
Sujet : Plusieurs personnages (un financier pourri, une flic de la brigade financière, une pute, un minable etc...) se croisent et finissent par avoir des relations, toutes liées à l'argent.
Attention, le titre du film peut induire en erreur : a casa nostra, malgré son jeu de mot sur la cosa nostra, n'est en aucun cas un thriller politique dans le style de "romanzo criminale". En fait la réalisatrice dresse un portrait d'une Italie gangrénée par le fric et s'intéresse davantage aux vies privées de personnages tous plus ou moins paumés.
Malheureusement, son film est souvent maladroit notamment durant la première longue partie où on ne sait pas les liens entre eux. Le montage est vraiment mauvais et ne permet pas de s'impliquer dans le film. Heureusement, la fin est bien plus convaincante et on s'aperçoit que toutes les pièces du puzzle s'emboitent bien, mais il aura fallu patienter longtemps (trop sans doute).
2 / 4
Ma critique complète est disponible sur "avoir alire".