Osterman Week-end - 1983 - Peckinpah - sur le satellite
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
En gros, c'est la meme chose que Manolito mais venant directement de l'editeur donc ca confirme...
DVD1
OSTERMAN WEEK-END Avec Rutger Hauer, John Hurt, Craig T. Nelson et Dennis Hopper
+ bonus: Commentaires audio/ Peckinpah : décryptage par Jean-Baptiste Thoret (7mn) / Le second livre de Robert Ludlum : interview de Robert Mesplede (7mn) / Bande Annonce
DVD2
Le premier montage du film : scènes coupées (doc 114mn)
Alpha à Omega (doc 78mn)
A mon avis, la personne qui a ecrit le communique de presse s'est quand meme un peu pris les pieds dans le tapis.
DVD1
OSTERMAN WEEK-END Avec Rutger Hauer, John Hurt, Craig T. Nelson et Dennis Hopper
+ bonus: Commentaires audio/ Peckinpah : décryptage par Jean-Baptiste Thoret (7mn) / Le second livre de Robert Ludlum : interview de Robert Mesplede (7mn) / Bande Annonce
DVD2
Le premier montage du film : scènes coupées (doc 114mn)
Alpha à Omega (doc 78mn)
A mon avis, la personne qui a ecrit le communique de presse s'est quand meme un peu pris les pieds dans le tapis.
"Fuck The World", Rambo
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Normal, c'est la même qui a aidé à choisir la jaquettearioch a écrit :A mon avis, la personne qui a ecrit le communique de presse s'est quand meme un peu pris les pieds dans le tapis.

Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Finalement, l'édition Opening inclut bien les deux montages (mais le director's cut n'est pas sous-titré en français) ; test-comparatif :
http://dvdclassik.com/Critiques/osterma ... nd-dvd.htm
http://dvdclassik.com/Critiques/osterma ... nd-dvd.htm
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Ils ont pris la peine de doubler les director's cut mais pas de le sous titré ou bien il est juste en anglais ?Manolito a écrit :Finalement, l'édition Opening inclut bien les deux montages (mais le director's cut n'est pas sous-titré en français) ; test-comparatif :
http://dvdclassik.com/Critiques/osterma ... nd-dvd.htm
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J'achète tant pis pour la jacquette genre prise d'otage

Elle est pas non plus si hideuse que sa !!
N'ayant jamais vus le film : même lors de ces rares diffusions ertziennes je sais pas se que sa donne ?!! mais bon j'avais bien aimer Major Dundee que je connaissais pas non plus.
Il a l'avantage d'être a un prix résonable par rapport au contenu des 2 DVD, en éspérant que le montage de Peckinpah soit sous-titré !


Elle est pas non plus si hideuse que sa !!
N'ayant jamais vus le film : même lors de ces rares diffusions ertziennes je sais pas se que sa donne ?!! mais bon j'avais bien aimer Major Dundee que je connaissais pas non plus.
Il a l'avantage d'être a un prix résonable par rapport au contenu des 2 DVD, en éspérant que le montage de Peckinpah soit sous-titré !
Toi t'est un flic..? Non j'uis un con.
Snake Plisken Escape from NY

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Trois mois d'attente et une promo à 4,99 sur cdiscount en ligne de mire, je prédis.
Tout de même, oser mettre "FUYEZ MAINTENANT" sur une jaquette supposée vendre un DVD
ils ont tout compris à la communication 
Tout de même, oser mettre "FUYEZ MAINTENANT" sur une jaquette supposée vendre un DVD



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Juste comme ca au passage OSTERMAN WEEK END passe a la cinematheque mercredi 25 avril a 12 h 30 ! Belle salle , VO et superbe film ( comme tout Peckinpah de toutes facons ).
Ceci est un P.38, le flingue le moins puissant du monde. Si je te touche avec, c'est même pas dit que je te fasse un troisième téton.


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Excellent se film de Sam Peckinpah, pour son dernier (et soi disant moins bon) film le DVD est a la hauteur même si la jacquette annonce du 5.1 alors qu'y a que du Mono (très bon). Tous comme le DVD de Bonus qui rempli bien son office et nous remet bien dans les conditions de l'époque du tournage !!
Vraimment je conseil vivement ce film d'Espionnage façon année 70, le film en remonte a pas mal de métrage actuel
l'intrigue est vraimment bien mener !!
Vraimment je conseil vivement ce film d'Espionnage façon année 70, le film en remonte a pas mal de métrage actuel

Toi t'est un flic..? Non j'uis un con.
Snake Plisken Escape from NY

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Re: Osterman Week-end - 1983 - Peckinpah - sur le satellite
Revu sur Zone 1 d’Anchor Bay.
On est d’accord que The Osterman week-end ne compte pas parmi les œuvres majeures de son auteur. Pourtant, j’avoue l’avoir toujours classé parmi mes Peckinpah préférés. Certes, le film fonctionne un peu par à-coups. Le matériel de base – une histoire d’espionnage assez rocambolesque – sent le roman de gare, la fin est plutôt confuse et le message qu’elle délivre un peu inutilement appuyé.
Mais l’ensemble est tout de même traversé d’authentiques fulgurances du côté de la mise en scène. La glaciale séquence introductive, la course-poursuite de l’aéroport – un peu gratuite, il est vrai, mais qui, moi, m’épate toujours autant à chaque vision – ou encore la scène nocturne de la fusillade autour de la piscine : dans ces quelques séquences, le film se démarque clairement du tout venant.
Et puis il y a aussi cette ambiance déshumanisée et crépusculaire qui donne un sacré cachet à l’ensemble. Une vision de l’humanité qui appartient clairement davantage au cinéaste de Straw dogs (film que les auteurs du commentaire mettent souvent en parallèle avec The Osterman Week-end) qu’à l’auteur de The Bourne identity. Dans son profond pessimisme, mais aussi dans sa défiance envers les plus hautes autorités de l’Etat – plus que les bureaucrates de Washington, alors cible privilégiée du cinéma propagandiste reaganien – ce film au discours prophétique sur l’intrusion/addiction croissante de la télé/télésurveillance dans notre quotidien nage en définitive à total contre-courant de son époque.
La copie est OK. Côté bonus, le commentaire audio s’avale d’un trait et parvient à ne pas faire doublon avec le passionnant documentaire de 78 minutes sur le film intitulé Alpha to Omega. Hormis Dennis Hopper et –bien entendu – Burt Lancaster, tous les interprètes principaux y participent, ainsi que les 2 producteurs du film, monteur Edward Abroms et le compositeur Lalo Schifrin.
Je ne me suis pas retapé intégralement la version de Peckinpah, plus longue d’une dizaine de minutes, d’autant qu’il est possible d’accéder directement aux scènes alternatives et séquences ajoutées. J’avoue au final préférer la version des producteurs – peut-être y suis-je trop habitué - même si la fin initialement envisagée par Peckinpah demeure très intéressante.
On est d’accord que The Osterman week-end ne compte pas parmi les œuvres majeures de son auteur. Pourtant, j’avoue l’avoir toujours classé parmi mes Peckinpah préférés. Certes, le film fonctionne un peu par à-coups. Le matériel de base – une histoire d’espionnage assez rocambolesque – sent le roman de gare, la fin est plutôt confuse et le message qu’elle délivre un peu inutilement appuyé.
Mais l’ensemble est tout de même traversé d’authentiques fulgurances du côté de la mise en scène. La glaciale séquence introductive, la course-poursuite de l’aéroport – un peu gratuite, il est vrai, mais qui, moi, m’épate toujours autant à chaque vision – ou encore la scène nocturne de la fusillade autour de la piscine : dans ces quelques séquences, le film se démarque clairement du tout venant.
Et puis il y a aussi cette ambiance déshumanisée et crépusculaire qui donne un sacré cachet à l’ensemble. Une vision de l’humanité qui appartient clairement davantage au cinéaste de Straw dogs (film que les auteurs du commentaire mettent souvent en parallèle avec The Osterman Week-end) qu’à l’auteur de The Bourne identity. Dans son profond pessimisme, mais aussi dans sa défiance envers les plus hautes autorités de l’Etat – plus que les bureaucrates de Washington, alors cible privilégiée du cinéma propagandiste reaganien – ce film au discours prophétique sur l’intrusion/addiction croissante de la télé/télésurveillance dans notre quotidien nage en définitive à total contre-courant de son époque.
La copie est OK. Côté bonus, le commentaire audio s’avale d’un trait et parvient à ne pas faire doublon avec le passionnant documentaire de 78 minutes sur le film intitulé Alpha to Omega. Hormis Dennis Hopper et –bien entendu – Burt Lancaster, tous les interprètes principaux y participent, ainsi que les 2 producteurs du film, monteur Edward Abroms et le compositeur Lalo Schifrin.
Je ne me suis pas retapé intégralement la version de Peckinpah, plus longue d’une dizaine de minutes, d’autant qu’il est possible d’accéder directement aux scènes alternatives et séquences ajoutées. J’avoue au final préférer la version des producteurs – peut-être y suis-je trop habitué - même si la fin initialement envisagée par Peckinpah demeure très intéressante.
Re: Osterman Week-end - 1983 - Peckinpah - sur le satellite
D'accord, ce n'est pas un grand Peckinpah, ni le plus profond, ni le plus maitrisé, mais il s'agit tout d'un bon film, avec une distribution impressionnante (John Hurt, Rutger Hauer, Burt Lancaster, Dennis Hopper !), des scènes fortes (l'ouverture terrible, qui jette tout de suite un grand froid ! ; la fusillade de la piscine) ; une histoire un peu entourloupée, déséquilibrée, mais qui se suit avec intérêt. 5 ans après le médiocre de "Le convoi", c'était quand même un retour très honorable...