The story takes place in alternative America where the blacks are members of social elite, and whites are inhabitants of inner city ghettos. Louis Pinnock is a white worker in a chocolate factory, loving husband and father of two children. While delivering a package for black CEO Thaddeus Thomas, he is mistaken for a voyeur and, as a result, loses his job, gets beaten by black cops and his family gets evicted from their home. Desperate Pinnock takes a gun and kidnaps Thomas, demanding justice.
Source : IMDB.
Avec John Travolta et Harry Belafonte.
Celui là, je le croise souvent mais son postulat de départ me fait un peu peur.
ça peut donner quelque chose d'intéréssant ou au contraire déboucher sur un film démonstratif bien lourding !
Ce n'est pas exactement la même thématique mais je recommande aussi fortement Suture (Scott McGehee & David Siegel, 1993), très intrigant et bien plus subtil.
Dragonball a écrit :ça peut donner quelque chose d'intéréssant ou au contraire déboucher sur un film démonstratif bien lourding !
Pour moi ce sera la seconde option. Le postulat est astucieux et aurait pu donner naissance à un film coup de poing, mais les auteurs ne font pas grand chose de leur seule bonne idée, à part nous servir une intrigue mélodramatique pleine de clichés ... inversés. Du moins c'est le vague souvenir que j'en ai car ça ne m'avait pas trop marqué ...
manuma a écrit :
Pour moi ce sera la seconde option. Le postulat est astucieux et aurait pu donner naissance à un film coup de poing, mais les auteurs ne font pas grand chose de leur seule bonne idée, à part nous servir une intrigue mélodramatique pleine de clichés ... inversés. Du moins c'est le vague souvenir que j'en ai car ça ne m'avait pas trop marqué ...
Dans mon souvenir le film est effectivement assez bancal et plein de clichésdu style les blancs écoute du métal, les noirs du rap. Et le film perd en credibilité
manuma a écrit :
Pour moi ce sera la seconde option. Le postulat est astucieux et aurait pu donner naissance à un film coup de poing, mais les auteurs ne font pas grand chose de leur seule bonne idée, à part nous servir une intrigue mélodramatique pleine de clichés ... inversés. Du moins c'est le vague souvenir que j'en ai car ça ne m'avait pas trop marqué ...
Dans mon souvenir le film est effectivement assez bancal et plein de clichésdu style les blancs écoute du métal, les noirs du rap.
Ah ben vu le postula de départ du film, ça devrait pourtant être le contraire !
vic a écrit :Ce n'est pas exactement la même thématique mais je recommande aussi fortement Suture (Scott McGehee & David Siegel, 1993), très intrigant et bien plus subtil.
Ah oui, ça fait longtemps que je veux voir se film !
Par contre je ne avais pas du tout qu'il avait des points communs avec "Withe man's Burden" !