Pareil, j'aimais bien retrouver sa gueule de temps en temps, quitte même à me farcir une comédie romantique à base de Sandra Bullock (Where you were sleeping) ou un TV based on a true story de 3 heures (L'emprise du mal).
J'avais tendance à tout lui pardonner, son CV sur la période 70-80 affichant pas mal de titres que j'aime beaucoup (The Candidate, Slither, The Friends of Eddie Coyle, Young Frankenstein, Taxi Driver, Hardcore, Outland ou, un peu plus récemment, Double détente et mon Pyun préféré, Kickboxer 2).