Interview carrière du Mr qui a eu droit récemment à sa rétrospective au festival des Rencontres de la Seine Saint-Denis:
http://www.chronicart.com/webmag/article.php?id=1508
La filmo:
The Broken Code (2009) (in production)
Hustle (2004) (TV)
"The Sopranos" (1 episode, 2004)
- Sentimental Education (2004) TV episode
The Mystery of Natalie Wood (2004) (TV)
The Cat's Meow (2001)
A Saintly Switch (1999) (TV)
Naked City: A Killer Christmas (1998) (TV)
Rescuers: Stories of Courage: Two Women (1997) (TV)
The Price of Heaven (1997) (TV)
To Sir, with Love II (1996) (TV)
"Fallen Angels" (1 episode, 1995)
- A Dime a Dance (1995) TV episode
"Picture Windows" (1 episode, 1994)
... aka Picture Windows: Language of the Heart (USA)
- Song of Songs (1994) TV episode
The Thing Called Love (1993)
Noises Off... (1992)
Texasville (1990)
Illegally Yours (1988)
Mask (1985)
They All Laughed (1981)
Saint Jack (1979)
Nickelodeon (1976)
At Long Last Love (1975)
Daisy Miller (1974)
Paper Moon (1973)
What's Up, Doc? (1972)
Directed by John Ford (1971)
The Last Picture Show (1971)
Targets (1968)
Voyage to the Planet of Prehistoric Women (1968)
The Great Professional: Howard Hawks (1967) (TV)
Top à Peter Bogdanovich
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dario carpenter
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Re: Top à Peter Bogdanovich
Voyage to the Planet of Prehistoric Women (1968) : Pas vu.
Targets (1968) : 10/10. Une petite bombe. La façon dont Bogdanovich mélange les genres - horreur, drame social - rend hommage à ses aînés, intègre Karloff à son récit tout en menant son suspense de main de maître est impressionnante. Mon film préféré de lui.
The Last Picture Show (1971) : Vu en diagonales à la télé. Impossible de juger, mais ça avait chouette visuellement.
Directed by John Ford (1971) : Pas vu.
What's Up, Doc ? (1972) : 5/10. Hommage à la comédie hollywoodienne des années 30 avec Ryan O’Neal en Cary Grant du pauvre. Pas très fin, mais rythmé et amusant.
Paper Moon (1973) : Pas vu.
Daisy Miller (1974) : Pas vu.
At Long Last Love (1975) : Pas vu.
Nickelodeon (1976) : 5/10. Méga-flop qui écarta durablement … définitivement même … Peter Bogdanovich de la A-list des réalisateurs US de son époque. Pas vraiment une réussite, mais pas non plus une purge que cette description des balbutiements / premières grandes heures de l’industrie du cinéma américain sur le même mode burlesque que What's up, Doc. Principal problème, assez handicapant pour une comédie j’en conviens : le film n’est pas très drôle. Mais disons qu’une fois dans le bain on peut se laisser prendre au jeu : Burt Reynolds, avec un accent à couper au couteau, est amusant, le film a peut-être coûté cher mais la thune investie se retrouve à l’écran et si l’on ne peut faire abstraction de ses nombreuses lourdeurs et maladresses, il faut tout de même lui concéder une indéniable sincérité dans le regard admiratif et passionné qu’il porte à son sujet.
Saint Jack (1979) : 8/10. Belle étude de caractère. Un ton joliment désabusé, une interprétation au top (Ben Gazzara, Denholm Elliott), un cadre coloré – Le Singapour du début des années 70 – bien exploité, rappelant là-encore, mais plus discrètement, un certain cinéma hollywoodien exotique d’antan, une belle photo de Robby Müller. Produit par Corman et Hugh Hefner. Extrêmement attachant.
They All Laughed (1981) : 6/10. Retour à un cinéma plus conventionnel avec cette comédie de mœurs fraîche, décontractée. Jolie distribution.
Mask (1985) : 5/10. Vu il y a plus de 20 ans. Souvenir d’un truc sincère mais très mélodramatique.
Illegally Yours (1988) : 2/10. Autre hommage à la comédie américaine des années 30/40, avec cette-fois ci Rob Lowe dans le rôle du gentil binoclard façon Cary Grant. LE résultat est incroyablement lourd, souvent très embrouillé au niveau du récit et absolument pas convaincant côté interprétation. Une catastrophe.
Texasville (1990) : 7/10. Suite de The Last Picture show. Une peinture acide de l’Amérique rurale contemporaine, à la mise en scène par moment très inspirée et à l’excellente interprétation. Ca manque un chouïa d’humanité pour être totalement réussi mais ça reste le film le plus intéressant de Bogdanovich sur la période 80.
Noises Off... (1992) : Pas vu.
The Thing Called Love (1993) : 6/10. Une nouvelle occasion pour Bogdanovich de dépeindre l’Amérique provinciale. Sauf qu’à l’inverse de Texasville, le film manque cette fois cruellement de piquant et vire rapidement au mélo rose bonbon. Parait qu’il existe une version plus longue en DVD, j’aimerai bien la tenter un de ces 4.
Picture Windows - Song of Songs (1994) (TV) : Pas vu.
Fallen Angels - A Dime a Dance (1995) (TV) : Me rappelle plus si je l’ai vu ... si c’est le cas, ça ne devait pas être le plus marquant de cette anthologie.
To Sir, with Love II (1996) (TV) : 1/10. Suite du film de Clavell à la mode Dangerous Minds. Globalement consternant.
The Price of Heaven (1997) (TV) : Pas vu.
Rescuers: Stories of Courage: Two Women (1997) (TV) : Pas vu.
Naked City: A Killer Christmas (1998) (TV) : Pas vu.
A Saintly Switch (1999) (TV) : Pas vu.
The Cat's Meow (2001) : 6/10. Une réalisation soignée, avec un brin de personnalité, de bons numéros d'acteurs. Mais tout ça manque d'audace et de profondeur. Bogdanovich passe quand même à côté d'un sujet en or pour lui.
The Mystery of Natalie Wood (2004) (TV) : Pas vu.
Hustle (2004) (TV) : Pas vu.
The Broken Code (2009) :
Targets (1968) : 10/10. Une petite bombe. La façon dont Bogdanovich mélange les genres - horreur, drame social - rend hommage à ses aînés, intègre Karloff à son récit tout en menant son suspense de main de maître est impressionnante. Mon film préféré de lui.
The Last Picture Show (1971) : Vu en diagonales à la télé. Impossible de juger, mais ça avait chouette visuellement.
Directed by John Ford (1971) : Pas vu.
What's Up, Doc ? (1972) : 5/10. Hommage à la comédie hollywoodienne des années 30 avec Ryan O’Neal en Cary Grant du pauvre. Pas très fin, mais rythmé et amusant.
Paper Moon (1973) : Pas vu.
Daisy Miller (1974) : Pas vu.
At Long Last Love (1975) : Pas vu.
Nickelodeon (1976) : 5/10. Méga-flop qui écarta durablement … définitivement même … Peter Bogdanovich de la A-list des réalisateurs US de son époque. Pas vraiment une réussite, mais pas non plus une purge que cette description des balbutiements / premières grandes heures de l’industrie du cinéma américain sur le même mode burlesque que What's up, Doc. Principal problème, assez handicapant pour une comédie j’en conviens : le film n’est pas très drôle. Mais disons qu’une fois dans le bain on peut se laisser prendre au jeu : Burt Reynolds, avec un accent à couper au couteau, est amusant, le film a peut-être coûté cher mais la thune investie se retrouve à l’écran et si l’on ne peut faire abstraction de ses nombreuses lourdeurs et maladresses, il faut tout de même lui concéder une indéniable sincérité dans le regard admiratif et passionné qu’il porte à son sujet.
Saint Jack (1979) : 8/10. Belle étude de caractère. Un ton joliment désabusé, une interprétation au top (Ben Gazzara, Denholm Elliott), un cadre coloré – Le Singapour du début des années 70 – bien exploité, rappelant là-encore, mais plus discrètement, un certain cinéma hollywoodien exotique d’antan, une belle photo de Robby Müller. Produit par Corman et Hugh Hefner. Extrêmement attachant.
They All Laughed (1981) : 6/10. Retour à un cinéma plus conventionnel avec cette comédie de mœurs fraîche, décontractée. Jolie distribution.
Mask (1985) : 5/10. Vu il y a plus de 20 ans. Souvenir d’un truc sincère mais très mélodramatique.
Illegally Yours (1988) : 2/10. Autre hommage à la comédie américaine des années 30/40, avec cette-fois ci Rob Lowe dans le rôle du gentil binoclard façon Cary Grant. LE résultat est incroyablement lourd, souvent très embrouillé au niveau du récit et absolument pas convaincant côté interprétation. Une catastrophe.
Texasville (1990) : 7/10. Suite de The Last Picture show. Une peinture acide de l’Amérique rurale contemporaine, à la mise en scène par moment très inspirée et à l’excellente interprétation. Ca manque un chouïa d’humanité pour être totalement réussi mais ça reste le film le plus intéressant de Bogdanovich sur la période 80.
Noises Off... (1992) : Pas vu.
The Thing Called Love (1993) : 6/10. Une nouvelle occasion pour Bogdanovich de dépeindre l’Amérique provinciale. Sauf qu’à l’inverse de Texasville, le film manque cette fois cruellement de piquant et vire rapidement au mélo rose bonbon. Parait qu’il existe une version plus longue en DVD, j’aimerai bien la tenter un de ces 4.
Picture Windows - Song of Songs (1994) (TV) : Pas vu.
Fallen Angels - A Dime a Dance (1995) (TV) : Me rappelle plus si je l’ai vu ... si c’est le cas, ça ne devait pas être le plus marquant de cette anthologie.
To Sir, with Love II (1996) (TV) : 1/10. Suite du film de Clavell à la mode Dangerous Minds. Globalement consternant.
The Price of Heaven (1997) (TV) : Pas vu.
Rescuers: Stories of Courage: Two Women (1997) (TV) : Pas vu.
Naked City: A Killer Christmas (1998) (TV) : Pas vu.
A Saintly Switch (1999) (TV) : Pas vu.
The Cat's Meow (2001) : 6/10. Une réalisation soignée, avec un brin de personnalité, de bons numéros d'acteurs. Mais tout ça manque d'audace et de profondeur. Bogdanovich passe quand même à côté d'un sujet en or pour lui.
The Mystery of Natalie Wood (2004) (TV) : Pas vu.
Hustle (2004) (TV) : Pas vu.
The Broken Code (2009) :
Modifié en dernier par manuma le mer. mars 25, 2009 11:50 pm, modifié 2 fois.
Re: Top à Peter Bogdanovich
Vu :
Mask (1985) : Mélo sympathique et intéressant, mais brassant trop de conventions déjà vues. 6/10
Et c'est tout...
Mask (1985) : Mélo sympathique et intéressant, mais brassant trop de conventions déjà vues. 6/10
Et c'est tout...
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dario carpenter
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- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:10 pm
- Localisation : Haute Normandie et parfois Ile de France!
- Contact :
Re: Top à Peter Bogdanovich
ce soir sur Arte!manuma a écrit :What's Up, Doc ? (1972) : 5/10. Hommage à la comédie hollywoodienne des années 30 avec Ryan O’Neal en Cary Grant du pauvre. Pas très fin, mais rythmé et amusant.)