THOR LE GUERRIER (Tonino Ricci) 83
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
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Dragonball
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Thor le guerrier de Tonino Ricci (1983)
"Thor le guerrier"
En voyant ce sous Conan, la moindre des choses que l'on puisse dire, c'est que Tonino Ricci ne s'est pas trop cassé le cul !
Le délire est souvent de mise dans les films d'Héroic Fantasy (On y voit parfois même des navettes spatiales débarqué en plein milieu !
), mais Tonino Ricci, lui, se contente de filmer durant 1H30 un mec se baladant dans une fôret, pas bien épaisse d'ailleurs, en copagnie se sa copine et suivi de près par son maitre qui de temps en temps se transforme en chouette !
Le film se laisse regarder, alignant régulièrement des combats, malheureusement sans aucune orignalité.
Conrad Nichols (Par charité chrétienne, on ne donnera pas son vrai nom !) joue comme un pied (Mark Gregory a côté c'est Al Pachino ! ) et à constament l'air de marcher avec un balai dans le cul. Mais bon, celà donne une touche assez marrante au film, surtotu que les dialogues, par ailleurs très rare, sont d'uen rare débilité. La VF doit bien y être pour quelques chose, mais a mon avis, la VO ne vole guère plus haut !
Fun.
Un guerrier valeureux combat des méchants.
En voyant ce sous Conan, la moindre des choses que l'on puisse dire, c'est que Tonino Ricci ne s'est pas trop cassé le cul !
Le délire est souvent de mise dans les films d'Héroic Fantasy (On y voit parfois même des navettes spatiales débarqué en plein milieu !
), mais Tonino Ricci, lui, se contente de filmer durant 1H30 un mec se baladant dans une fôret, pas bien épaisse d'ailleurs, en copagnie se sa copine et suivi de près par son maitre qui de temps en temps se transforme en chouette ! Le film se laisse regarder, alignant régulièrement des combats, malheureusement sans aucune orignalité.
Conrad Nichols (Par charité chrétienne, on ne donnera pas son vrai nom !
) joue comme un pied (Mark Gregory a côté c'est Al Pachino ! ) et à constament l'air de marcher avec un balai dans le cul. Mais bon, celà donne une touche assez marrante au film, surtotu que les dialogues, par ailleurs très rare, sont d'uen rare débilité. La VF doit bien y être pour quelques chose, mais a mon avis, la VO ne vole guère plus haut ! Fun.
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eric draven
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- Localisation : Dans la beauté du sale, la beauté du mal, sous les croix en feu, violant, déféquant...
Ah Thor!! un veritable petit bijou du Z transalpin dont voici la mini review:
Tourné dans une campagne romaine avec une dizaine de pauvres figurants, Thor est trés certainement le plus pitoyable des ersatzs engendrés par le succès de Conan.
Pitoyable mais jamais ennuyeux car le pauvre spectateur qui se voit entrainé dans les aventures du valeureux guerrier risque de se tordre de rire tant le film de Ricci sombre dans les tréfonds du ridicule.
Deux épiques combats ou plutôt pirouettes de Thor armé d'une épée en plastique, une gigantesque chevauchée de trois malheureux cavaliers, quelques incantations magiques et belles paroles d'un vieux sorcier mysogine- Christopher Holm essayant avec grand sérieux de remonter sans y parvenir le niveau du film- et Ricci brandit bien haut le glaive du succès.
Exempt de mise en scène et de direction d'acteurs, réalisé pour trois sous, Thor vaut aussi pour ses dialogues cuisants et empreints d'une belle mysoginie
. Lorsque Thor demande au sorcier ce qu'est une femme, celui çi saura lui faire comprendre que ce sont des créatures nuisibles et dangereuses pour l'homme et son avenir, des êtres perfides dont il faut se méfier OUIIIIIIII... et force est de constater que Ricci aime maltraiter et massacrer les femmes tout au long du film.
C'est l'inexpressif Conrad Nichols alias Luigi Mezzanotte qui incarne Thor, Conrad affublé d'une hideuse et inoubliable perruque de crin semble t'il qui donne l'impression de vouloir s'envoler à chaque mouvement! Battant de loin ses collègues Pietro Torrisi et autre Mark Gregory dans l'inexpressivité, Conrad Nichols restera sans nul doute l'un des acteurs les plus monolithiques que l'Italie ait connu.
Pourtant, il semble que Ricci ait été satisfait de ses performances puisqu'il en fera son acteur fétiche, le réutilisant pour Rush en 1983, Rush 2 en 1984 ou encore I giorni dell'inferno en 1985.
A ses cotés, on reconnaitra une des veterantes sales du Bis, la dodue et strabique Malisa Longo.
Thor, le guerrier s'inscrit directement dans les plus beaux nanards italiens de la belle époque du bis, réjouissant ainsi les amateurs de n'importe quoi qui n'ont pas fini de rire aux larmes avec de tel chef d'oeuvre!
Mais que peut on attendre de Tonino Ricci, un des plus gros tacheron du Bis.
Il existe un DVD francais jadis edité je crois par LCJ. Simple VF pour 19,90E
Trouvé pour 5E sur Priceminister
Tourné dans une campagne romaine avec une dizaine de pauvres figurants, Thor est trés certainement le plus pitoyable des ersatzs engendrés par le succès de Conan.
Pitoyable mais jamais ennuyeux car le pauvre spectateur qui se voit entrainé dans les aventures du valeureux guerrier risque de se tordre de rire tant le film de Ricci sombre dans les tréfonds du ridicule.
Deux épiques combats ou plutôt pirouettes de Thor armé d'une épée en plastique, une gigantesque chevauchée de trois malheureux cavaliers, quelques incantations magiques et belles paroles d'un vieux sorcier mysogine- Christopher Holm essayant avec grand sérieux de remonter sans y parvenir le niveau du film- et Ricci brandit bien haut le glaive du succès.
Exempt de mise en scène et de direction d'acteurs, réalisé pour trois sous, Thor vaut aussi pour ses dialogues cuisants et empreints d'une belle mysoginie
. Lorsque Thor demande au sorcier ce qu'est une femme, celui çi saura lui faire comprendre que ce sont des créatures nuisibles et dangereuses pour l'homme et son avenir, des êtres perfides dont il faut se méfier OUIIIIIIII... et force est de constater que Ricci aime maltraiter et massacrer les femmes tout au long du film. C'est l'inexpressif Conrad Nichols alias Luigi Mezzanotte qui incarne Thor, Conrad affublé d'une hideuse et inoubliable perruque de crin semble t'il qui donne l'impression de vouloir s'envoler à chaque mouvement! Battant de loin ses collègues Pietro Torrisi et autre Mark Gregory dans l'inexpressivité, Conrad Nichols restera sans nul doute l'un des acteurs les plus monolithiques que l'Italie ait connu.
Pourtant, il semble que Ricci ait été satisfait de ses performances puisqu'il en fera son acteur fétiche, le réutilisant pour Rush en 1983, Rush 2 en 1984 ou encore I giorni dell'inferno en 1985.
A ses cotés, on reconnaitra une des veterantes sales du Bis, la dodue et strabique Malisa Longo.
Thor, le guerrier s'inscrit directement dans les plus beaux nanards italiens de la belle époque du bis, réjouissant ainsi les amateurs de n'importe quoi qui n'ont pas fini de rire aux larmes avec de tel chef d'oeuvre!
Mais que peut on attendre de Tonino Ricci, un des plus gros tacheron du Bis.
Il existe un DVD francais jadis edité je crois par LCJ. Simple VF pour 19,90E
Trouvé pour 5E sur Priceminister
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
