Bon, plus de cul (un peu à la Franco dans son côté "répétition et pilosité"pas hard mais un peu plus que soft ) que de fantastique, c'est vrai, mais pas inintéressant non plus.
Une jeune femme vient passer un petit séjour dans la demeure de sa belle soeur cherchant également à percer le mystère de la mort mystérieuse de son frère. Elle ne tarde pas à se rendre compte que leur hôtesse est une adepte des cultes sataniques...etc etc...
Rien de neuf, le film accumule les scènes orgiaques en tout genre (façon plus fin années 70 qu'années 80).Helga Liné grande habituée du cinéma bis italien et ibérique accuse la cinquantaine et porte peu d'habits pour une fin de carrière très propice aux coups de froid. Mais le film à une certaine ambiance, assez typique de Larraz...avec des personnages patibulaires quotidiens, des paysans moustachus sataniques, bref du satanisme rural, avec une scène il faut bien admettre assez troublante de viol de l'héroïne par un bouc... un vrai...enfin je veux dire un animal quoi...
J'ai trouvé ça super chiant...du Larraz, quoi...vraiment pire que son très surestimé Symptoms et son Vampyres...éclairé n'importe comment et aussi bandant que la campgane anglaise sous la pluie. Je l'ai vu sous le titre Black Candles, la scène du bouc était coupée...mais bon, ça reste un festival de gueules moches et de corps flasques, l'argument fantastique faisant le pied de grue. Meme pas drole au 36eme degré. affiche très trompeuse, as usual.
Me suit autant fait chier que dans un autre truc bien nase, La Perversa Caricia de Satan, où il ne se passe rigoureusement rien et où tout le monde est moche : les acteurs, les actrices, le décor, les fringues.
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Du même avis qu'Infernalia. Beaucoup de sexe, moins éthéré et aussi bien moins réussi que Vampires. Réalisation trop souvent basique et fonctionnelle.
Mais quand même : quelques plans sympas, un soin et un intérêt certains dans la manière de filmer les visages, une ambiance qui pointe (trop rarement) son nez.
Un petit bis orienté cul, mais on a vu bien pire et je trouve la mal qu'on en lit souvent un peu exagéré. Pour ma part je l'ai vu sans déplaisir, même si on ne peut pas dire que ce soit très rythmé.
La copie en version anglaise du DVD BCI est médiocre mais visible et apparemment uncut.
