Elle et lui, Leo Mc Carey, 1957
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Elle et lui, Leo Mc Carey, 1957
La Filmothèque du Quartier Latin réouvre ses portes et nous propose à l'occasion "Elle et lui" de Mc Carey. Le film original de (1939) m'avait marquée et j'espère beaucoup de ce remake; Certes convenue, l'histoire de cet amour interdit (par les convenances sociales) demeure particulièrement touchante dans la première version. Gageons que la suivante emprunte le même chemin.
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rusty james
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Un remake très proche de l'original par certains aspects. Je ne recommande pas de voir les deux à une semaine d'écart, comme je l'ai fait ! Le déroulement des évènements, certains dialogues, certaines scènes... sont repris à l'indentique. Mais on est tout de même à une autre époque, celle du scope couleurs à la facture incroyablement luxueuse d'un film Fox d'alors ! La sincérité, l'élégance et l'émotion sont néanmoins toujours bien présent. Grant est ici dans un emploi qui peut paraître un peu étrange pour lui, mais il passe quand même très bien. Et Kerr est effectivement formidable. La seule différence notable dans le récit est vers la fin, qui moi se déroule un peu différemment - plus rapidement, ce qui n'est pas forcément un mal d'ailleurs...
Tu es sérieux en déconseillant de visionner l'original peu avant? (c'était mon intention).Manolito a écrit :Un remake très proche de l'original par certains aspects. Je ne recommande pas de voir les deux à une semaine d'écart, comme je l'ai fait ! Le déroulement des évènements, certains dialogues, certaines scènes... sont repris à l'indentique. Mais on est tout de même à une autre époque, celle du scope couleurs à la facture incroyablement luxueuse d'un film Fox d'alors ! La sincérité, l'élégance et l'émotion sont néanmoins toujours bien présent. Grant est ici dans un emploi qui peut paraître un peu étrange pour lui, mais il passe quand même très bien. Et Kerr est effectivement formidable. La seule différence notable dans le récit est vers la fin, qui moi se déroule un peu différemment - plus rapidement, ce qui n'est pas forcément un mal d'ailleurs...