Les films où la Nature devient dingue
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Superwonderscope a écrit :
Tu avais donc bien Eva Ionesco sur la tête




Citons encore :
ANTS, un tres bon tVfilm
La nuit des 1000 chats de Cardona avec nos amis minous
Frelons
Ticks et ses tiques geantes..
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
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Re: Les films où la Nature devient dingue
La vision consécutive de “Phénomènes” (M. Night Shyamalan, 2008) et de “Ruines” (Carter Smith, 2008) suscite diverses interrogations quant au rôle prépondérant que notre genre accorde actuellement au thème de la “nature menaçante”.
Certes, le motif n’est pas nouveau comme tend à l’illustrer le présent thread. Du Péché originel à “Blanche-neige et les sept nains”, le Végétal métaphorise d’abord la dangerosité présupposée d’un Sexe faible censé posséder davantage d’affinités avec le grand Cosmos. Amante (La plante monstrueuse des “Petite boutique des horreurs”, Roger Corman, 1960, Frank Oz, 1986); “Sleepy Hollow” (Tim Burton, 1999) et son allégorie du cavalier sans tête - et en cela symboliquement castré - trouvant refuge dans un arbre), marâtre (la “Nurse” (1990) de Friedkin) ou mère (“CubbyHouse” (Murray Fakey, 2002)) castratrices; la nature s’immisce dans les fissures occasionnées par l’effritement d’une société a priori patriarcale. La résurgence de nos instincts primordiaux (“The Descent”, “Les Ruines”) se déclinera au féminin pour éclipser d’abord les hommes puis confronter les Ève pseudo civilisées à leur identité première (les jardins gothiques refusant à l’héroine la possibilité d’échapper à son destin, “La Maison du diable”). Le message écologique se fait dès lors plus ambigu qu’il n’y paraît de prime abord. La volonté (nécessité) de préserver notre planète implique une remise en cause de maintes valeurs occidentales, celles fondant notre conception de la civilité, du rapport au corps, à l’autre sexe... La nouvelle prise en compte de Mère Nature et la culpabilité induite par cette dernière sous-tendent peut-être une autre forme de décadence.
Certes, le motif n’est pas nouveau comme tend à l’illustrer le présent thread. Du Péché originel à “Blanche-neige et les sept nains”, le Végétal métaphorise d’abord la dangerosité présupposée d’un Sexe faible censé posséder davantage d’affinités avec le grand Cosmos. Amante (La plante monstrueuse des “Petite boutique des horreurs”, Roger Corman, 1960, Frank Oz, 1986); “Sleepy Hollow” (Tim Burton, 1999) et son allégorie du cavalier sans tête - et en cela symboliquement castré - trouvant refuge dans un arbre), marâtre (la “Nurse” (1990) de Friedkin) ou mère (“CubbyHouse” (Murray Fakey, 2002)) castratrices; la nature s’immisce dans les fissures occasionnées par l’effritement d’une société a priori patriarcale. La résurgence de nos instincts primordiaux (“The Descent”, “Les Ruines”) se déclinera au féminin pour éclipser d’abord les hommes puis confronter les Ève pseudo civilisées à leur identité première (les jardins gothiques refusant à l’héroine la possibilité d’échapper à son destin, “La Maison du diable”). Le message écologique se fait dès lors plus ambigu qu’il n’y paraît de prime abord. La volonté (nécessité) de préserver notre planète implique une remise en cause de maintes valeurs occidentales, celles fondant notre conception de la civilité, du rapport au corps, à l’autre sexe... La nouvelle prise en compte de Mère Nature et la culpabilité induite par cette dernière sous-tendent peut-être une autre forme de décadence.
Re:
Ah, t'as pas vu le film, hein ?John Trent a écrit :l'empire des fourmis geantes
Les fourmis de ce film ne sont pas terriennes, on peut donc difficilement les assimiler à de simples animaux.
"Fuck The World", Rambo
Re: Les films où la Nature devient dingue
Skeeter un bon nanar
Le dernier segment de creepshow "they're creeping up on you"
Le dernier segment de creepshow "they're creeping up on you"
Quand il n'y'a plus de place en enfer... Ben faites la queue..
Re: Les films où la Nature devient dingue
le 2ème segment de Creepshow avec stephen king même si l'herbe est extraterrestre.
Avis aux nouveaux forumers, il est parfaitement normal voir de santé publique d'envoyer chier manolito au moins une fois.
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Re: Les films où la Nature devient dingue
the host avec la creation d'un monstre après la pollution de l'eau, une metaphore que l'on retrouve dans beaucoup de films qui pointent du doigt la responsabilité de l'homme face à la nature
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Forum sur les versions longues, director's cut et censure
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Re: Les films où la Nature devient dingue
on parle beaucoup d'animaux mais on oubli que la nature c'est aussi l'air, la terre. La nature se dechainent dans de nombreux films comme :
Le jour d'après
Soleil vert
Le pic de dante
Volcano
Tremblement de terre
Twister
Fusion
pour les animaux il me semble qu'on a pas cité
Arachnophobie
shakma
Max le meilleur ami de l'homme
Wolfen
Wilderness
L'ombre et la proie
Piranhas
Le jour d'après
Soleil vert
Le pic de dante
Volcano
Tremblement de terre
Twister
Fusion
pour les animaux il me semble qu'on a pas cité
Arachnophobie
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Max le meilleur ami de l'homme
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L'ombre et la proie
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Re: Les films où la Nature devient dingue
Qui n'a absolument rien d'un film de "Nature gone wild". C'est un survival avec un tueur bien humain même s'il possède 3 bergers allemands d'attaque.Fox Mulder a écrit :Wilderness
Re: Les films où la Nature devient dingue
4 bassets pour un danois de Norman Tokar.
Comment non ?
Pourtant il foutent un de ces bordels les teckels dans la maison...
Comment non ?

Pourtant il foutent un de ces bordels les teckels dans la maison...