En 1930, deux pères : Michael Sullivan, un tueur professionnel au service de la mafia irlandaise dans le Chicago de la Dépression, et Mr. John Rooney, son patron et mentor, qui l'a élevé comme son fils. Deux fils : Michael Sullivan junior et Connor Rooney, qui font chacun des efforts désespérés pour s'attirer l'estime et l'amour de leurs géniteurs.
La jalousie et l'esprit de compétition les plongent dans une spirale de violence aveugle dont les premières victimes sont la femme de Sullivan et son fils cadet Peter.
Un long voyage commence alors pour Michael Sullivan et son fils survivant. Au bout de cette route, la promesse d'une vengeance et l'espoir de conjurer l'enfer. Et peut-être l'aube d'un sentiment nouveau entre un père et son fils.
enfin vu ce film ce week-end et je suis sous le charme !! c'est un pur chef-d'oeuvre !! tout y est impeccable, la mise-en-scène, la splendide photographie, la musique de thomas newman, sans oublier bien sur le jeu impeccable des acteurs. avec un grand face à face entre tom hanks et son "père adoptif" paul newman.
j'avais lu de ci de là que c'était un beau livre d'images, sans relief. mais pas du tout, le film ne se contente pas de sa beauté graphique, il dénote aussi d'une réelle profondeur thématique, avec d'un côté un tableau assez explicite et précis sur la mafia irlandaise aux états-unis dans les années 30 ; et de l'autre l'évocation des difficiles rapports entre un père et son fils. ceci à travers des familles déchirées, soit par l'absence d'un père, soit par la présence d'un fils indigne.
mon seul regret est de ne pas l'avoir découvert au cinéma.
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road to perdition, sam Mendes
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F-des-Bois
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rusty james
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Mon seul regret l'avoir vu au cinéma.mon seul regret est de ne pas l'avoir découvert au cinéma
Les sièges du cinoch étant moins confortable que mon canapé pour s'assoupir, bien que des fois en se contorsionant un p'tit peu on puisse trouver un certain équilibre, certes préccaire mais parfois salutaire...
moi ça m'a touché. tom hanks, qui n'est pas mon acteur favori, m'a bluffé. comme tout les interprètes d'ailleurs.
j'admets que le film subit parfois un faux-rythme, mais chez moi ça n'a pas généré d'ennui, mais plutôt une espèce de contemplation et de fascination vis-à-vis du spectacle que j'admirais.
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right hand of doom
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SPOILER*****
mais rien que la scène ou tom hanks s'occupe de paul newman, ou le fils se voit obligé de tuer le père, avec cette splendide fusillade silencieuse sans un bruit de rafale, puis ce plan ou l'ombre de tom arrive au-dessus de l'épaule de paul newman, puis cette réplique qui lui vient du fond du coeur : " je suis heureux que se soit toi qui le fasse ", et là? violent et fort, le bruit de la mitrailleuse qui commet le parricide. le tout sous une pluie battante.
poignant.
END OF SPOILERS ****
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mais rien que la scène ou tom hanks s'occupe de paul newman, ou le fils se voit obligé de tuer le père, avec cette splendide fusillade silencieuse sans un bruit de rafale, puis ce plan ou l'ombre de tom arrive au-dessus de l'épaule de paul newman, puis cette réplique qui lui vient du fond du coeur : " je suis heureux que se soit toi qui le fasse ", et là? violent et fort, le bruit de la mitrailleuse qui commet le parricide. le tout sous une pluie battante.
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richard boyle
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Don Fabrizio
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