Lui aussi il n’aime pas trop faire de vagues. Comédies faciles ou remakes dont personne n’avait rêver, ses films reflètent une absence totale de personnalité doublée d’une allégeance zélée à tous les executives des grands studios hollywoodiens. Moi, je dis que Les Mayfield mérite bien son p’tit top estival :
Encino Man (1992) : 01/20. C'était peut-être amusant en 1992. Mais en 2009 ça fait carrément peur tellement c'est mauvais et pas drôle. Joli succès en salles il me semble, à l'époque.
Miracle on 34th street (1994) : Pas vu.
Flubber (1997) : 05/20. Remake d’un film Disney des années 60 (ça commence mal) à la sauce Home alone (écrit d’ailleurs par John Hughes himself) avec cet insupportable cabotin de Robin Williams en vedette. Chiant et là encore pas drôle.
Blue Steak (1999) : 12/20. Ca aurait presque pu être un petit polar sympa – le final, qui délaisse le registre de la comédie, est pas trop mal – mais Martin Lawrence et son cabotinage moyennement marrant phagocyte les quelques bonnes intentions du film. On a vu pire malgré tout.
American Outlaws (2001) : 08/20. Relecture au goût du jour – comprenez avec des bastons pas croyables et une musique qui dépote - de l’histoire de Billly le Kid et ses potes, Colin Farrell endossant le rôle du célèbre hors-la-loi. La version de William A. Graham avec Val Kilmer ressemble à du Peckinpah à côté de ce truc boursouflé et risible.
The Man (2005) : 13/20. Comédie policière bien grasse à l’intrigue miteuse rendue supportable par sa courte durée et les prestations amusantes de Samuel Jackson en black coolos et d’Eugene Levy en dentiste couillon.
Code name : the cleaner (2007) : 13/20. Comédie policière bien grasse à l’intrigue miteuse (et pas très claire) rendue supportable par sa courte durée et … et c’est tout.
Top à ... Les Mayfield
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team