
Les personnages ne se perdent pas physiquement comme l’on se perd dans l’Overlook ou Hill House, ils se perdent moralement et psychiquement.
Le casting aussi est different, il est 100% masculins, les seuls protagonistes non-masculins n’apparaisse que sous forme de flash-backs ou de voix decharnees. Malgre que le recit ne se concentre que sur un groupe d’hommes, a aucune moment l’on ressent d’effet “testosterone”. Ici, tous les personnages sont vulnerables et sont ronges petit a petit tant par les particules empoisonnees que par la tension nerveuse qui ne cesse de monter.
Comme S et LMDD, S9 mise plus sur la tension et vulnerabilite psychologique que sur un surnaturel tangible. Nous rappellant par les mots par lesquels Robert Wise cloture LMDD, “Whoever walks here, walks alone”, que ce(ux) qui nous fait peur, n’est pas les autres ou leur absence, mais…nous-memes…
A decouvrir d’urgence. Pour ses acteurs. Pour son ambiance. Pour son originalite. Pour son scenario.
Session 9: 4.5 / 5
S9 est ce que l’on peut appeller un “petit film”; des decors plus grands que nature, mais abandonnes, des acteurs qui meme, si ayant des carrieres bien remplies, ne nous ont pas habitués a des couvertures mediatiques obsessionnelles; un scenariste qui joue aussi les acteurs; une camera mobile qui suit le lent et fatal cheminement de l’intrigue, le tout sur le canevas plutot ecule de la maison “hantee” ou “mauvaise”, en tout cas, en surface…
Et pourtant…Le film ne “marche” pas seulement, mais il “court”!
Tout au long du film, la tension ne relache pas et ne fait qu’augmenter cran a cran. Les performances des acteurs en plus du scenario et de la realization n’y sont pas pour rien.
L’atmosphere se detache des productions habituelles en la matiere. Ici, non seulement le batiment peut etre considere comme “malade” physchiquement (de par son passé), mais aussi physiquement de par la contamination par amiante et autres matieres dangereuses.
Ici, les personnages n’ont dans l’ensemble que faire du passé du batiment, mais sont nerveux, car ils connaissent le danger que represente le fait d’y sejourner. C’est d’ailleurs pour en “liberer” le batiment, qu’ils sont venus.
Tout en contournant les ponctifs du genre, le film parvient a respecter les codes en vigueur et imposes par les modeles du genre que son La Maison du Diable (1963) et Shining (1980); le batiment est demesure, mais ici les protagonistes ne s’y perdent pas. Il ne semble pas y avoir d’influence surnaturelle contrairement aux deux autres productions.
La ou l’hotel Overlook et Hill House sont en parfait etat de conservation, l’hopital Danvers est pollue et corrompu, bref; il est malade. Le comble pour un ancien hopital!
Contrairement a l’Overlook qui est encore un lieu de vie et Hill House qui etat cense etre un lieu de bonheur, l’hopital Danvers etait des le debut cense habriter (cacher) ceux que l’on ne voulait pas montrer, enfermer les irrecuperables, il etait destine a arbiter la maladie.
Comme le batiment qu’ils arpentent, les oubriers commencent a souffrir de “maux”, les altercations deviennent de plus en plus frequentes, la tension monte inexorablement. Bref, eux aussi, deviennent malades au fur et a mesure que l’atmosphere devient deletere.
Les personnages ne se perdent pas physiquement comme l’on se perd dans l’Overlook ou Hill House, ils se perdent moralement et psychiquement.
Le casting aussi est different, il est 100% masculins, les seuls protagonistes non-masculins n’apparaisse que sous forme de flash-backs ou de voix decharnees. Malgre que le recit ne se concentre que sur un groupe d’hommes, a aucune moment l’on ressent d’effet “testosterone”. Ici, tous les personnages sont vulnerables et sont ronges petit a petit tant par les particules empoisonnees que par la tension nerveuse qui ne cesse de monter.
Comme S et LMDD, S9 mise plus sur la tension et vulnerabilite psychologique que sur un surnaturel tangible. Nous rappellant par les mots par lesquels Robert Wise cloture LMDD, “Whoever walks here, walks alone”, que ce(ux) qui nous fait peur, n’est pas les autres ou leur absence, mais…nous-memes…
A decouvrir d’urgence. Pour ses acteurs. Pour son ambiance. Pour son originalite. Pour son scenario.
Session 9: 4.5 / 5
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.
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antropophagus
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Re: session 9
Vraiment énorme, je ne sais pas comment j’étais passé à côté mais un des meilleurs films d’horreur que j’ai vus depuis un bail. Une tension monstrueuse qui ne faiblit pas un seul instant et un climat malsain qui m’a rappelé les plus grands films des années 70. C’est évident que les acteurs sont bons mais la réalisation est également impressionnante ainsi que le travail sonore.
Man-eater