Ca fait environ 8 euro le dvd , mais par contre je connais pas le prix des frais de ports. Je suis aussi interressé par une commande groupé.Duncan a écrit :Pareilarioch a écrit :PareilRoderick Usher a écrit :aucune idée, mais si quelqu'un se dévoue et fait une commande groupée, ça m'interesse
Highlander: The Source - Brett Leonard (2007)
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Comment qualifier Highlander: the Source? Le film est inqualifiable tout simplement! Pas grand chose à sauver d'une séquelle qui ressemble en rien aux autres films ni à la série TV que ce soit au niveau thématique ou visuel. Les personnages principaux de la série (Duncan, Méthos et Joe Dawson) sont là mais on ne les reconnait pas, principalement celui de Duncan. Adrian Paul ne lui rend d'ailleurs pas justice, à travers une interprétation molle et sans relief, bien loin de celle du show TV. Les combats, relativement nombreux, sont gâchés par des effets de montage clipesques qui en amoindrissent la portée. Je ne parle pas du scénario abscon, d'un bad guy stéréotypé et ULTRA cabotin ou des reprises de Queen complétement ratées...Reste une bande originale sympa, signée George Kallis, et quelques effets spéciaux réussis. Bilan ultra maigre donc pour une série Z même pas drôle.
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Et bien ma foi c'est plutôt fun !
Evidement, inutile d'espérer retrouver ici le souffle lyrique du premier Highlander (Mais bon, de toute façon, je suppose que plus personne n'est assez naif pour espérer une telle chose !
).
Ici on nage en plein portnawak mixant ambiance cyber cheapos (pour les premières minutes), mangas live et Mad Max fôrestier !
La trame générale de cet Highlander étant des plus opaque, on résumera le tout en disant qu'une bande d'Higlander (dont évidement Duncan Mc Leod) est poursuivie durant tout le film par une grosse tata lookée S.M !
La réal est très correcte (avec des scènes franchement belles comme le passage dans la fôret et d'autres déclicieusement flashy !
), c'est gentiment gore et même les effets clipesques completement hystérique qui parsement le film (En particulier lors des scènes de combats) ne gène finalement pas vraiment vu qu'ils sont tout à fait en accord avec le ton de celui.
Le mythe Highlander est aujourd'hui un gros gloubiboulga New Age et la réal aurait pû être signé par un McG sous coke, mais bon, après tout, mieux vaut un film jouant sans honte la carte du Bis qu'un film voulant se donner de grands airs sans en avoir les moyens, comme c'était le cas du troisième épisode.
Dragonball Approved !

Evidement, inutile d'espérer retrouver ici le souffle lyrique du premier Highlander (Mais bon, de toute façon, je suppose que plus personne n'est assez naif pour espérer une telle chose !

Ici on nage en plein portnawak mixant ambiance cyber cheapos (pour les premières minutes), mangas live et Mad Max fôrestier !

La trame générale de cet Highlander étant des plus opaque, on résumera le tout en disant qu'une bande d'Higlander (dont évidement Duncan Mc Leod) est poursuivie durant tout le film par une grosse tata lookée S.M !

La réal est très correcte (avec des scènes franchement belles comme le passage dans la fôret et d'autres déclicieusement flashy !

Le mythe Highlander est aujourd'hui un gros gloubiboulga New Age et la réal aurait pû être signé par un McG sous coke, mais bon, après tout, mieux vaut un film jouant sans honte la carte du Bis qu'un film voulant se donner de grands airs sans en avoir les moyens, comme c'était le cas du troisième épisode.
Dragonball Approved !

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C'est quand même incroyablement pauvre, à côté le 4, c'est Ben-Hur! Le seul point positif, c'est la photo qui est très correcte (le 4 ressemblait à de la DV kinescopée). Sinon, les scènes d'actions sont montées n'importe comment, à base de ralenti et d'accélération, le scénario est du niveau d'un épisode de série TV, la mise en scène est clippesque et tape-à-l'oeil à mort (on reconnait la pate du Brett Leonard de Feed) et pourtant, ça se laisse mater, malgré le ridicule de séquences ou les héros marchent au ralenti sur une reprise foireuse de Queen, malgré les attaques de bikers des forêts, malgré un méchant qui fait des grimaces et des pauvres blagues...bref, comme un gros Z.
Je serai très curieux de savoir si ça sort tout de même en salle quelque part
Je serai très curieux de savoir si ça sort tout de même en salle quelque part
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Mouaip. C'est quand même assez épouvantable. Beaucoup de choses à dire mais bon, je voudrai gacher le plaisir de personne. Durant la première moitié, j'me suis dit "Bon, c'est vrai qu'il y a des maladresses mais ça peut encore aller". Et puis en fait non. Ca va pas. Ca va crescendo dans la nanar-atitude et ça s'y complé avec un affrotement final réellement surréaliste. C'est... laid. Effroyablement laid. J'ai explosé de rire sur le générique de fin qui reprend Queen. Déjà la reprise en milieu de film est pas folichonne mais alors celle du générique du fin elle est carrement tordante. Reste quelques bonnes idées quand même, malheureusement sous-exploités, quelques jolies images et une ambiance post-apo fauché honnête. Mais bon, je m'attendais pas à un truc aussi pauvre. Il avaient vraiment pas de budget sur ce coup, c'est pas possible autrement. Et puis ils avaient de talent non plus du reste...
SPOILER
En revanche, je revendique le fait que j'aime bien l'idée finale au sujet du "il ne peut y en avoir qu'un". Jusqu'à présent, on s'est toujours dit "Il ne peut y en avoir qu'un" signifiait que tous les immortels devaient s'entre-tuer jusqu'au dernier pour qu'il n'en reste qu'un. Mais une autre particularité des immortels, c'est qu'il ne peuvent en aucun cas avoir des enfants. Là, grâce à "la source" cette phrase prend une autre tournure : Duncan et sa femme vont sont "élus" et vont pouvoir un enfant. Le film nous montre alors un embryon sur lequel est prononcé la phrase "Il ne peut y en avoir qu'un". En fait, ça voudrait dire qu'il ne pouvait y avoir qu'un seul enfant d'immortel. Du moins c'est comme ça que je le comprend... C'est bien vu, ça change la donne, implique qu'on s'est trompé sur le sens de cette phrase depuis le début... C'est sympa et même si ça colle pas avec le dénouement du 1, ça colle à peu pret avec toutes les suites et la série...
FIN DE SPOILER
SPOILER
En revanche, je revendique le fait que j'aime bien l'idée finale au sujet du "il ne peut y en avoir qu'un". Jusqu'à présent, on s'est toujours dit "Il ne peut y en avoir qu'un" signifiait que tous les immortels devaient s'entre-tuer jusqu'au dernier pour qu'il n'en reste qu'un. Mais une autre particularité des immortels, c'est qu'il ne peuvent en aucun cas avoir des enfants. Là, grâce à "la source" cette phrase prend une autre tournure : Duncan et sa femme vont sont "élus" et vont pouvoir un enfant. Le film nous montre alors un embryon sur lequel est prononcé la phrase "Il ne peut y en avoir qu'un". En fait, ça voudrait dire qu'il ne pouvait y avoir qu'un seul enfant d'immortel. Du moins c'est comme ça que je le comprend... C'est bien vu, ça change la donne, implique qu'on s'est trompé sur le sens de cette phrase depuis le début... C'est sympa et même si ça colle pas avec le dénouement du 1, ça colle à peu pret avec toutes les suites et la série...
FIN DE SPOILER
Modifié en dernier par MadXav le dim. mars 04, 2007 7:25 am, modifié 2 fois.
Le chanteur en question est un dénommé John Sloman pour les connaisseurs: http://www.johnsloman.com/arioch a écrit :Les reprises ont été orchestré par un mec qui est un musicien et requin de studio. Les parties vocales sont executées (décapitées ?) par un chanteur d'un groupe qui pourtant a une certaine renommée (plus maintenant d'actualité, remarquez).
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