autour d'un feu de camp, qq jeunes adultes et ados nantis se font peur à coup de chansons et un vieux leur compte l'histoire d'un fermier fou qui a décapité plusieurs personnes. bien sûr personne n'y croit mais peu de temps après avoir hurlé son nom, force de constater que le fermier à moitié zombifié a repris la hache et ses activités nocturnes. (ow ow ow.. on rentre du boulot comme diraient qq nains )
...soit le réalisateur a eu l'idée de génie.. soit ben oui Friday13th et Halloween existaient déjà... ben zut alors, voilà un ersatz et franchement pas palpitant (enfin si on peut presque dire que qq autres friday13th d'après le plagient dans le classique, camp vacances, jeunes blagueurs, décapitations, érotisme, revenge, ..... ), zut de zut..aucun(e) jeune ado n'y passe, ils dorment peinard tandis que le reste va à l'aventure se faire découper un par un , en somme voilà l'astuce, faut dormir et ne pas pas penser au père fouettard et on s'en tire bien ! (c'est en plus ça à peu près s'il y a une morale au film)
allez savoir pourquoi Gaylen ross est venue se paumer là dedans, mais malgré qq décapitations juste correctes, le film laisse une fin ouverte
c'est franchement pas terrible c'est sûr, tout juste la chansonnette du madman mars pourrait sortir d'un groupe rock d'époque
J'ai bien aimé ce petit slasher, sûr que le manque de tune se voit à l'écran et les acteurs sont laids (ce qui est rare dans les slashers où souvent le casting féminin est pas mal, confer F13th 7 et 4 ou Cheerleader Camp, Cutting Class (ahhh Jill Schoelen),etc...)
Sinon on ne pas me nier qu'il y'a une atmosphère dans ce film et j'aime bien l'utilisation des filtres bleus.
Le film à 1 ou 2 scènes gores (la décapitation, hache dans le torse,etc...)
mais ce n'est pas Fulci hein.
La scène d'"amour" dans le jacuzzi est ridicule mais au moins on se marre bien.
Les persos sont vraiment hyper crétins et font tout ce qu'il ne faut pas faire et l'action est répétitive: un perso a disparu alors un autre va le rechercher puis et un autre puis un couple, bref pas palpitant.
la jaquette est terrible ! mais ce film est une belle merde ! vraiment un des slashers les plus cheap qu'il m'est été donné de voir: scènes d'extérieurs filmées en studio, acteurs hyper mauvais et aux physiques ingrats, chiant, pas bien drole, photo et SFX bof bof, plus aucun souvenir de la BO...
bref, ça fait beaucoup pour un seul film et effectivement, on se demande bien ce que Gaylen Ross vient foutre là-dedans !
Aucun intérêt, ce slasher ne se démarque en rien de la floppée majoritairement inepte de sous VENDREDI 13 qui pululla dans les années 1980. Ce n'est certainement pas le pire de tous, mais ça reste au fond du panier.
Scénario complètement incohérent, mise en scène ratée qu'il s'agisse de scènes d'exposition ou des meurtres aucune tension, aucune peur naissante. On assiste un peu las à la succession de meurtres approximatifs.
SFX limites quant aux décapitations et les haches qui s'enfoncent (mais avec quelques maquillages sympas, notamment le premier meurtre, mais aussi celui du "Madman Marz", qu'on ne voit qu'à la fin), rythme languissant, acteurs torves, actrices couinantes insupportables -> mention spéciale à Sarah Frisette qui se cache dans le réfrigérateur... le réalisateur/scénariste ne l'a guère aidée en 1/choisissant l'actrice 2/ en lui réservant un rôle et des dialogues confondant de platitude et de décérébrage.
La zizique-bontempi fait du sous-sous Howarth/Carpenter (tout comme le premier plan est un démarquage du premier de The Fog) mais demeure positivement insupportable.
Ca sent en effet la production régionale indépendante mais sans une once de talent ou d'originalité. Un film qui suit un schéma en vogue, sans s'en démarquer, en tentant un avgue lien fantastique dont on se contrefout, en fait.
Il n'y a guère de choses à recommander dans ce Madman-là, j'ai eu beaucoup de mal à aller au bout des 88 minutes qui m'en ont paru le triple...
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
c'est certe tres classique mais pas desagréable (et assez rythmé j'ai trouvé)
j'aime bien la photographie bleutée pendant les scenes d'exterieur de nuit.
pour moi c'est dans la bonne moyenne des slshers 80's.
à voir pour la fameuse scene de décapitation à coup de capot de voiture et la presence de
Gaylen Ross (de Dawn of the dead)
Embrayage directe (grace a Mazon Prime) et après House on Sorority Row sur ce Madman neeeettement plus “basique” que HoSR .
Dans la lignee des “slashers” de l’epoque, Madman ratisse plutôt large et sans trop inventer. Camp de vacances (Friday 13th): check, légende autour d’un feu de camp (The Fog): check, inspire d’une légende urbaine (The Burning): check.
En fait, c’est simple, pour la légende urbaine, tout comme The Burning, Madman s’inspire de l’affaire Andre Rand, le “Cropsey” original. Les 2 films étant en production en même temps et pour éviter qu’ils ne s’”eliminent” mutuellement pour traiter du même sujet, Madman a été quelque peu "retravaille" (ca n'a pas ameliore le scenar pour autant... ).
Le cote légende qui devient réalité semble avoir inspiré plus tard A Nightmare on Elm Street, voire Candyman ou meme
Spoiler : :
Ogroff Mad Mutilator
ou encore Indiana Jones 4 pour une utilisation audacieuse de refrigerateur , mais a vrai dire, le tout est tellement “fonctionnel” que l’on ne peut pas dire qu’il y ait un réel “developpement” d’idee—et surtout pas d’une quelconque idee originale .
Les meurtres sont gratuits, normal, c’est un slasher, mais bon. Le problème étant surtout qu’ils s’enquillent sans aucune tension ou…interet . Soirée “legende” près du feu de camp -> légende qui devient réalité -> meurtremeurtremeurtreslashslashslash -> bofbofbof .
Bizarrement (accidentellement??), il y a une petite “atmosphere” et une certaine compétence dans la réalisation (enfin, dans certaines scenes, hein), mais malheureusement (trop) souvent interrompue par des meurtres inintéressants et répétitifs . Bref, un slasher ou le spectateur ne s'emm.rde pas ENTRE les meurtres mais PENDANT —le comble!
Sans compter que pour un film a meutres en serie on se retrouve surtout avec des victimes qui partent a la recherche les unes des autres en serie que ca en devient risible
On pourrait adapter un chouillat la citation d'Oscar Wilde et paraphraser le film en:
"Perdre un proche est un malheur, mais en perdre autant est une neglience!"
Notons aussi que la quasi-totalite du cast semble avoir disparu tout en n'ayant laisse que peu de traces (cinematographiques) anterieures ou posterieures au present Madman. (Se pourrait-il qu'ils soient tous...DEVENUS LES VICTIMES DU MONSTRE!? (TZOUIN TZOUIN!)
A vrai dire, quelque part, le film rappelle la “simulation” de Cabin in the Woods, sauf qu’on pouvait en rire dans CitW, pas ici…
(Il faut dire aussi que l'idee de transformer l'oncle Jess de The Dukes of Hazzard en Bogeyman n'etait pas brillante a la base...)
Notez qu'en fait, Madman m'a BEAUCOUP fait penser a
Spoiler : :
Les Dents de la Mouche No4 (a.k.a. Canines of the Moutch)
Je doute par contre que le real ait voulu inspirer les Inconnus!
Bref si House on Sorority Row était plutôt vers le milieu du tonneau de Slashers, Madman dégringolé vers le bas…Il y a bien pire dans le genre(!!)—mais quand meme…
Madman: 2.25 / 5 (trop routinier, trop inintéressant, trop planplan, bref…”pas assez” et “trop peu”…A réserver aux inconditionnels du genre…)
P.S. Assez l'impression qu'il s'agit d'un cas pour nos amis de Nanarland. Des amateurs?
Après l'avoir revu dans de bonnes conditions (blu-ray), je censure mon précédent message et je revois mon jugement sur ce film !
Les plus :
- Dans la catégorie "tellement mauvais qu’ils en deviennent bons", ça se pose là, avec des moments cultes comme la danse absurde dans le jacuzzi, les personnages qui partent se faire trucider les uns après les autres ou la fille qui se cache dans un frigo.
- L’ambiance Vendredi 13 à fond les balais : un camp d’été nocturne, des moniteurs plus intéressés par baiser qu'à s'occuper des enfants (parfois ça finit mal – hein Jason !), et un tueur qui traque ses victimes une par une.
- Madman Marz a un look génial et le film fait des efforts pour soigner sa légende. L’intro au coin du feu est parfaite pour poser l’histoire (façon Vendredi 13 Part 2 ou The Burning), et la petite signature musicale sur ses apparitions ainsi que la chanson finale sont très funs.
- Les meurtres font le job, avec quelques scènes marquantes : le pendu, la tête coupée par le capot de voiture , le coup de fusil à travers la fenêtre et une fin brutale. Ça saigne juste comme il faut même si ça sent le micro-budget.
- Les persos sont étonnamment attachants : certes, ils sont con-cons, mais assez crédibles et moins caricaturaux que dans plein d'autres slashers. Gros plaisir de revoir Gaylen Ross (Dawn of the Dead) dans le rôle de la final girl.
Les moins :
- Le rythme est assez lent et certaines scènes traînent en longueur.
- Ça déborde de clichés (même si ça passait sûrement mieux en 1982), mais dans le fond, on est là pour ça, non ?
Madman a un charme indéniable, bourré de maladresses mais impossible à détester. On peut en rire, mais on sent que c'est fait avec sincérité, en respectant les codes du genre sans cynisme ni ironie. C'est pas un chef-d’œuvre mais ça reste un plaisir coupable qui mérite sa place parmi les slashers cultes de l'âge d'or.
)
, en somme voilà l'astuce, faut dormir et ne pas pas penser au père fouettard et on s'en tire bien ! (c'est en plus ça à peu près s'il y a une morale au film)
vraiment un des slashers les plus cheap qu'il m'est été donné de voir: scènes d'extérieurs filmées en studio, acteurs hyper mauvais et aux physiques ingrats, chiant, pas bien drole, photo et SFX bof bof, plus aucun souvenir de la BO...
. Soirée “legende” près du feu de camp -> légende qui devient réalité -> meurtremeurtremeurtreslashslashslash -> bofbofbof 
—le comble!