Quand on a vu les deux premiers opus on est calmé à vie de Yoyovitch et des zombies pourris !
Le 1 était un nanard, le second encore plus nanard et je pense que le 3 ne dérogera pas à la règle !
Je reste sur les jeux vidéo, ça vaut mieux.
[Culte] Resident Evil: Extinction de Russell Mulcahy (2006)
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
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masterbator
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Rien de bien neuf sous le soleil avec ce troisième volet qui reprend la formule des deux premiers sans trop se fouler. Le décor "Mad Max 2" est un peu un alibi, l'idée de la communauté de voyageurs assez peu exploité. On Vient voir Milla flinguer du zombie, et c'est ce à quoi on a droit. Pas beaucoup d'idées ou d'inventions, mais une série B sans prétention, bruyante, distrayante et, au fond, pas antipathique. La séquence à Las Vegas est vraiment le top du film, surtout rapporté à la fin pas très réussie... Ca se regarde gentiment... mais ça ne donne pas envie d'en voir un quatrième...
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Dragonball
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- Localisation : Dans un Bunker avec Playboy, une Dreamcast et un M16
Il est assez amusant de constater que Russel Mulcahy, encore aujourd'hui, semble jouir d'une certaine réputation. Un film de Russel Mulcahy est toujours attendu avec une certaine impatience, une certaine espérance même. Mais au nom de quoi finalement ?
Razorback, son excellente série B à la réalisation classieuse ? Highlander et ses envolées lyriques au romantisme affiché ?
Peut être.
Mais il faut cependant bien avouer que Russel Mulcahy, c'est aujourd'hui plus Highlander 2 et ses délires limites Z, Ricochet et ses gunfight mou du genou, ou encore Résurection et ses scènes "autre" qui feraient même peur à un réalisateur Bis itlaien !
Bref, Russel Mulcahy, et se n'est finalement pas vraiment pour me déplaire, c'est au mieux un réalisateur de série B fun et décompléxé, au pire un réalisateur limite Z !
Si ses films doit être attendu, c'est plus comme ceux d'Uwe Boll que ceux de John Mc Tierman !
Aussi, ce qui surprend dans Resident Evil 3 (Même si je viens de dire qu'il fallait en fait s'y attendre !
) c'est son côté Bis poussé au maximum et fleurtant très souvent avec le Z. Un Bis au budget néamoins très confortable, lui conférant ainsi un aspect assez particulier.
Aussi RE3 s'avère être un bel hommage à la tendance "Rip of" du Bis italien.
Le mélange Post Nuke/Film de Zombies fonctionne assez bien, même si le concpet aurait pu être mieux exploité et le film mieux rythmé (Y a quand même des ici passages assez lent alors que dans RE2, ça n'arretait pas du début à la fin !).
Avantage de l'étiquette "Z", les nombreux défauts du film ne s'avèrent au final pas vraiment génant.
Que se soit les maquillages souvent très limites des Zombis, les pompages à tout les étages (Entre autre de Day of the Dead et du Remake de Dwan of the Dead), les images de synthèses parfois à peine finalisées ou encore les acteurs au jeu parfois très limitées, on passe gentiment l'éponge.
Surtout que le casting féminin est exclusivement habillé de petits shorts et de maillots de corps humide ! Et je ne parle même pas de Milla en porte jartelle !
Par contre, difficile de passer sous silence les innombrables placements de produits dans le film. Pire que dans "The Island", un vrai foutage de gueule !
Au rayon des réussites pures, l'ambiance générale assez sympa, quelques scènes bien nerveuses (Dont celle assez intense de Las Vegas) et un plan final annonciateur d'un RE4 ou le réal va avoir sacrément intéret a assurrer !
En résumé, un film très sympa, pompant les grand succes du fantastique US et les bisseries italiennes des 80's comme celles ci pompaient elles même à l'époque les grands succès américains !
Et le détail qui tue : Y a même des militaires avec des casques de motos !
La boucle est bouclée !
En totu cas, j'espère qu'Umberto Lenzi et Enzo G. Castellari sont remercie dans les crédits !
Razorback, son excellente série B à la réalisation classieuse ? Highlander et ses envolées lyriques au romantisme affiché ?
Peut être.
Mais il faut cependant bien avouer que Russel Mulcahy, c'est aujourd'hui plus Highlander 2 et ses délires limites Z, Ricochet et ses gunfight mou du genou, ou encore Résurection et ses scènes "autre" qui feraient même peur à un réalisateur Bis itlaien !
Bref, Russel Mulcahy, et se n'est finalement pas vraiment pour me déplaire, c'est au mieux un réalisateur de série B fun et décompléxé, au pire un réalisateur limite Z !
Si ses films doit être attendu, c'est plus comme ceux d'Uwe Boll que ceux de John Mc Tierman !
Aussi, ce qui surprend dans Resident Evil 3 (Même si je viens de dire qu'il fallait en fait s'y attendre !
) c'est son côté Bis poussé au maximum et fleurtant très souvent avec le Z. Un Bis au budget néamoins très confortable, lui conférant ainsi un aspect assez particulier.Aussi RE3 s'avère être un bel hommage à la tendance "Rip of" du Bis italien.
Le mélange Post Nuke/Film de Zombies fonctionne assez bien, même si le concpet aurait pu être mieux exploité et le film mieux rythmé (Y a quand même des ici passages assez lent alors que dans RE2, ça n'arretait pas du début à la fin !).
Avantage de l'étiquette "Z", les nombreux défauts du film ne s'avèrent au final pas vraiment génant.
Que se soit les maquillages souvent très limites des Zombis, les pompages à tout les étages (Entre autre de Day of the Dead et du Remake de Dwan of the Dead), les images de synthèses parfois à peine finalisées ou encore les acteurs au jeu parfois très limitées, on passe gentiment l'éponge.
Surtout que le casting féminin est exclusivement habillé de petits shorts et de maillots de corps humide ! Et je ne parle même pas de Milla en porte jartelle !
Par contre, difficile de passer sous silence les innombrables placements de produits dans le film. Pire que dans "The Island", un vrai foutage de gueule !
Au rayon des réussites pures, l'ambiance générale assez sympa, quelques scènes bien nerveuses (Dont celle assez intense de Las Vegas) et un plan final annonciateur d'un RE4 ou le réal va avoir sacrément intéret a assurrer !
En résumé, un film très sympa, pompant les grand succes du fantastique US et les bisseries italiennes des 80's comme celles ci pompaient elles même à l'époque les grands succès américains !
Et le détail qui tue : Y a même des militaires avec des casques de motos !
La boucle est bouclée !
En totu cas, j'espère qu'Umberto Lenzi et Enzo G. Castellari sont remercie dans les crédits !
Je pense que ca RE3 pourra emballer ceux qui etaient restés dubitatifs devants les 2 premiers. en tout cas c'est mon cas.
RE3 est vraiment tres genereux, ca fourmille d'idée collées les unes à la suite des autres et sans lien entre elles (genre la scene des corbeaux qui arrive comme un cheveux sur la soupe)
le pregenerique est bien soignée (on sent l'inflence des succes recents, Hills have eyes, saw(s)...)
bien bourrin, tres rythmé, assez gore, tres bis. Je place ce troisieme volet tres au dessus des 2 precedents.
et puis visuellement ca a de la geule (Mulcahy oblige)
RE3 est vraiment tres genereux, ca fourmille d'idée collées les unes à la suite des autres et sans lien entre elles (genre la scene des corbeaux qui arrive comme un cheveux sur la soupe)
le pregenerique est bien soignée (on sent l'inflence des succes recents, Hills have eyes, saw(s)...)
bien bourrin, tres rythmé, assez gore, tres bis. Je place ce troisieme volet tres au dessus des 2 precedents.
et puis visuellement ca a de la geule (Mulcahy oblige)
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Superfly
- Modérateur
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- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:13 am
- Localisation : Avec Milla en train de casser du zombie ...
Russel Mulcahy est encore vivant. Ou alors c'est juste un nom sur l'affiche et pendant qu'il sirotait des Martini c'est son un autre qui réalisait car c'est bien bourrin et totalement jouissif comme les 2 autres. Pas de scénar mais perso je m'en foutais. Bien gore, bien bis et carré. Un véritable petit plaisir pour les yeux. J'en veux encore !!!
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comte vonkrolock
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- Enregistré le : mer. févr. 28, 2007 6:32 pm
- Localisation : Dans les Carpathes Lyonnaises
Pas aussi bon que sa suite direct le numéro 2, mais bon sa se laisse voir les Zombies ont la classe, maintenant qu'on c'est que la licence RE c'est du Jovovich Show pas de raison de sans privé, surtout que le Boss de fin façon Nemesis est beaucoup mieux réaliser que dans l'opus précèdent.
Mulcahy assure le spectacle minimal, chiens zombie, corbeaux, Wesker. Le scénar tient sur deux ligne, mais bon on s'en fout. Les rares moment ou ont a droit a un peu d'histoire sa torpille chez Romero ou bien Madmax, matinée d'un peu d'Akira plutôt sympa comme référence et bien loin de la série de jeux vidéos.
D'ailleurs faut mieux pas comparer ça au jeux originale vu que celui-ci, même si je risque de me faire lynché et une grosse repompe de tout un pan du cinéma d'horreur fantastique. Je ne comprends pas trop les critiques Madmovie lorsqu’il casse à sa sortie alors qu’ils savent d’avance qu’ils ne vont pas apprécier !! 
Bon le film n’est pas terrible ok, ce n’est pas non plus la purge annoncée. Sa se laisse voir, sans en garder un grand souvenir a la sortie.
Mulcahy assure le spectacle minimal, chiens zombie, corbeaux, Wesker. Le scénar tient sur deux ligne, mais bon on s'en fout. Les rares moment ou ont a droit a un peu d'histoire sa torpille chez Romero ou bien Madmax, matinée d'un peu d'Akira plutôt sympa comme référence et bien loin de la série de jeux vidéos.
D'ailleurs faut mieux pas comparer ça au jeux originale vu que celui-ci, même si je risque de me faire lynché et une grosse repompe de tout un pan du cinéma d'horreur fantastique. Je ne comprends pas trop les critiques Madmovie lorsqu’il casse à sa sortie alors qu’ils savent d’avance qu’ils ne vont pas apprécier !!
Bon le film n’est pas terrible ok, ce n’est pas non plus la purge annoncée. Sa se laisse voir, sans en garder un grand souvenir a la sortie.
Modifié en dernier par comte vonkrolock le dim. janv. 23, 2011 2:34 pm, modifié 1 fois.
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Superwonderscope
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- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:09 am
- Localisation : Pyun City
Re: [Culte] Resident Evil: Extinction de Russell Mulcahy (2006)
En effet, ça n'est guère original sur la forme, mais quelle remontée de pente après l'horreur indescriptible qu'est le 2!
J'ai trouvé l'action beaucoup plus lisible, la photographie très travaillée (les scènes d'intérieur sont magnifiquement éclairées. les visages, les jeux d'ombres, il y a un réel effort comparé à la charpie et la bouillie qu'était le précédent opus!). Milla Jovovich est en pleine forme, elle a du charme, elle est athlétique et elle tout pour le role. Personnellement, j'accroche bien à son interprétation et au personnage balladé de toute part, de sa propre conscience à celle manipulée par Umbrella.
L'action est rondement menée et comme je disais plus haut, bien plus lisible. Les scènes de tuerie de zombies à Las vegas sont efficaces. ca charcle dans tous les sens et c'(esten ce sens plutot généreux, en effet.
Ce qui est bien, c'est que cela prend une direction opposée aux deux premiers. A savoir les grands espaces. Cela fait en ce sens très western futuriste (ce que Mad max 2 et les avatars du rital ne faisait d'ailleurs que reprendre comme recette à la base), un peu désespéré, comme l'étaient beaucoup de westerns avec leurs héros solitaires qui voient dans le méchant de l'histoire une partie d'eux-mêmes. Ca m'a fait plutot penser à du Budd Boetticher/Randolph Sott dans l'approche de l'anti-héros. Comme dans Comanche Station et le côté obsessionnel du héros (je ne sais pas pourquoi, ça m'a fait penser à ce film là!).
La notion d'enfermement est réservée à ceux enfouis sous terre. la solution se trouve, comme pour Frankenstein, au centre du laboratoire où tout s'est déroulé. Ce qui oeuvre (habilement) une fenêtre pour la suite. Finalement, le scénario est moins linéaire qu'il n'y parait.
Il y a bien quelques SFX un peu limite (l'attaque des oiseaux, plutot bien vue d'ailleurs), mais c'est suffisamment rythmé (sans céder à un montage hystérique) pour que l'ensemble passe sans anicroche. C'est, quelque part, le plus adulte des trois.
En conclusion, je n'en attendais pas grand chose, et j'ai été plutôt emballé par le produit! A voir pour la suite...En effet , il n'y a aucune raison que cela s'arrête, le film étant celui qui a le plus rapporté des trois
J'ai trouvé l'action beaucoup plus lisible, la photographie très travaillée (les scènes d'intérieur sont magnifiquement éclairées. les visages, les jeux d'ombres, il y a un réel effort comparé à la charpie et la bouillie qu'était le précédent opus!). Milla Jovovich est en pleine forme, elle a du charme, elle est athlétique et elle tout pour le role. Personnellement, j'accroche bien à son interprétation et au personnage balladé de toute part, de sa propre conscience à celle manipulée par Umbrella.
L'action est rondement menée et comme je disais plus haut, bien plus lisible. Les scènes de tuerie de zombies à Las vegas sont efficaces. ca charcle dans tous les sens et c'(esten ce sens plutot généreux, en effet.
Ce qui est bien, c'est que cela prend une direction opposée aux deux premiers. A savoir les grands espaces. Cela fait en ce sens très western futuriste (ce que Mad max 2 et les avatars du rital ne faisait d'ailleurs que reprendre comme recette à la base), un peu désespéré, comme l'étaient beaucoup de westerns avec leurs héros solitaires qui voient dans le méchant de l'histoire une partie d'eux-mêmes. Ca m'a fait plutot penser à du Budd Boetticher/Randolph Sott dans l'approche de l'anti-héros. Comme dans Comanche Station et le côté obsessionnel du héros (je ne sais pas pourquoi, ça m'a fait penser à ce film là!).
La notion d'enfermement est réservée à ceux enfouis sous terre. la solution se trouve, comme pour Frankenstein, au centre du laboratoire où tout s'est déroulé. Ce qui oeuvre (habilement) une fenêtre pour la suite. Finalement, le scénario est moins linéaire qu'il n'y parait.
Il y a bien quelques SFX un peu limite (l'attaque des oiseaux, plutot bien vue d'ailleurs), mais c'est suffisamment rythmé (sans céder à un montage hystérique) pour que l'ensemble passe sans anicroche. C'est, quelque part, le plus adulte des trois.
En conclusion, je n'en attendais pas grand chose, et j'ai été plutôt emballé par le produit! A voir pour la suite...En effet , il n'y a aucune raison que cela s'arrête, le film étant celui qui a le plus rapporté des trois
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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antropophagus
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Re: [Culte] Resident Evil: Extinction de Russell Mulcahy (2006)
Généreux certes mais ça sent le réchauffé de partout, malgré l'esprit Z plutôt bon enfant (c'est entre autre ça qui me fait aimer le 2ème) il est difficile de rester concentré tant on a l'impression d'avoir déjà vu le film et qu'on se contrefout des quelconques enjeux. Je suis de nature réceptive pour ce genre de films sans prétention mais là c’est trop pour moi, malgré un regain de violence bienvenue dans la série.
Seul le monstre final a su m’éveiller un semblant d’intérêt, assez fidèle au boss du premier jeu d'après mes souvenirs, dommage qu'il soit si vite et laborieusement expédié.
Seul le monstre final a su m’éveiller un semblant d’intérêt, assez fidèle au boss du premier jeu d'après mes souvenirs, dommage qu'il soit si vite et laborieusement expédié.
Man-eater
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Superwonderscope
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- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:09 am
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Re: [Culte] Resident Evil: Extinction de Russell Mulcahy (2006)
en avant-première, la critique du z2 français disponible le 12/06 chez les bons disquaires :
http://www.devildead.com/indexfilm.php3?FilmID=1707
http://www.devildead.com/indexfilm.php3?FilmID=1707
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: [Culte] Resident Evil: Extinction de Russell Mulcahy (2006)
Ca se regarde. Ca bouffe à tous les rateliers (Alien 4, Mad Max 2, Day of the Dead) mais c'est convenablement filmé, généreusement con et pas trop avare sur le gore. Mais quand même qu'est-ce que c'est mou par moments, qu'est-ce que c'est mal joué et qu'est-ce que la musique est nulle. Malgré ça j'ai trouvé le spectacle pas désagréable,mais ça file pas le grand frisson et y'a quand même pas de quoi faire péter le pack de kro avec ses potes en hurlant dans le canap le poing levé. Du bis téléfilmesque qui finira sur M6 un jeudi soir à minuit.