Un jeune adolescent voit sa vie toute retournée (juste sa vie, hein) passqu'il découvre qu'il est le dernier d'un groupe de chevaliers immortels qui ont voué leur vie au combat des forces du mal qui envahissent la Terre.
D'arpès le roman de Susan Cooper, qui louche sur du Harry Potter ou de l'Eragon.
Par le réalisateur du très pro-Bush Path to 9/11 et de la nouvelle version musciale 2005 TV de La Petite Maison dans la Prairie. Appartient à la très conservatrice Youth With A Mission (YWAM) comme son père qui en est le fondateur.
C'est un film Fox.
Le film vient de commencer sa production, sortie USA le 28 septembre 2007 et chez nous le 31 octobre.
The Dark is Rising - David L. Cunningham (2007)
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Superwonderscope
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The Dark is Rising - David L. Cunningham (2007)
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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comte vonkrolock
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les boules 
Méga-four au box office US (8 millions de dollars de recette en 3 semaines), ce film vient de sortir en France dans une combinaison de salles assez réduites sous le titre "Les portes du temps".
Voici donc un film de Fantasy à l'ambiance un peu plus "Dark" que la moyenne actuelle des oeuvres de ce genre. Un être malfaisant est en train de prendre l'ascendant sur notre monde, le plongeant ainsi dans un hiver nocturne perpétuel. Seul un jeune garçon de 14 ans peut l'arrêter en réunissant des talismans magiques qu'il retrouvera en voyageant dans le temps.
Un peu plus Dark, certes, mais pas vraiment réussi. Les problèmes sont fort nombreux... Par où commencer ? Déjà par une mise en scène hachée, tiqueuse, abusant de gadgets bien ringards (ralentis-accélérés, flash, stromboscope...), allant ainsi à l'opposé du style plutôt sage caractérisant les Harry Potter, Narnia et autre Eragon. En l'occurence, c'est ici assez mal fait et pénible, même si il faut reconnaître que certains passages d'action fonctionnent ponctuellement (la séquence du médaillon de l'eau). La confusion de la mise en scène se trouve aussi dans une narration parfois heurtée, perdant un temps considérable dans la multiplication de personnages qu'on nous présente toujous de façon brouillone, à tel point qu'on a du mal à retenir ne serait-ce que leur nom. Et puis tout cela manque d'envergure. Les reconstitutions des voyages dans le temps font vraiment très chiches, limite télé. Le monde est menacé par UNE personne accompagné par des oiseaux qui concentre toute son énergie sur un village anglais riquiqui... Mouais... On relèvera tout de même quelques passages un peu étonnants, comme ce final curieusement très réméniscent de "La forteresse noire" ! On ne s'attardera pas trop sur les comédiens, qui se fondent de manière insistante dans l'ambiance crispante de ces "Portes du temps" anecdotiques, qui risquent de très vite sombrer dans l'oubli...
Voici donc un film de Fantasy à l'ambiance un peu plus "Dark" que la moyenne actuelle des oeuvres de ce genre. Un être malfaisant est en train de prendre l'ascendant sur notre monde, le plongeant ainsi dans un hiver nocturne perpétuel. Seul un jeune garçon de 14 ans peut l'arrêter en réunissant des talismans magiques qu'il retrouvera en voyageant dans le temps.
Un peu plus Dark, certes, mais pas vraiment réussi. Les problèmes sont fort nombreux... Par où commencer ? Déjà par une mise en scène hachée, tiqueuse, abusant de gadgets bien ringards (ralentis-accélérés, flash, stromboscope...), allant ainsi à l'opposé du style plutôt sage caractérisant les Harry Potter, Narnia et autre Eragon. En l'occurence, c'est ici assez mal fait et pénible, même si il faut reconnaître que certains passages d'action fonctionnent ponctuellement (la séquence du médaillon de l'eau). La confusion de la mise en scène se trouve aussi dans une narration parfois heurtée, perdant un temps considérable dans la multiplication de personnages qu'on nous présente toujous de façon brouillone, à tel point qu'on a du mal à retenir ne serait-ce que leur nom. Et puis tout cela manque d'envergure. Les reconstitutions des voyages dans le temps font vraiment très chiches, limite télé. Le monde est menacé par UNE personne accompagné par des oiseaux qui concentre toute son énergie sur un village anglais riquiqui... Mouais... On relèvera tout de même quelques passages un peu étonnants, comme ce final curieusement très réméniscent de "La forteresse noire" ! On ne s'attardera pas trop sur les comédiens, qui se fondent de manière insistante dans l'ambiance crispante de ces "Portes du temps" anecdotiques, qui risquent de très vite sombrer dans l'oubli...
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peter wonkley
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