Hard - John Huckert (1998)
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
C'est assez interessant comme film et comme le dit john huckert dans les bonus, les personnages de ce film refletent bien ce que la societe leur a permis de devenir en les traitant comme des ordures=des ordures.
Par contre je ne suis pas du tout d'accord avec lui lorsqu'il affirme que d'habitude ,dans les films, on ne doit montrer que des homos bien policés et proprets n'yant pas de sexualité,c'est totalement faux, y'a qu'a aller voir a la fnac rayon dvd gay et lesbien, quasiment tous les dvd gays nous montrent des jaquettes avec des mecs torses nus voire carrement a poils.Maintenant, il affirme aussi ne pas vouloir montrer des personnages positifs gays, c totalement reussi de ce coté la=entre le tueur pervers et finalement nul et carrement looser(avec un motif de tuerie minable),le flic dans le placard qui n'a pas les couilles pour s'investir dans une vraie relation(mais qui les a pour se les vider regulierement apparement avec des partenaires occasionnels),la mari pervers mytho lache et faible qui suce jack et se fait enculer par lui des qu'il peut,et les prostitués mineurs qui tapinent au lieu d'aller bosser chez macdo(apparement par fainéantise plus que par obligation),l'univers est depeint de maniere triste.
TRiste ,mais tellement vrai et realiste en un sens, et c'est cela qui doit choquer beaucoup le public et le mettre mal a l'aise.Ici,c'est la perversité ,la bestialité et le sadisme primaires qui domainent ,on est en plein dans la backroom de bas etage(avec les meurtres en moins quand meme dieu merci).
SEules quelques lueurs d'espoir viennet eclairer ce paysage crade=le flic rencontré dans la boite gay qui affirme que la baise c'est une chose,mais c surtout un baiser qui la rend reelle.Autre personnage positif un peu oublié dans le film=le barman ami de ramone qui est toujours la pour lui malgre le fait que ce dernier s'en foute pas mal.
Quelques grammes de finesse dans un monde de putes
Un bon film cependant car il ne laisse pas indifferent
Par contre je ne suis pas du tout d'accord avec lui lorsqu'il affirme que d'habitude ,dans les films, on ne doit montrer que des homos bien policés et proprets n'yant pas de sexualité,c'est totalement faux, y'a qu'a aller voir a la fnac rayon dvd gay et lesbien, quasiment tous les dvd gays nous montrent des jaquettes avec des mecs torses nus voire carrement a poils.Maintenant, il affirme aussi ne pas vouloir montrer des personnages positifs gays, c totalement reussi de ce coté la=entre le tueur pervers et finalement nul et carrement looser(avec un motif de tuerie minable),le flic dans le placard qui n'a pas les couilles pour s'investir dans une vraie relation(mais qui les a pour se les vider regulierement apparement avec des partenaires occasionnels),la mari pervers mytho lache et faible qui suce jack et se fait enculer par lui des qu'il peut,et les prostitués mineurs qui tapinent au lieu d'aller bosser chez macdo(apparement par fainéantise plus que par obligation),l'univers est depeint de maniere triste.
TRiste ,mais tellement vrai et realiste en un sens, et c'est cela qui doit choquer beaucoup le public et le mettre mal a l'aise.Ici,c'est la perversité ,la bestialité et le sadisme primaires qui domainent ,on est en plein dans la backroom de bas etage(avec les meurtres en moins quand meme dieu merci).
SEules quelques lueurs d'espoir viennet eclairer ce paysage crade=le flic rencontré dans la boite gay qui affirme que la baise c'est une chose,mais c surtout un baiser qui la rend reelle.Autre personnage positif un peu oublié dans le film=le barman ami de ramone qui est toujours la pour lui malgre le fait que ce dernier s'en foute pas mal.
Quelques grammes de finesse dans un monde de putes
Un bon film cependant car il ne laisse pas indifferent
renan
- niko13
- Messages : 4287
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 10:10 am
- Localisation : Laboratory Of The Utility Muffin Research Kitchen
Je crois que l'emission est dispo en podcast, a une semaine d'intervalle, sur le site de cinecinema.Superfly a écrit :merde... vous savez si on peut la trouver la vidéo sur le net ? Ils ont pas un site ? Pas de copinage... la société qui produit nous a contacté pour avoir nos Dvd...
Dahan a dit que Superfly avait une grosse
envie de faire connaitre sa b
oite d'edition. Et il avait un sourire satisfait en disant cela...
(mais sinon, plus serieusement, il a defendu l'editeur, le film malgre ses defauts, de la bonne pub en somme
(et il a aussi parle de Carnival of souls a la fin, en disant que ca avait tout de meme bien vieilli, ce que moi je refute en bloc)
Modifié en dernier par niko13 le dim. févr. 25, 2007 8:58 pm, modifié 1 fois.
What the fuck did I do ?
- Lord Ruthven
- Messages : 870
- Enregistré le : jeu. oct. 28, 2004 5:11 pm
Toute les semaines en podcast http://www.cinecinema.fr/mag/mag.html?MAGA_ID=7
Aujourd'hui dimanche, c'est la video de mercedi 21. Pas de Chat qui Fume.
Il faut donc attendre la semaine prochaine.
Aujourd'hui dimanche, c'est la video de mercedi 21. Pas de Chat qui Fume.
Il faut donc attendre la semaine prochaine.
Gna !
- niko13
- Messages : 4287
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 10:10 am
- Localisation : Laboratory Of The Utility Muffin Research Kitchen
Tiens, j'ai trouve ca aussi:http://yannickdahan.oldiblog.com/
(mais il y a de fortes chances que ce soit le meme podcast que donne par Lord Ruthven plus haut)
(mais il y a de fortes chances que ce soit le meme podcast que donne par Lord Ruthven plus haut)
What the fuck did I do ?
- Dragonball
- Messages : 13099
- Enregistré le : ven. déc. 17, 2004 8:43 pm
- Localisation : Dans un Bunker avec Playboy, une Dreamcast et un M16
Commentaire audio très sympa, très instructifs et mettant bien en lumière certains aspect du film, comme tout le travail sur les plans et la lumière, chose qui m'avait un peu échappé au départ.
Quelques remarques tout de même :
ça manque un peu de contradiction, mais bon, en même temps, ce n'est pas de votre faute si vous êtes d'accord sur la plupart des points concernant le film !
Mais bon, on a parfois l'impréssion que Superfly n'ose pas dire ce qu'il pense vraiment ! (quel faux cul se Superfly !
)
Lorsque SWS évoque les répréssions policières dans les bars homosexuels, j'ai été assez étonné qu'il ne parle pas des émeutes de Stonewall, bar d'un quartier new yorkais qui vit des gays affronter les forces de l'ordre après une descente de police un peu trop musclée, événement qui, il me semble, est à l'origine de la gay pride (Celle des revendications et de l'affrimation de soi, pas celle des chars PS et UMP avec go go dancers !
).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Stonewall
Une scène importante n'est malheureusement pas commenté. Il s'agit de la scène ou Jack est arrété par les flics alors qu'il est avec une de ses victimes dans sa bagnoles. Les flics le laissent finalement repartir après qu'il leur ait raconté des conneries grosses comme une maison.
En fait, la scène pourrait paraitre en l'état un peu too much et peu crédible, mais celle ci à bien eu lieu dans une affaire de sérial killer bien réelle cette fosi ci. En effet, une des victimes de Jeffrey Dahmer avait réussie à s'échapper et à alerter la police, mais Jeffrey Dahmer avait réussit à convaincre les policiers qu'il s'agissait juste d'une querelle d'amoureux !
Les policiers était alors repartis tranquillement.
J'ai trouvé qu'on ne parlais pas assez des 2 acteurs principaux, et surtout de l'acteur jouant le role du serial killer, qui je le suppose à du être assez marqué par son role de pourriture. A ce sujet, si on peut à la rigueur comprendre l'utilité scénaristique du fait que celui ci s'attaque également au gosse d'Andy, bien que perso, je trouve ça assez inutile (ce qui fait d'ailleurs l'objet de discussion lors du commentaire audio), le coup du chat est lui par contre franchement gratuit. Enfin, on a échappé à Jack fonçant sur des petites vieilles avec son pick up, c'est déjà ça !
J'aurais bien aimé aussi que les autres films mettant en scène des situation similaires soient un peu plus abordé (comme par exemple, le personnage du flic gay dans la série "The Shield"), au lieu de peut être réster un peu trop bloqué surle vilain Cruising !
J'aujeterais aussi qu'ne revoyant le film, et en écoutant le commentaire audio mettant bien l'accent sur le fait qu'on pouvait un peu considérer Rayomond et Jack comme les 2 faces d'une même médiaille, la caractérisation "physique" des 2 personnages (Thème qui n'est pourtant pas abrodé dans le commentaire audio) m'ai apparu encore plus flagrante que la première fois. On a d'un côté Raymond, aux traits assez féminin et assez sensible et de l'autre côté Jack, le super macho barbu et qui fume cigarettes sur cigarettes. C'est assez étrange, même si au finale, je ne sais pas trop quoi ne conclure. (Rien peut être !
)
Voilà, sinon, comme je l'ai dit, c'était très sympa, même si Superfly devrait essayer de plus articuler quand il parle !
Quelques remarques tout de même :
ça manque un peu de contradiction, mais bon, en même temps, ce n'est pas de votre faute si vous êtes d'accord sur la plupart des points concernant le film !
Mais bon, on a parfois l'impréssion que Superfly n'ose pas dire ce qu'il pense vraiment ! (quel faux cul se Superfly !
Lorsque SWS évoque les répréssions policières dans les bars homosexuels, j'ai été assez étonné qu'il ne parle pas des émeutes de Stonewall, bar d'un quartier new yorkais qui vit des gays affronter les forces de l'ordre après une descente de police un peu trop musclée, événement qui, il me semble, est à l'origine de la gay pride (Celle des revendications et de l'affrimation de soi, pas celle des chars PS et UMP avec go go dancers !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Stonewall
Une scène importante n'est malheureusement pas commenté. Il s'agit de la scène ou Jack est arrété par les flics alors qu'il est avec une de ses victimes dans sa bagnoles. Les flics le laissent finalement repartir après qu'il leur ait raconté des conneries grosses comme une maison.
En fait, la scène pourrait paraitre en l'état un peu too much et peu crédible, mais celle ci à bien eu lieu dans une affaire de sérial killer bien réelle cette fosi ci. En effet, une des victimes de Jeffrey Dahmer avait réussie à s'échapper et à alerter la police, mais Jeffrey Dahmer avait réussit à convaincre les policiers qu'il s'agissait juste d'une querelle d'amoureux !
Les policiers était alors repartis tranquillement.
J'ai trouvé qu'on ne parlais pas assez des 2 acteurs principaux, et surtout de l'acteur jouant le role du serial killer, qui je le suppose à du être assez marqué par son role de pourriture. A ce sujet, si on peut à la rigueur comprendre l'utilité scénaristique du fait que celui ci s'attaque également au gosse d'Andy, bien que perso, je trouve ça assez inutile (ce qui fait d'ailleurs l'objet de discussion lors du commentaire audio), le coup du chat est lui par contre franchement gratuit. Enfin, on a échappé à Jack fonçant sur des petites vieilles avec son pick up, c'est déjà ça !
J'aurais bien aimé aussi que les autres films mettant en scène des situation similaires soient un peu plus abordé (comme par exemple, le personnage du flic gay dans la série "The Shield"), au lieu de peut être réster un peu trop bloqué surle vilain Cruising !
J'aujeterais aussi qu'ne revoyant le film, et en écoutant le commentaire audio mettant bien l'accent sur le fait qu'on pouvait un peu considérer Rayomond et Jack comme les 2 faces d'une même médiaille, la caractérisation "physique" des 2 personnages (Thème qui n'est pourtant pas abrodé dans le commentaire audio) m'ai apparu encore plus flagrante que la première fois. On a d'un côté Raymond, aux traits assez féminin et assez sensible et de l'autre côté Jack, le super macho barbu et qui fume cigarettes sur cigarettes. C'est assez étrange, même si au finale, je ne sais pas trop quoi ne conclure. (Rien peut être !
Voilà, sinon, comme je l'ai dit, c'était très sympa, même si Superfly devrait essayer de plus articuler quand il parle !
Un film qui sort réellement des sentiers battus... à l'économie d'effets mais à l'impact maximal!
Un script particulièrement retors et joueur qui exploite ses thèmes sans les sacrifier. C'est suffisamment rare pour être souligné.
J'ai parcouru en diagonale le topic pour lire les avis (il faut s'accrocher pour les trouver
) et j'aime bien l'idée que Dragonball ait été un peu sorti du film lors de la scène d'amour. C'est à mon avis l'une des forces du film aussi, d'imposer une scène comme celle là qui tient de l'utopie dans un cinéma "plus encadré". C'est un polar autre, non résumable à son identité gay forte, qui s'assume avec une fière intégrité. Suffisamment pour dépasser la cible gay, qui à mon sens n'est pas exclusivement visé. Dans le règne du formatage, le film gagne ses galons d'oeuvre.
L'interprétation est d'un niveau général excellent, que ce soit le tueur, le flic et son acolyte (qui bénéficie d'un role superbemment écrit), tous très convaincants dans leur incarnation respective. La raideur du tueur (sans mauvais jeu de mot) a vraiment quelque chose de glaçant.
Et puis il faut quand même le préciser, parce que personne n'en parle, mais le film s'avère quand même vraiment effrayant, en particulier sur la fin qui distille son suspense et sa pesanteur avec un sens de la scénographie tout à fait étonnant.
Pour résumer, un bon film, sans concession, dont la dureté n'est pas synonyme de gratuité. En tous cas, c'est courageux de le sortir parce que c'est tout sauf un film qui cherche à plaire à un type de public plus qu'un autre.
Pas eu le temps de regarder les bonus, mais il me tarde...
Un script particulièrement retors et joueur qui exploite ses thèmes sans les sacrifier. C'est suffisamment rare pour être souligné.
J'ai parcouru en diagonale le topic pour lire les avis (il faut s'accrocher pour les trouver
L'interprétation est d'un niveau général excellent, que ce soit le tueur, le flic et son acolyte (qui bénéficie d'un role superbemment écrit), tous très convaincants dans leur incarnation respective. La raideur du tueur (sans mauvais jeu de mot) a vraiment quelque chose de glaçant.
Et puis il faut quand même le préciser, parce que personne n'en parle, mais le film s'avère quand même vraiment effrayant, en particulier sur la fin qui distille son suspense et sa pesanteur avec un sens de la scénographie tout à fait étonnant.
Pour résumer, un bon film, sans concession, dont la dureté n'est pas synonyme de gratuité. En tous cas, c'est courageux de le sortir parce que c'est tout sauf un film qui cherche à plaire à un type de public plus qu'un autre.
Pas eu le temps de regarder les bonus, mais il me tarde...
J'ai bien aimé Hard aussi , il porte bien son nom ce petit film , l'acteur qui joue le tueur est excellent . Un copain l'a regardé juste avant Dragon rouge et m'a sortit juste aprés : " l'argent ne fait pas tout"
Et j'ai pas trouvé la realisation "telefilmesque" , c'est meme un des meilleurs films sur la face cachée ( ou pas
) de L.A !
Et j'ai pas trouvé la realisation "telefilmesque" , c'est meme un des meilleurs films sur la face cachée ( ou pas
Ceci est un P.38, le flingue le moins puissant du monde. Si je te touche avec, c'est même pas dit que je te fasse un troisième téton.








