courte.Fulgentius a écrit :Je suis perdu![]()
Sur le zone 2 fr, c'est la version longue ou la courte ?
Merci
Vanishing Point (Point limite zéro) - Richard Sarafian -1971
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superbe ode de liberté et libération d'une société sclérosée, haute en dégradés chaleureux, de fatigue, sensation planante et grisante, (en plus avec la mention antonionesque.. "here in Point zero"....)
la musique est elle plutôt forte par moments et le banjo/violon trop loooong me portait sur les nerfs
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pas de bol j'ai donc manqué la protagoniste charlotte sur la version vue, y'a qq screenshots ou descriptifs précis sur le net ?
la musique est elle plutôt forte par moments et le banjo/violon trop loooong me portait sur les nerfs


pas de bol j'ai donc manqué la protagoniste charlotte sur la version vue, y'a qq screenshots ou descriptifs précis sur le net ?

Cthulhu vs Macross Zero = my dream !
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Revu l'an passé sur le câble, et en effet c'est que du bonheur ce film. En plus de toutes les qualités précédemment citées, je mentionnerai bien aussi la magnifique photo de John Alonzo.
Par contre je me demande encore comment le réal de films aussi forts et intelligents que Le Convoi sauvage, The Next man ou ce Vanishing Point s'est retrouvé subitement à signer des téléfilms catastrophe totalement anonymes (Disaster on the coastliner avec William Shatner) et des vigilante movies décérébrés (Eye of the tiger).
Par contre je me demande encore comment le réal de films aussi forts et intelligents que Le Convoi sauvage, The Next man ou ce Vanishing Point s'est retrouvé subitement à signer des téléfilms catastrophe totalement anonymes (Disaster on the coastliner avec William Shatner) et des vigilante movies décérébrés (Eye of the tiger).
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La mise en scène parait très classique aux premiers abords, entre le road movie et le western, mais il me parait évident que cette succession de scènes de poursuites a dû être difficile à mettre en place. Les images de l'arrière pays américain et son panorama magnifique rendent les images a la fois très belles, lumineuses et poussièreuses. On comprend pourquoi Tarantino vénère ce film à ce point, le scènes d'action s'enchainent à un rythme effréné sans laisser beaucoup de répit au spectateur.
Le personnage principal très charismatique et énigmatique se dévoile avec peu de dialogues, c'est uniquement par le regard que passent ses émotions, les quelques flash-back semés dans toute la longueur du métrage nous permettent d'en savoir plus sur son passé et la raison de son coup de folie. J'ai beaucoup aimé la complicité sans paroles entre Kowalsky et le DJ par radio interposée, au rythme de la musique très seventies. La Dodge Challenger devenu culte deviens un personnage a part entière, une sorte de compognon de route du héros solitaire, un peu comme le cheval du cowboy.
Un vrai grand film, a voir pour une certaine idée de liberté, une de plus grandes courses-poursuite de l'histoire du cinéma où le hors-la-loi deviens le héros et où l'animateur radio fait office d'ange gardien. Portrait d'une époque rebelle et contestataire au dénouement terriblement symbolique.
Culte, bien sûr !
Le nom de ce film étant cité plusieurs fois dans Boulevard de la Mort, ça m'a donné envie de le regarder. Et je me suis très vite rendu compte que j'avais vu ce fim étant gamin et qu'un clip d'Audioslave lui avait rendu un bel hommage également en le résumant en quelques minutes (Spoiler dans le clip).
http://www.youtube.com/watch?v=WFUrHhONTz4
Le personnage principal très charismatique et énigmatique se dévoile avec peu de dialogues, c'est uniquement par le regard que passent ses émotions, les quelques flash-back semés dans toute la longueur du métrage nous permettent d'en savoir plus sur son passé et la raison de son coup de folie. J'ai beaucoup aimé la complicité sans paroles entre Kowalsky et le DJ par radio interposée, au rythme de la musique très seventies. La Dodge Challenger devenu culte deviens un personnage a part entière, une sorte de compognon de route du héros solitaire, un peu comme le cheval du cowboy.
Un vrai grand film, a voir pour une certaine idée de liberté, une de plus grandes courses-poursuite de l'histoire du cinéma où le hors-la-loi deviens le héros et où l'animateur radio fait office d'ange gardien. Portrait d'une époque rebelle et contestataire au dénouement terriblement symbolique.
Culte, bien sûr !
Le nom de ce film étant cité plusieurs fois dans Boulevard de la Mort, ça m'a donné envie de le regarder. Et je me suis très vite rendu compte que j'avais vu ce fim étant gamin et qu'un clip d'Audioslave lui avait rendu un bel hommage également en le résumant en quelques minutes (Spoiler dans le clip).
http://www.youtube.com/watch?v=WFUrHhONTz4
"La vie n'est pas un combat mais une passion à défendre"
foxybronx a écrit :Ben là je te trouve très excessif, tu dois être un gros fan de Rampling, par ce que de mon côté j'ai trouvé que ça n'apportait pas spécialement grand chose au déroulement de l'intrigue...quasiment la meilleur scene du film
genre y a une intrigue dans vanishing point
ca n'apporte pas plus que la scene avec les folles ou la bikeuse nue
et c'est justement ce qui m'a plu dans cette scene, la rencontre improbable
et puis la replique : je vous ai attendu depuis toujours
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EEEnnnoorrmme tous comme Verhoeven vu par le biais des nombreuses références faite pendant le film a Tarantino, et quel pied !!!!
le personnage de Kowalski entre dans la légende de ces Roadmovie mythique la musique 70s avec ces riffs de Banjo, de country et tout un tas de tube de l'époque, l'ambiance de ces scènes de poursuites automobiles contribue a en faire l'un des meilleurs du genre.
Les nombreux flash back qui ponctue le film, permet d'en apprendre un peu plus sur Kowalski au volant de sa Dodge Challenger booster a mort, qui a décider d'arpenter des routes non balisées quitte a sacrifier sa vie sur l'hôtel de la liberté, un film incroyable, perso ma scène perférer l'entrée en scène de DJ Soul dans sa station radio lorsque démarre la première poursuite avec les deux motard de la police, c'est de la DYNAMITE
Un film proche dans un autre genre mais qui aborde le même thème de la liberté, celui de Stuard Rosenberg avec Paul Newman "Luke la Main Froide", des films comme ça on en fait plus
Vu sur le Z2, donc sans Charlotte Rampling mais bon le film est bien même s'en elle

La petite photo pour Foxybronx et noar13 qui semble bien apprécier les motardes
j'ai l'impression qu'elle a oublier son casque...

le personnage de Kowalski entre dans la légende de ces Roadmovie mythique la musique 70s avec ces riffs de Banjo, de country et tout un tas de tube de l'époque, l'ambiance de ces scènes de poursuites automobiles contribue a en faire l'un des meilleurs du genre.
Les nombreux flash back qui ponctue le film, permet d'en apprendre un peu plus sur Kowalski au volant de sa Dodge Challenger booster a mort, qui a décider d'arpenter des routes non balisées quitte a sacrifier sa vie sur l'hôtel de la liberté, un film incroyable, perso ma scène perférer l'entrée en scène de DJ Soul dans sa station radio lorsque démarre la première poursuite avec les deux motard de la police, c'est de la DYNAMITE

Un film proche dans un autre genre mais qui aborde le même thème de la liberté, celui de Stuard Rosenberg avec Paul Newman "Luke la Main Froide", des films comme ça on en fait plus

Vu sur le Z2, donc sans Charlotte Rampling mais bon le film est bien même s'en elle


La petite photo pour Foxybronx et noar13 qui semble bien apprécier les motardes

