The Day the earth stood still - Scott Derrickson (2008)
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Re: The Day the earth stood still - Scott Derrickson (2008)
Déception pour ma part.
Commencez par virer ce gosse sans talent qui en plus a un rôle des plus bateau et énervant!!!
Ensuite j'ai vraiment été excédé par ce tic toc des scénaristes américains qui visent à enfoncer le clou encore et encore alors que normalement le spectateur a déjà compris la première fois.
Reste Keanu Reeves impeccable tout comme Jennifer Connely.
Déçu donc.
Commencez par virer ce gosse sans talent qui en plus a un rôle des plus bateau et énervant!!!
Ensuite j'ai vraiment été excédé par ce tic toc des scénaristes américains qui visent à enfoncer le clou encore et encore alors que normalement le spectateur a déjà compris la première fois.
Reste Keanu Reeves impeccable tout comme Jennifer Connely.
Déçu donc.
Re: The Day the earth stood still - Scott Derrickson (2008)
Bah ils font toujours ça, mais ils s'adressent au public américain avant toutj'ai vraiment été excédé par ce tic toc des scénaristes américains qui visent à enfoncer le clou encore et encore alors que normalement le spectateur a déjà compris la première fois.


Re: The Day the earth stood still - Scott Derrickson (2008)
Bon ....comment dire.......vous m'incitez pas à aller le voir
Je sens que je vais me revoir la version de 1951 (mon film préféré).

Je sens que je vais me revoir la version de 1951 (mon film préféré).
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Re: The Day the earth stood still - Scott Derrickson (2008)
Tout amateur de l'original de Robert Wise doit s'attendre à une sacrée désillusion quant à cet update de l'histoire et du sujet. Ce nouveau film de Scott derrickson est tout bonnement un massacre en règle.
La séquence prégénérique donne le ton (thon?) : en plienes montagnes indiennes en 1928, la neige artificielle tombe sur les rochers en plastique-Bertrand. On écarquille les yeux sur le nouveau blockbuster hollywoodien qui donne dans le studio-carton-pate de série B... bon. Attendons de voir. Si le début peut faire vaguement illusion en terme d'histoire et de visuel, il faut rapidement déchanter. Le scénario et le visuel prend la direction SF d'une nouvelle version de la fin du monde, en plein style biblique. Car Klaatu n'est en fait ni plus ni moins que la parole divine venue dans une sphère de lumière venue des cieux corriger les méchants humains et leur incorrigible comportement.
(divers spoilers ci-dessous)
Si on passe la peur de voir un Sphère 2, on a droit à une redite des Chatiments (avec les plaies d'Egypte qui s'abattent sur le monde), une pincée d'arche de Noé avant le grand déluge) et comme si ça ne suffisait pas : il marche sur l'eau et ressucite un Lazare de passage (le flic qui les arrete).
C'est préchi-précha et fourre-tout, bourré d'incohérences et de scènes incongrues : mais pourquoi donc Klaatu amène-t-il la scientifique au milieu de nulle part afin de communiquer avec une putain de sphère qui attire des tétards? Simplement pour montrer qu'il a le pouvoir de marcher sur l'eau? Pfff.
(fin des poilers où de toute façon on s'en fout)
Toute la partie sur la menace qui pèse sur les humains, le dialogue avec les scientifiques...bref le nerf de l'original, est expédié ad patres au profit d'un suspense sans aucun enjeu si ce n'est de montrer les pouvoirs de Klaatu.
La plus grosse désillusion, c'est Gort. Une horreur en CGI qui l'a transformé en robot d'une dizaine de mètres de haut
. C'est laid...très laid... et les espoirs fondés sur "Klaatu Barada Nikto" : rangez-les au fond de vos poches. Bazardé en dix secondes au début du film, c'est expédié. Tout le mystère qui faisait le charme de l'orignal sur cette phrase a disparu au profit d'un spectaculaire là aussi qui tombe à plat.
Ensuite les effets spéciaux... ébé, c'est pas la panacée. les hélicoptères font Playstation 3 et le reste est d'une laideur confondante. Voire par exemple l'explosion de la porte du complexe militaire vers le denrier puart, à peine digne d'une produciton Nu Image
. La scène où Jennifer Connelly et son beau-fils marchent vers la sphère est complètement ratée : le sol "numérique" est là aussi d'une laideur record quand au réalisme supposé de la scène.
Le rythme du film, passé la surprise du début, est alangui... beaucoup de dialogues en creux, d'explications démonstratives dans tous les sens, des champs-contrechamps interminables. C'est très très long. Ce qui n'arrange en rien, c'est le personnage du gamin, une tête à claques! Sa présupposée déchirure personnelle (la perte de son père) se transforme en insupportable manipulation sentimentaliste dont on a au final strictement rien à faire - sauf lors d'une scène de retrouvaille avec sa belle-mère. mais dès que les dialogues "explicatifs" prennent le dessus, toute l'émotion fiche le camp.
Pour les acteurs : si Keanu Reeves est parfait dans le choix d'un acteur sans expression pour un personnage sans expression, Jennifer Connelly se tire honorablement d'un rôle assez ingrat. ceci dit, elle n'est pas du tout à la hauteur d'une Patricia Neal autrement plus émouvante et fortte. il faut par contre qu'elle change de coiffeur. Le reste est du domaine du caricatural, la palme revenant à l'espèce de gradé de l'armée moustachu beuglant comme dans une prod Cannon de la pire espèce. Les ânes du gouvernement sont à l'avenant. et même Kathy Bates a du mal à faire preuve de retenue. John Cleese est translucide dans une scène expédiée en deux temps trois mouvements. le professeur Barnhardt de la version 1951 est devenu un passage obligé qui manque d'envergure et surtout qui ne sert à rien.
Et donc le jour où la terre s'arrêta... ben...tout ça pour ça? On s'en fout complètement de cette scène!
...voilà un machin bousoufflé, laid à voir, sans rythme et sans aucun sens de la menace ou de suspense qui sert de tremplin à une nouvelle croisade contre l'espèce humaine et à une réinterprétation de diverses scènes bibliques.
Scott Derrickson, après son Exorcisme d'Emily Rose bien profond, semble être devenu un nouveau prédicateur hollywoodien qui, sous couvert de SF, ressert une vieille soupe rance et ce sans une once d'originalité ou de talent. Poubelle!
SWS dit : beuark et 00
Conclusion: voir ou revoir en boucle la version originale de 1951, un million de fois plus intéressante, originale et prémonitoire que cet opus foireux (et foiré, qui plus est).
La séquence prégénérique donne le ton (thon?) : en plienes montagnes indiennes en 1928, la neige artificielle tombe sur les rochers en plastique-Bertrand. On écarquille les yeux sur le nouveau blockbuster hollywoodien qui donne dans le studio-carton-pate de série B... bon. Attendons de voir. Si le début peut faire vaguement illusion en terme d'histoire et de visuel, il faut rapidement déchanter. Le scénario et le visuel prend la direction SF d'une nouvelle version de la fin du monde, en plein style biblique. Car Klaatu n'est en fait ni plus ni moins que la parole divine venue dans une sphère de lumière venue des cieux corriger les méchants humains et leur incorrigible comportement.
(divers spoilers ci-dessous)
Si on passe la peur de voir un Sphère 2, on a droit à une redite des Chatiments (avec les plaies d'Egypte qui s'abattent sur le monde), une pincée d'arche de Noé avant le grand déluge) et comme si ça ne suffisait pas : il marche sur l'eau et ressucite un Lazare de passage (le flic qui les arrete).
C'est préchi-précha et fourre-tout, bourré d'incohérences et de scènes incongrues : mais pourquoi donc Klaatu amène-t-il la scientifique au milieu de nulle part afin de communiquer avec une putain de sphère qui attire des tétards? Simplement pour montrer qu'il a le pouvoir de marcher sur l'eau? Pfff.
(fin des poilers où de toute façon on s'en fout)
Toute la partie sur la menace qui pèse sur les humains, le dialogue avec les scientifiques...bref le nerf de l'original, est expédié ad patres au profit d'un suspense sans aucun enjeu si ce n'est de montrer les pouvoirs de Klaatu.
La plus grosse désillusion, c'est Gort. Une horreur en CGI qui l'a transformé en robot d'une dizaine de mètres de haut

Ensuite les effets spéciaux... ébé, c'est pas la panacée. les hélicoptères font Playstation 3 et le reste est d'une laideur confondante. Voire par exemple l'explosion de la porte du complexe militaire vers le denrier puart, à peine digne d'une produciton Nu Image

Le rythme du film, passé la surprise du début, est alangui... beaucoup de dialogues en creux, d'explications démonstratives dans tous les sens, des champs-contrechamps interminables. C'est très très long. Ce qui n'arrange en rien, c'est le personnage du gamin, une tête à claques! Sa présupposée déchirure personnelle (la perte de son père) se transforme en insupportable manipulation sentimentaliste dont on a au final strictement rien à faire - sauf lors d'une scène de retrouvaille avec sa belle-mère. mais dès que les dialogues "explicatifs" prennent le dessus, toute l'émotion fiche le camp.
Pour les acteurs : si Keanu Reeves est parfait dans le choix d'un acteur sans expression pour un personnage sans expression, Jennifer Connelly se tire honorablement d'un rôle assez ingrat. ceci dit, elle n'est pas du tout à la hauteur d'une Patricia Neal autrement plus émouvante et fortte. il faut par contre qu'elle change de coiffeur. Le reste est du domaine du caricatural, la palme revenant à l'espèce de gradé de l'armée moustachu beuglant comme dans une prod Cannon de la pire espèce. Les ânes du gouvernement sont à l'avenant. et même Kathy Bates a du mal à faire preuve de retenue. John Cleese est translucide dans une scène expédiée en deux temps trois mouvements. le professeur Barnhardt de la version 1951 est devenu un passage obligé qui manque d'envergure et surtout qui ne sert à rien.
Et donc le jour où la terre s'arrêta... ben...tout ça pour ça? On s'en fout complètement de cette scène!
...voilà un machin bousoufflé, laid à voir, sans rythme et sans aucun sens de la menace ou de suspense qui sert de tremplin à une nouvelle croisade contre l'espèce humaine et à une réinterprétation de diverses scènes bibliques.
Scott Derrickson, après son Exorcisme d'Emily Rose bien profond, semble être devenu un nouveau prédicateur hollywoodien qui, sous couvert de SF, ressert une vieille soupe rance et ce sans une once d'originalité ou de talent. Poubelle!
SWS dit : beuark et 00
Conclusion: voir ou revoir en boucle la version originale de 1951, un million de fois plus intéressante, originale et prémonitoire que cet opus foireux (et foiré, qui plus est).
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: The Day the earth stood still - Scott Derrickson (2008)
Je ne serais pas aussi catégorique que SWS à propos de cette nouvelle mouture du "Jour où la Terre s'arrêta" - peut-être parce que je ne suis pas aussi fan que lui de l'original. La dimension chrétienne de cette histoire était déjà très sensible dans la première version ; même si Robert Wise a je crois toujours dit que ce n'était - de sa part en tous cas - pas vraiment volontaire. Gort/Dieu et Klaatu/Jésus sont des rapprochements ainsi extrêmement évidents. Un dieu surpuissant en colère contre les hommes, son messager qui descend parmi les hommes, les comprend et périt de leur main avant de résusciter grâce au pouvoir divin, etc... Il est vrai que dans la version 2008, c'est vraiment asséné très lourdement...
Mais les vrais soucis de ce nouveau "Le jour où la Terre s'arrêta" se situent à des niveaux plus basiques, dans des contingences purement cinématographiques. Après le succès du "jour d'après", la Fox enfonce le clou du blockbuster écologique. Derrickson a au moins le mérite d'aborder son sujet et le film original avec sérieux et respect. Mais un respect qui devient vite compassé et lourd. Le démarrage est très loin d'avoir l'efficacité de la mise en place exemplaire du film de 1951. Le choix visuel des boules est discutable - c'est vrai qu'on pense à "Sphere" en plus ! Le film est bavard, mou, lent, tentant maladroitement par moment de jouer la carte de l'action pour convaincre sur plusieurs tableaux (le spectacle et la parabole écolo). L'interprétation est très acceptable à mon sens, même John Cleese en prix nobel, ce qui n'était pas gagné d'avance ! Le nouveau Gort ne m'a pas choqué, ni les SFX que je trouve dans une honnête moyenne.
Là où je rejoins sws et taki, c'est sur le personnage du petit garçon qui est catastrophique. Quand on se rappelle la relation très touchante entre Klaatu et le personnage équivalent de 1951, l'écart fait mal tant le gamin est ici tête à claque et agaçant. Et il est aussi vrai que le "jour où la terre s'arrêta" en lui-même est un moment complètement gratuit, servant plus à justifier le titre qu'autre chose... Bref, un projet de remake intéressant, qui pour une fois a tenté de vraiment renouveller le métrage d'origine, mais qui se plante par sa mollesse, son manque de conviction et de personnalité et laisse sur une impression d'indifférence...
Vuà l'ugc des halles dans une salle 6 pleine comme un oeuf en plein milieu d'apres midi un vendredi ! Cela s'explique sans doute par le fait qu'il soit, en fait, le seul blockbuster à sortir durant les fêtes - répercussion de la grève des scénaristes oblige !!
Mais les vrais soucis de ce nouveau "Le jour où la Terre s'arrêta" se situent à des niveaux plus basiques, dans des contingences purement cinématographiques. Après le succès du "jour d'après", la Fox enfonce le clou du blockbuster écologique. Derrickson a au moins le mérite d'aborder son sujet et le film original avec sérieux et respect. Mais un respect qui devient vite compassé et lourd. Le démarrage est très loin d'avoir l'efficacité de la mise en place exemplaire du film de 1951. Le choix visuel des boules est discutable - c'est vrai qu'on pense à "Sphere" en plus ! Le film est bavard, mou, lent, tentant maladroitement par moment de jouer la carte de l'action pour convaincre sur plusieurs tableaux (le spectacle et la parabole écolo). L'interprétation est très acceptable à mon sens, même John Cleese en prix nobel, ce qui n'était pas gagné d'avance ! Le nouveau Gort ne m'a pas choqué, ni les SFX que je trouve dans une honnête moyenne.
Là où je rejoins sws et taki, c'est sur le personnage du petit garçon qui est catastrophique. Quand on se rappelle la relation très touchante entre Klaatu et le personnage équivalent de 1951, l'écart fait mal tant le gamin est ici tête à claque et agaçant. Et il est aussi vrai que le "jour où la terre s'arrêta" en lui-même est un moment complètement gratuit, servant plus à justifier le titre qu'autre chose... Bref, un projet de remake intéressant, qui pour une fois a tenté de vraiment renouveller le métrage d'origine, mais qui se plante par sa mollesse, son manque de conviction et de personnalité et laisse sur une impression d'indifférence...
Vuà l'ugc des halles dans une salle 6 pleine comme un oeuf en plein milieu d'apres midi un vendredi ! Cela s'explique sans doute par le fait qu'il soit, en fait, le seul blockbuster à sortir durant les fêtes - répercussion de la grève des scénaristes oblige !!
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Re: The Day the earth stood still - Scott Derrickson (2008)
J'ai oublié de préciser que le film contient des placements produits que les producteurs laissent apparaitre de manière moins "honteuse" (i.e: plus évidente) qu'auparavant.
Microsoft, Honda (hybride, bien sûr), LG, le pire étant McDonalds
... c'est en presque indécent. il ne manque plus qu'un générique de pub télé et de commencer les spots de pubs toutes les quinze minutes.
Sinon, le film effectue un démarrage intéressant en France (près de 20 000 entrées sur paris/périphérie le premier jour et à peu près 60 000 sur le territoire français) tout comme aux USA avec plus de 11 m de $ ce vendredi. Reste à savoir ce qu'il en sera du bouche à oreille (à mon sens pas très bon...)
Microsoft, Honda (hybride, bien sûr), LG, le pire étant McDonalds

Sinon, le film effectue un démarrage intéressant en France (près de 20 000 entrées sur paris/périphérie le premier jour et à peu près 60 000 sur le territoire français) tout comme aux USA avec plus de 11 m de $ ce vendredi. Reste à savoir ce qu'il en sera du bouche à oreille (à mon sens pas très bon...)
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Re: The Day the earth stood still - Scott Derrickson (2008)
Le coup de McDonald, "le resto préféré des aliens", est effectivement particulièrement indécent et déplacé dans le cadre d'un long métrage supposé mettre en garde contre la détérioration de notre environnement !! Une ambiguité bien hollywoodienne, coincé entre bonnes intentions moralisantes et commercialisme rampant ! On se fait effectivement le même genre de remarques avec les placements de produits automobiles, complètement à la masse par rapport au sujet du film. Mais il n'y a pourtant pas tant de placement de produits que cela - comparé au dernier James Bond par exemple, où c'est du non stop ; mais ici, ils font vraiment à côté de la plaque !
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Re: The Day the earth stood still - Scott Derrickson (2008)
La Cannon,"Sphère 2",Nu Image...tout ça est bien tentant!
Le film divise la rédaction de Mad Moviez:
http://www.mad-movies.com/mad/dossier-2 ... rreta.html

Le film divise la rédaction de Mad Moviez:
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Re: The Day the earth stood still - Scott Derrickson (2008)
Pendant que la critique US s'avère assez négative, le film démarre correctement avec environ 31 m de $ de recettes le premier week end US. la concurrence étant quasi nulle et le nombre de blockbusters proche de zero, le film s'arroge logiquement les faveurs du public. Il n'a pas vraiment d'autre concurrents directs la semaine prochaine avec l'arrivée de Yes Man et de Tale of Despereaux. il n'y a guère que le 23/12 avec la sortie de Valkyrie (la promesse d'une belle tartine!) et Benjamin Button que la terre devrait s'arreter de tourner...
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Re: The Day the earth stood still - Scott Derrickson (2008)
j'ai eu du mal a reconnaitre Jennifer Connelly , elle est devenue anorexique ? Oû sont passés ses nichons ?
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Re: The Day the earth stood still - Scott Derrickson (2008)
Un bon spectacle honnête et clair qui n'enlève rien au film original bien au contraire cette nouvelle version continue de prôner des valeurs universelles sur la tolérance entres les êtres de quelques natures que ce soit, et que souvent l'ennemi est en soi.
Keanu Reeve y est impeccable s'il n'a pas troquer son costume trois pièces de chez Constantine (ou bien du 1er Matrix) il joue sobrement et intelligemment cette être venu des étoiles pour avertir la race humaine qu'elle court à sa perte.
Si sur la durer celui-ci ne m'a pas autant ébloui qu'un Sunshine, il faut impérativement se déplacer en salle pour voir : cette arriver tétanisent qui appel à une proche fin du monde, le coup du Klatu Verata Nektu... (bon je sais pas si je l'ai bien écris)
De la bonne SF intelligent, loin d'être original mais c'est du solide vous pouvez y aller les yeux fermer, pour le coup c'est plutôt rare ces temps ci.


PS : pour les placements publicitaire c'est en effets, de très mauvais goûts. Par rapport au message qu'il véhicule.
Keanu Reeve y est impeccable s'il n'a pas troquer son costume trois pièces de chez Constantine (ou bien du 1er Matrix) il joue sobrement et intelligemment cette être venu des étoiles pour avertir la race humaine qu'elle court à sa perte.
Si sur la durer celui-ci ne m'a pas autant ébloui qu'un Sunshine, il faut impérativement se déplacer en salle pour voir : cette arriver tétanisent qui appel à une proche fin du monde, le coup du Klatu Verata Nektu... (bon je sais pas si je l'ai bien écris)




De la bonne SF intelligent, loin d'être original mais c'est du solide vous pouvez y aller les yeux fermer, pour le coup c'est plutôt rare ces temps ci.
Le temps de Hot Spot c'est finispeedball a écrit :j'ai eu du mal a reconnaitre Jennifer Connelly , elle est devenue anorexique ? Oû sont passés ses nichons ?


PS : pour les placements publicitaire c'est en effets, de très mauvais goûts. Par rapport au message qu'il véhicule.
Toi t'est un flic..? Non j'uis un con.
Snake Plisken Escape from NY

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Re: The Day the earth stood still - Scott Derrickson (2008)
Merde moi c'est le seul truc dit ici qui m'a donne envie d'aller voir le filmcomte vonkrolock a écrit :pour les placements publicitaire c'est en effets, de très mauvais goûts. Par rapport au message qu'il véhicule.

Nouveau numéro de Torso, revue de cinéma: JOE DANTE !!!
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Re: The Day the earth stood still - Scott Derrickson (2008)
il y a avait un peu la même chose dans le montage 77 de Rencontres du troisème type. Lors de la scène sur la petite colline, l'une des lueurs s'arrêtait devant un billboard avec une pub pour McDo.Manolito a écrit :Le coup de McDonald, "le resto préféré des aliens",
Spielberg a retiré ce plan des autres montages de son film.
Sa place est dans un Blu-Ray !