Le résumer reprit sur cineasie.com Une expédition dans l'Antarctic amène un groupe de scientifiques à la rencontre d'événements surnaturels mettant en péril leur objectif, le Point de l'Antartique le plus éloigné. "
C'est pas super, beau décor cependant (même si c'est a 180% des espaces désertiques polaires) par contre superbe score de Kenji Kawai (limite mon préféré)
Çà fait peu mais bon à part être un fan de Kenji je te conseillerais de passer ton chemin.
"Comme disait mon ami Richard Nixon, mieux vaut une petite tâche sur la conscience qu'une grosse sur l'honneur. Allez en vous remerciant bonsoir."
ce film est vraiment étonant et plutot original. un survival dont la lenteur et latmosphere preque hors du temps louche sur the thing.
perso jaccroche severe. et le real vient de finir une adaptation gore de hansel et gretel. je vois le film a la fin du mois (il faut bien un avantage à etre en corée ;p)
par contre, laffiche dvd le fait passé pour un gros Z alors que le film est assez riche, y compris au casting (le bad guy de old boy et le flic paysan de memories of murder).
manara a écrit :
On ne peut pas à mon avis comparer avec "The thing" parce qu'il s'agit d'un film d'horreur alors que là on est bien dans un film psychologique, sur les effets de l'isolement et les conditions extrèmes: doutes, tensions, déchirements.
En meme temps dans "The Thing" de Carpenter la chose est une representation des effets de l'isolement et des conditions extremes: doutes, tensions et dechirements.
Jarlow a écrit :En meme temps dans "The Thing" de Carpenter la chose est une representation des effets de l'isolement et des conditions extremes: doutes, tensions et dechirements.
Ah bon?
Elle entraine ces conditions extrêmes (doute, tensions...) mais elle n'en est pas la représentation....
"Que sert-il à un homme de gagner le monde s'il perd son âme?"
Marc 8:36
Ca depend sous quel angle tu attaques le film, mais je maintiens ce que j'ai dit... La chose vient litteralement des profondeurs de la banquise plus que de l'espace, elle est simplement une materialisation, une mise en forme graphique des dechirements de l'equipe, le caractere grotesque, outrancier de ses representations rejoint bien l'irrationnel du doute et de la paranoia dus a la claustrophobie.
Wow Reçu hier pour mon anniv et je dois dire que même si ma moitié n'y connais pas grand chose, il a mis en plein dans le mille avec ce film ! Eprouvant à tout point de vue avec cette immensité blanche et déserte qui vous prend tout - la santé mentale et physique - et vous recrache de l'autre côté de l'enfer. La fin est difficile à surpasser niveau cauchemar ultime, quand même... Se retrouver seul sur l'Antarctique pour 6 mois de nuit totale, sans vivres et avec juste un Zippo...
MEGA SPOILER...
J'ai plus pensé à THE DESCENT ou SESSION 9 que THE THING.
Une critique enthousiaste près de chez vous n'est pas à exclure mais après Noël
manara a écrit :
On ne peut pas à mon avis comparer avec "The thing" parce qu'il s'agit d'un film d'horreur alors que là on est bien dans un film psychologique, sur les effets de l'isolement et les conditions extrèmes: doutes, tensions, déchirements.
En meme temps dans "The Thing" de Carpenter la chose est une representation des effets de l'isolement et des conditions extremes: doutes, tensions et dechirements.
Personnellement je n'ai pas vu le film ainsi. Parce qu'il y a des bâtiments et moins de préhension vis à vis du froid. Moi j'ai pensais que c'était bien un truc extra-terrestre qui entrait dans les corps pour se dissimuler et agir à l'insu de ses "victimes", mais pas une manifestation physique de phénomènes psychologiques. Donc une entité distincte des personnages du film.
Mais il doit y avoir plusieurs lectures.
Oui, mais cette lecture psychologique me semble vraiment tirée par les cheveux... désolé...
"Que sert-il à un homme de gagner le monde s'il perd son âme?"
Marc 8:36
Sinon, pour en revenir à ANTARCTIC JOURNAL, j'abonde dans le sens de Manara. Le seul lien qu'entretient ce film avec THE THING, c'est le décor (et encore puisque AJ se déroule majoritairement à l'extérieur). L'approche psychologique me semble bien plus appropriée qu'une présence surnaturelle extérieure.