Bah, en même temps j'ai dit ce que j'avais à dire sur Romero et j'ai déjà défendu Mother of tears maintes fois. Sur Romero et Argento, je crois qu'en l'occurence c'est vraiment là que se joue la subjectivité du rapport à l'imaginaire de chacun.mallox a écrit :dario carpenter a écrit :oh le coup basmallox a écrit :Et dire qu'on voudrait nous faire passer Argento dans un même temps pour un génie copiste de toiles de maîtres avec moult symboles à la mord moi le noeud. En allant chercher même les "rouges" dans une oeuvre picturale classique. Mais d'où viennent donc les nouvelles couleurs de Suspiria de chez Wild Side? de chez Jérôme Bosh?
pour se plaindre d'Infernalia et de son article,c'est ici :
http://www.devildead.com/forum/viewtopi ... &start=150
http://culturopoing.com/Blogs/Cinema.php?Id=695
Non je réponds pas.
Je serais HS (et c'est déjà le cas), même s'il est difficile de dissocier le parcours de ces deux metteurs en scène qui ont marqué les esprits aux mêmes époques, bossé ensemble et pondent encore des films dont on parle sans discontinuer, alimentant les forums avec des topics en tête de peloton, dignes de Eddie Merckx et Raymond Poulidor.
Et puis Infernalia a bien le droit de défendre son avis et j'ai déjà mis le mien concernant Mother of tears. (le film qui tire des larmes ).
edit: ah ben mince désolé pour wonderscope mais j'ai été devancé. On va quand même pas m'en vouloir de rapprocher Romero et Argento (sur 3 lignes et pour une fois), et leur travail respectif à ce jour, hein?! Je ne pense pas être le seul à penser qu'ils soient liés. Voilà, j'ai dit ce que j'avais à dire, z'inquiétez pas j'ai fini.
Suivant !
J'adore Romero, mais celui-là, non, je crois même que c'est la première fois. On parle de cinéma hargneux, moi je le trouve presque consensuel au contraire dans cette façon de nous fournir le même discours attendu... Je trouve qu'il ressasse, se répète sans n'apporter absolument rien de neuf et qu'il arrive absolument là où tout le monde l'attend. Moi j'étais sincérement gêné, je n'ai pas vraiment envie de le casser ce film, mais je le trouve juste raté. Je trouve que sa dimension subversive est redondante et n'apporte absolument rien à ses précédents opus précédents (répéter 5 fois en un quart d'heure que les infos ça manipule, qu'on nous ment, que les zombies sont les hommes, c'était tellement plus fort dans "Dawn of the dead" sans avoir besoin de lancer des phrases sentencieuses, ça passait juste par l'image). Et puis l'humour franchement, là aussi j'ai été étonné par ce côté potache et c'est la première fois que j'ai eu l'impression qu'il faisait de la parodie limite "Shaun of the dead", comme si brusquement il se mettait à cracher dans la soupe.
J'espère juste qu'il va se débarrasser des attentes du "Romero pour tous" et repartir sur un vrai projet, qui se démarque de tout ce que les fans voient en Romero.
Voilà, c'est juste un film pour rien pour moi.