The Unborn - David S.Goyer (2008)

[Superwonderscope]

Gary Oldman dans la peau d'un rabbin vs une jeune femme qui se fait lentement posséder par un esprit. C'est en Scope.

Avec aussi Carla Gugino, Jane Alexander, James Remar.

Produit par Platinum Dunes, distribué par Rogue aux USA. C'est Universal qui prévoit de distribuer le film le 21 janvier 2009 chez nous.

[comte vonkrolock]

sortie prévu le 11 mars.

[MadXav]

Notons au passage que l'affiche fait penser à tout sauf à un film de possession. Il m'a bien fallu 10 secondes pour voir le gosse tout moche dans le miroir. Envoutant.

[arioch]

C'est bête à dire mais ce qui attire l'oeil sur cette affiche, ce n'est pas le miroir, ni le titre !

Et puis le mec du miroir, qui nous dit qu'il ne s'agit pas du dessinateur de l'affiche qui fait un clin d'oeil aux faux raccords de films ou l'on peut voir les équipes techniques dans un reflet ? Du coup, il se dessine lui même créant une mise en abime, blablablabla...

[MadXav]

Hum. Tu te prends la tête. Je pense juste qu'il savaient pas quoi mettre sur l'affiche et que dans le doute ils se sont dit "Tiens, si on détournait l'attention avec un joli p'tit cul ?". Et je dois dire que c'est assez efficace.
Une photo des acteurs principaux découvrant l'affiche :

[arioch]

Sur la photo, l'acteur et l'actrice porte les mêmes lentilles de contact ou alors ils ont fumé le même truc !

[ZombiGirl]

Notons au passage que l'affiche fait penser à tout sauf à un film de possession. Il m'a bien fallu 10 secondes pour voir le gosse tout moche dans le miroir. Envoutant.

Et moi, c'est seulement maintenant que je le vois Je suis passée devant l'affiche hier, dans le métro, placée sur le mur en haut d'un escalier donc quand on la voit, on ne voit que... "ça" Je me suis carrément arrêtée parce que je me suis demandée à quel film pouvait correspondre ces jolies fesses caressée de tissu blanc et en voyant le titre, j'ai vraiment halluciné. Mais quel rapport, bon sang ??!! C'est comme les meufs à poil pour vendre une voiture. Le distributeur ne doit pas beaucoup y croire pour attirer l'ado en salles de cette façon-là ou alors, le film contient beaucoup de nudité.

[comte vonkrolock]

Notons au passage que l'affiche fait penser à tout sauf à un film de possession. Il m'a bien fallu 10 secondes pour voir le gosse tout moche dans le miroir. Envoutant.

Moi c'est pire... j'ai cru que le gosse était un gros voyeur, rgarder le avec son regard pervers

[Superwonderscope]

Un peu plus de 7 000 entrées sur les cent copies de Unborn en France....

[jigsaw]

Vu hier, et c'est pas mal ...Un peu longuet mais une bonne ambiance, des scenes chocs assez reussies, une ambiance tendue et angoissantes, des jolies jeunes filles ... Dommage que CARLA GUGINO et GARY OLDMAN soient si mal exploites et renvoyes au quasi rang de figurants, surtout GUGINO...UN agreable moment, mais ca aurait fait un excellent DTV....

[ZombiGirl]

Aïe, aïe, aïe, quel désastre Certes, le film contient un début, un milieu et une fin ( ) mais ça ne suffit pas à rattraper la chose. Goyer empile les clichés comme un gosse des cubes de légo, il n'a manifestement pas assez réfléchi au trop-plein d'idées qu'il a voulu incorporer dans le film et qui restent alors à cet état. Odette Machin dont je n'ai AUCUN souvenir de CLOVERFIELD est mauvaise mais mauvaise... C'est à se tortiller d'embarras. Pas étonnant qu'elle mette des p'tites culottes blanches, ça dévie l'attention (sans parler du décolleté-jusqu'au-nombril-en-plein-hiver qui pourrait devenir un Trademark dans ces films pour djeuns - et voilà, encore un film où on fait attention à ce genre de détails à la con). Physiquement trop vieille pour prétendre être lycéenne, elle n'y va pas sans que personne s'en inquiète et passe son temps à faire du jogging. Et son père, habituellement excellent James Remar , est ici réduit à un coup de vent qui disparaît mystérieusement (mais de façon compréhensible au vu du résultat : "Euh, Goyer, je vais prendre l'air 2mns, il fait chaud sur ce plateau" - "Très bien, James, à tout de suite"... "Il est revenu, James ?" - "Ah non, Mr Goyer, pas depuis 2 jours" - "Tant pis, on va dire que le papa est parti en voyage d'affaires". Et manifestement, l'avion s'est écrasé quelque part).

La copine de La Petite Culotte Blanche qui, contrairement aux habitudes, croit aux fantômes est totalement inexistante, Carla Gugino ne sert à rien mais la présence d'Oldman ne m'a pas gênée. Et la vieille s'embrouille avec son faux accent de toute façon raté

Ca se regarde sans trop de déplaisir mais une fois sorti de la salle, ça s'oublie aussi sec Heureusement. Quant aux p'tites culottes blanches, n'est pas Ripley qui veut

[Manolito]

Le personnage principal n'est pas lycéenne, mais étudiante en astro-physique... Tu n'as pas bien suivi le film Marija... Bon évidemment, elle risque d'avoir du mal à décrocher son diplôme, mais c'est une autre histoire...

Un début difficile, avec des personnages tous fades et peu sympathiques, des acteurs très moyen. Un milieu qui finit par trouver ses marques, partir dans des directions d'investigation fantastique relativement intéressante, sur la gémellité, le reflet, l'oeil, la cabale,... Et une fin ridicule, complètement balourde et grotesque, derrière laquelle il est permis de deviner la main bien lourde de Michael Bay producteur (tout comme derrière cette promo cotonneuse insistante !). Un film pour rien... Et c'est dommage, avec plus de rigueur et de sérieux, il y avait quelque chose à en tirer.

Vu dans la salle 2... du Publicis évidemment !

[pazuzu]

Goyer à nouveau derrière la caméra. Après BLADE : TRINITY et son épouvantable remake d'un superbe film suédois (DEN OSYNLIGE), voilà que le bonhomme se fourvoit dans une autre histoire fantastique.

Le sujet se réclame autant de L'EXORCISTE que des effets de peur comme on en trouve dans THE GRUDGE. Et Goyer n'a ni le talent de Friedkin pour instaurer une ambiance, ni celui de Shimizu pour nous faire flipper et sursauter. L'ensemble manque singulièrement de nerf, c'est souvent très ennuyeux car le réalisateur ne fait aucun effort pour mettre un brin d'originalité dans cette histoire archi-classique que l'on a déjà vue et revue. Même l'aspect technique du film ne réserve que très peu de surprises, mis à part peut-être quelques effets de maquillages. Goyer doit avoir un petit problème avec les chiens, ceux-ci ayant la plupart du temps la tête à l'envers. Comme ça, sans raison.... Et cette honteuse référence au film de Friedkin via un vieillard, dans une position de possédé, qui se met à courser notre héroïne en hurlant. C'est grotesque... On aura rarement autant bailler et somnoler à cette histoire aussi horrifique qu'un pépé en couches culottes!

Par contre, on aime se la jouer bien racoleur avec son héroïne, le prototype même de la jeune pétasse bien gaulée et aux lèvres ourlées... Elle qui offre son popotin bien en vue de la caméra, le réalisateur n'hésitant pas à soigner son jeu de lumières pour bien marquer le petit pli parfait sur sa culotte, marquant ainsi la petite fente de son sexe offert aux regards voyeuristes des spectateurs. Il aurait fallu mettre autant de soin à concocter un scénario un rien plus palpitant, car celui-ci n'évite absolument pas les interminables passages obligés : gamin blafard au regard mauvais, petits bruits nocturnes, soudains reflets diaboliques, jump scares incessants, hurlements, la petite copine trop curieuse, le boyfriend attentionné (interprété par le méchant vampire de TWILIGHT! YOuhou!)...

On aurait presque pu espérer supporter cela sans trop ronchonner si il y avait quelque chose à retirer de la participation de Gary Oldman... Mais non, surtout pas!! Celui-ci, dans le rôle du prêtre exorciste, n'est plus que l'ombre de lui-même et se couvre de ridicule!

UNBORN aurait presque pu être amusant s'il ne se prenait pas autant au sérieux. Mais tout ceci est carrément mortellement ennuyeux et les rares crises de fous rires qui secouent le spectateur et le sort parfois un peu de sa torpeur, ne sont que soubresauts de consternation qui sont à ressortir devant ce navrant film d'horreur. Forcément, c'est un film à éviter!

[savoy1]

Fascinant de voir la constance avec laquelle le film écrème tout background et toute psychologie de l’intrigue et de ses personnages. Ceci au profit de l’effet primaire (ceci dit l’atmosphère et les scènes choc sont assez efficaces), et surtout d’un jeunisme de plus en plus prégnant et exaspérant.
Exit donc la famille (cf le « rôle » du père comme le souligne Zombigirl), la vie quotidienne, et toute rencontre qui pourrait apporter un tant soit peu de corps au personnage de l’héroïne. Ne reste que l’incontournable « vieille dame qui connaît un secret », mais bon, les révélations à 2h00 du mat’ à la maison de retraite ça commence à bien faire. Le summum du bâclage étant atteint par le traitement appliqué au groupe d’exorcistes, soit en exagérant à peine 2 minutes de présence à l’écran pour 10 personnages. Quel gâchis …

En clair tout ce qui fait que l’amateur de cinoche d’épouvante peut défendre sa passion, peut continuer à s’y intéresser tout en mûrissant, soit un aspect social ou culturel à revendiquer, est ici laminé en règle. D’autant plus étonnant de la part d’un auteur de comics / scénariste intéressant comme David S. Goyer. A croire que celui-ci, dès qu’il tient les rênes de la réalisation, en oublie toute subtilité, trop content qu’il est de faire joujou avec sa caméra.

[Superfly]

Faut quand même noter que l'héroïne porte magnifiquement la culotte petit bateau et que l'affiche n'est pas truquée Pour le reste ... bof bof bof ... déjà vu, déjà oublié ...