je viens de voir cette Vhs à mon vidéo club, édition Hollywood Vidéo. Quelqu'un peut m'en dire plus sur ce film parce que y'a aucun résumé derrière la k7. C'est de l'horreur ? du Survival ?
http://www.vhs-survivors.com/page/detai ... liste=5636
Ca vaut le coup ou pas ?
Rituals - Peter Carter (1977)
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steph horror fan
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C'est un survival rural, ancêtre de Survivance et bien mieux que ce dernier.
L'action prend plus de temps à s'installer que dans le film de Lieberman mais la seconde moitié du film promet quelques séquences flippantes assez efficaces.
Et puis, on y voit quand même Hal Holbrook en tenue de Rambo en train de faire un feu en découpant des feuilles de PQ et ça, c'est pas rien.
L'action prend plus de temps à s'installer que dans le film de Lieberman mais la seconde moitié du film promet quelques séquences flippantes assez efficaces.
Et puis, on y voit quand même Hal Holbrook en tenue de Rambo en train de faire un feu en découpant des feuilles de PQ et ça, c'est pas rien.
RITUALS AKA THE CREEPER AKA ILS ETAIENT CINQ de Peter Carter avec Hal Holbrook (1977).
-> 50 DRIVE IN MOVIE PACK FOREVER
Cinq docteurs partent en forêt afin de décompresser un peu. Des événements étranges ne vont pas tarder à se dérouler: on leur vole leurs bottes, une tête de cerf est plantée devant leur tente et plus grave, ils commencent à être décimés les uns après les autres par un mystérieux personnage qui apparemment en veut à l'ordre des médecins!
Survival canadien inspiré de Delivrance et étrange précurseur du Projet Blair Witch (et qui fait encore plus penser à Blair Witch 2), cette plongée dans les forêts profondes de l'Ontario m'a fait forte impression.
Un vrai sentiment d'isolement et une ambiance quasi apocalyptique par moments, des personnages fouillés et intéressants (ce qui n'empêche pas de longues séquences de dialogue peu passionnantes), une gradation dans l'horreur avec à la clé pas mal de scènes chocs ou dérangeantes: tête coupée exposée sur un pic, traversée chemin de croix sous un soleil menaçant, personnage brûlé vivant, confrontation finale bien violente avec un Hal Holbrook commandoisé qui ira jusqu’à se cautériser une plaie Rambo III-style !.
Le film reste blindé d'incohérences, mais je le trouve au final plutôt effrayant et radical .
La copie présente sur le coffret est cut et dure 89 minutes. Il existe une version uncut de 100 minutes sortie uniquement au Canada et un DVD allemand chez X-rated Kult DVD.
1.33 -copie rayonnante de beauté, surtout dans les scène nocturnes-
-> 50 DRIVE IN MOVIE PACK FOREVER
Cinq docteurs partent en forêt afin de décompresser un peu. Des événements étranges ne vont pas tarder à se dérouler: on leur vole leurs bottes, une tête de cerf est plantée devant leur tente et plus grave, ils commencent à être décimés les uns après les autres par un mystérieux personnage qui apparemment en veut à l'ordre des médecins!
Survival canadien inspiré de Delivrance et étrange précurseur du Projet Blair Witch (et qui fait encore plus penser à Blair Witch 2), cette plongée dans les forêts profondes de l'Ontario m'a fait forte impression.
Un vrai sentiment d'isolement et une ambiance quasi apocalyptique par moments, des personnages fouillés et intéressants (ce qui n'empêche pas de longues séquences de dialogue peu passionnantes), une gradation dans l'horreur avec à la clé pas mal de scènes chocs ou dérangeantes: tête coupée exposée sur un pic, traversée chemin de croix sous un soleil menaçant, personnage brûlé vivant, confrontation finale bien violente avec un Hal Holbrook commandoisé qui ira jusqu’à se cautériser une plaie Rambo III-style !.
Le film reste blindé d'incohérences, mais je le trouve au final plutôt effrayant et radical .
La copie présente sur le coffret est cut et dure 89 minutes. Il existe une version uncut de 100 minutes sortie uniquement au Canada et un DVD allemand chez X-rated Kult DVD.
1.33 -copie rayonnante de beauté, surtout dans les scène nocturnes-
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Romain
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J'ai eu beau chercher pendant 89 minutes mais je n'ai pas trouvé le moindre air de ressemblance avec Blair Witch 2...
Je soupçonne Karen de m'avoir legerement survendu le film en utilisant ce genre d'arguments malhonnêtes.
Pas grand chose à dire sur ce petit Survival car j'ai finalement pas vu grand chose. La copie DVD est tellement moche qu'on apperçoit quasiment rien de ce qui est censé se passer à l'ecran.
En plus, le remontage a été fait à la scie rouillée ce qui rend des fois le film un peu difficile à suivre.
Notre bon vieux HELL HOLBROOK reussit donc l'exploit d'être Rambo cinq ans avant l'apparition du personnage à l'ecran!!!
Camouflage, bandeau, coterisation avec une balle, "capable de manger des choses qui feraient vomir un bouc"...
SPOILER SPOILER SPOILER
J'ai noté un vague air de ressemblance entre le grand mechant du film et Jason dans le 2eme episode de Friday the 13th... Ce n'est pas une coincidence!!! Tout s'explique par la presence de Carl Fullerton à qui on doit les maquillages des deux films!!!
Je soupçonne Karen de m'avoir legerement survendu le film en utilisant ce genre d'arguments malhonnêtes.
Pas grand chose à dire sur ce petit Survival car j'ai finalement pas vu grand chose. La copie DVD est tellement moche qu'on apperçoit quasiment rien de ce qui est censé se passer à l'ecran.
En plus, le remontage a été fait à la scie rouillée ce qui rend des fois le film un peu difficile à suivre.
Notre bon vieux HELL HOLBROOK reussit donc l'exploit d'être Rambo cinq ans avant l'apparition du personnage à l'ecran!!!
Camouflage, bandeau, coterisation avec une balle, "capable de manger des choses qui feraient vomir un bouc"...
SPOILER SPOILER SPOILER
J'ai noté un vague air de ressemblance entre le grand mechant du film et Jason dans le 2eme episode de Friday the 13th... Ce n'est pas une coincidence!!! Tout s'explique par la presence de Carl Fullerton à qui on doit les maquillages des deux films!!!
Bon eh bien c'est dommage. 
Le truc Blair Witch 2 m'a sauté aux yeux dans le côté "Allons dans les bois pour picoler, faire la fête autour du feu, discuter de choses plus ou moins intéressantes et réveillons nous le matin en constatant l'horreur ." Ca peut paraître léger mais j'y ai vraiment pensé tout de suite!
Le truc Blair Witch 2 m'a sauté aux yeux dans le côté "Allons dans les bois pour picoler, faire la fête autour du feu, discuter de choses plus ou moins intéressantes et réveillons nous le matin en constatant l'horreur ." Ca peut paraître léger mais j'y ai vraiment pensé tout de suite!The Pyx, Dead of night, Search and destroy, Week-end sauvage ... : Les canadiens savaient nous emballer de bons petits films de genre dans les années 70. Nouvel exemple de ce savoir-faire : Rituals, un sous-Delivrance qui surprend par la cruauté de certaines de ses situations. Ici les auteurs privilégient l'ambiance et la réflexion au rythme, pas vraiment effréné, il faut le reconnaitre. Ca cause donc pas mal, mais dans une ambiance oppressante, rendue plus lourde encore par les nombreux et impossibles dilemmes auxquels les personnages principaux doivent faire face. Ajoutons à cela des décors naturels bien choisis, bien exploités et un plan final très réussi, et tout ça nous donne une petite bande très recommandable.
Quelqu'un sait ce que vaut le DVD allemand dont parle Karen plus haut ?
Quelqu'un sait ce que vaut le DVD allemand dont parle Karen plus haut ?
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bluesoul
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- Localisation : Tokyo dans les annees 70s, baby! Yeah!
Re: RITUALS , qui connait ?
Rituals (1977) – Peter Carter
Cinq amis, tous docteurs, se retrouvent pour leur randonnee annuelle, qui les emmenera cette fois au plus profond de la foret canadienne. S’ils n’apprecient que peu le vol d’une partie de leur equipement, ce qui les inquiete plus, c’est la “presence” qui se fait de plus en plus sentir, et de plus en plus menacante a roder autour d’eux…
Le realisateur, Peter Carter ( Wojeck TV (1966), The Intruder within (1981), Shannon TV (1982) ), , qui a oeuvre au Canada tout au long de sa (courte) carriere, (mort a 49 ans, laissant derriere lui quatre series TV, cinq films et un telefilm), nous propose ici une entrée dans le genre du survival.
Si le genre du “survival” est surtout connu de nos jours pour ses affinites avec l’horreur (la serie des Resident Evil (2002 – 201X) ou des Wrong Turn (2003 – 2009) ou des The Hills have Eyes R(emake) (2006 - 2007), dans les annees 70s, le genre etait plus malleable car se melangeait allegrement avec le suspense ( Spree (1979), Marathon Killers (1984) ), l’horreur pure et dure ( The Hills have Eyes (1977), Just before Dawn (1981) ), l’aventure doublee du pamphlet ecologique ( Delivrance (1972) ).
Rituals, s’orientera plus aventure / suspense, ce qui ne l’empeche pas de chercher un peu plus d’originalite dans sa facture, et ira ainsi chercher son inspiration plus du cote du Delivrance de Boorman que d’une surenchere qui vieillira plutot mal comme chez Craven avec son THhE.
Si on voit a l’ecran que le budget (et les aspiration artistiques) sont nettement moins marquees que dans Delivrance, le metrage de Carter n’en est pas moins efficace.
D’emblee, Carter met en scene ses psersonnages, leur background (famille, travail, et meme sexualite pour l’un d’entre-eux, poussant ainsi le bouchon un cran plus loin que son realisateur de reference), leur donne une epaisseur, donc un petit “plus” d’humanite, qui fait que le spectateur ressentira une certaine empathie pour eux.
Si le décor du de la foret canadienne fait nettement plus “bis” que les lacs de la Caroline du Nord, et que certaines peripeties se croisent (groupe “handicape” par un blesse, un leader, un lache, etc), la mecanique de groupe est bien rodee, la mise en scene plus que competente et mettant plutot bien en image sa nature tour-a-tour, froide ou brulante, inerte ou rapide, mais toujours hostile au groupe.
Si le scenario d’Ian Sutherland (Night Heat TV (1985), Street Legal TV (1987) ), reste “classique”, il ne presente aucune des tares qui vont rapidement phagocyter ce sous-genre, et est ainsi tres bien utilise par Carter, dont la realisation se met au service de son casting. A noter au passage que Sutherland et Carter collaboreront encore trois annees plus tard avec High Point (1982), une aventure plus “legere”, cette fois-ci.
Cote casting, Hal Holbrock ( They only kill their Masters (1972), Magnum Force (1973), The Fog (1980) ) et Lawrence Dane (Counterstrike TV (1990), Poltergeist: The Legacy TV (1996), Puppets who Kill TV (2005) ) dominent avec talent le metrage face aux situations “physiques” et “psychologiques” allant en creascendo, meme si les autres acteurs ne sont pas en reste.
Si trente-trois annees apres, Rituals possede un cachet “visuel” qui pourrait sembler suranne, c’est loin d’etre une critique, et le film parvient d’emblee et sans interruption a faire exister ses protagonistes, mais aussi a “accrocher” son public.
A voir donc, comme un film de genre, decidemment “bis” dans son sujet, mais pouvant encore facilement relever la tete, car n’ayant au final pas pris un ride grace au professionalisme de ceux qui ont participe a cette “aventure”.
Rituals / The Creeper: 3.75 / 5
Cinq amis, tous docteurs, se retrouvent pour leur randonnee annuelle, qui les emmenera cette fois au plus profond de la foret canadienne. S’ils n’apprecient que peu le vol d’une partie de leur equipement, ce qui les inquiete plus, c’est la “presence” qui se fait de plus en plus sentir, et de plus en plus menacante a roder autour d’eux…
Le realisateur, Peter Carter ( Wojeck TV (1966), The Intruder within (1981), Shannon TV (1982) ), , qui a oeuvre au Canada tout au long de sa (courte) carriere, (mort a 49 ans, laissant derriere lui quatre series TV, cinq films et un telefilm), nous propose ici une entrée dans le genre du survival.
Si le genre du “survival” est surtout connu de nos jours pour ses affinites avec l’horreur (la serie des Resident Evil (2002 – 201X) ou des Wrong Turn (2003 – 2009) ou des The Hills have Eyes R(emake) (2006 - 2007), dans les annees 70s, le genre etait plus malleable car se melangeait allegrement avec le suspense ( Spree (1979), Marathon Killers (1984) ), l’horreur pure et dure ( The Hills have Eyes (1977), Just before Dawn (1981) ), l’aventure doublee du pamphlet ecologique ( Delivrance (1972) ).
Rituals, s’orientera plus aventure / suspense, ce qui ne l’empeche pas de chercher un peu plus d’originalite dans sa facture, et ira ainsi chercher son inspiration plus du cote du Delivrance de Boorman que d’une surenchere qui vieillira plutot mal comme chez Craven avec son THhE.
Si on voit a l’ecran que le budget (et les aspiration artistiques) sont nettement moins marquees que dans Delivrance, le metrage de Carter n’en est pas moins efficace.
D’emblee, Carter met en scene ses psersonnages, leur background (famille, travail, et meme sexualite pour l’un d’entre-eux, poussant ainsi le bouchon un cran plus loin que son realisateur de reference), leur donne une epaisseur, donc un petit “plus” d’humanite, qui fait que le spectateur ressentira une certaine empathie pour eux.
Si le décor du de la foret canadienne fait nettement plus “bis” que les lacs de la Caroline du Nord, et que certaines peripeties se croisent (groupe “handicape” par un blesse, un leader, un lache, etc), la mecanique de groupe est bien rodee, la mise en scene plus que competente et mettant plutot bien en image sa nature tour-a-tour, froide ou brulante, inerte ou rapide, mais toujours hostile au groupe.
Si le scenario d’Ian Sutherland (Night Heat TV (1985), Street Legal TV (1987) ), reste “classique”, il ne presente aucune des tares qui vont rapidement phagocyter ce sous-genre, et est ainsi tres bien utilise par Carter, dont la realisation se met au service de son casting. A noter au passage que Sutherland et Carter collaboreront encore trois annees plus tard avec High Point (1982), une aventure plus “legere”, cette fois-ci.
Cote casting, Hal Holbrock ( They only kill their Masters (1972), Magnum Force (1973), The Fog (1980) ) et Lawrence Dane (Counterstrike TV (1990), Poltergeist: The Legacy TV (1996), Puppets who Kill TV (2005) ) dominent avec talent le metrage face aux situations “physiques” et “psychologiques” allant en creascendo, meme si les autres acteurs ne sont pas en reste.
Si trente-trois annees apres, Rituals possede un cachet “visuel” qui pourrait sembler suranne, c’est loin d’etre une critique, et le film parvient d’emblee et sans interruption a faire exister ses protagonistes, mais aussi a “accrocher” son public.
A voir donc, comme un film de genre, decidemment “bis” dans son sujet, mais pouvant encore facilement relever la tete, car n’ayant au final pas pris un ride grace au professionalisme de ceux qui ont participe a cette “aventure”.
Rituals / The Creeper: 3.75 / 5
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.