Snuff - 1976 - Michael et Roberta Findlay

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eric draven
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Snuff - 1976 - Michael et Roberta Findlay

Message par eric draven »

Après ces quelques jours d'accalmie dans le ciel dravenien, une oeuvre comme je les adore! :-D

Snuff: Et si on mourait pour de vrai??

Snuff est probablement le film qui dans les années 70 fit le plus couler d'encre et devint tristement célèbre, se trainant une bien sulfureuse réputation qui allait engendrer toute une vague de scandale notamment aux USA puis à travers le monde.

En fait, Snuff est du pur cinéma d'exploitation dans ce qu'il a de plus abject, par conséquent de plus interessant pour les amateurs comme nous. 8) 8)
La réalisatrice et son mari s'inspirèrent du massacre de Manson et de l'assassinat de Sharon Tate pour ce qui allait devenir au fil du temps un cult-movies dans les milieux underground.

L'histoire n'a que peu d'importance, elle n'a même aucun réel sens et on s'en moque, le but profond du film étant d'exploiter jusqu'au bout cette tragedie dans ce qu'elle a de plus dramatique en usant et abusant de ce qui fait la base même de ce type de cinéma: le sexe et la violence.
Afin d'entretenir une aura de mystère, les Findlay tournèrent le film en Argentine, pays où alors tout était possible mais surtout pays où naissait alors une rumeur, celle de ces fameuses oeuvres snuff, autrement dit, ces films-verité underground où la mort ne serait jamais feinte.

On suit donc les pérénigrations de quatre veritables garces, dans toute leur splendeur hippie, dont une nommée The greedy bitch :@ . Elles parcourent le pays en chevauchant leur moto, tout cheveux au vent, et sont sous la domination d'une sorte de cruel gourou qui se fait apeller Satan. Il prone sa propre vision de la liberté dont la liberté sexuelle ce qui signifie la totale soumission à ses désirs et l'obeissance absolue.
Parallèlement, on assiste aux amours d'une jeune actrice ambitieuse éprise d'un jeune heritier richissime qui autrefois sortait avec une des quatre bouillantes et héroinées harpies.
Les deux parties du scénario se rejoignent en fin de film lors du massacre de la famille de l'heritier.

Sur papier, cela peut paraître interessant. Il en va differemment à l'écran. Snuff est en fait l'exemple parfait de ces Hippie-movies 70s, sorte de grindhouse noyé dans une constante musique rock woodstockienne, un trip qui se voudrait sous acides mais est au final totalement inoffensif.
Déçu sera celui qui s'attendait à un déluge de sang et sexe puisqu'il ne se passe rien durant quasiment 80 minutes.

Par delà l'ennui qu'il peut générer, Snuff n'est pourtant pas si désagréable encore moins ininteressant. Tout l'interet du film se situe en fait ailleurs.

D'une part, c'est cette étrange atmosphère qui s'en dégage venant essentiellement de son coté amateur et maladroit, cet indicible malaise qui en découle, cette envie d'exploiter avec quelques misérables dollars un triste fait divers et en ce sens les quelques scenes un rien trash ont ce pouvoir de fascination propre à ce type de cinéma même si ici elles sont assez maladroites elles aussi.

Ainsi, outre l'aspect ordurier des dialogues ( on ne compte plus les putes, salopes, femelles et autres joyeusetés), on dénombre quelques séquences interessantes comme la torture d'une des garces, l'interieur des orteils tranché au couteau, les soumissions sexuelles de Satan et conséquence directe, le viol d'une de ses putains ( Putain! Soumet toi comme une femelle doit se soumettre lui ordonne t'il l'obligeant a le sucer a quatre pattes, croupe offerte :@ 8) ), devant se soumettre à ses désirs, donc se laisser prendre comme un animal, tandis que ses compagnes excitées, la haine aux lèvres mais le désir au ventre, commencent à se toucher formant un étrange kaleidoscope.

Plus étonnant sera pourtant ce contraste entre ces amorces de séquences trash et le coté très soft de l'ensemble. En effet, tout est plus ou moins avorté ou suggéré, on reste décent dans un climat qui se veut obscène, on reste sage dans une ambiance qui tend gentillement pourtant vers le sordide, générant donc une certaine frustration mais aussi cette tout aussi gentille fascination.

Toujours aussi contradictoire, très peu de nudité ici, si ce n'est quelques paires de seins blanc neige nus sur corps bronzés :mrgreen: :mrgreen: , et si par malheur se perd une petite culotte, la caméra sait cacher ce qui doit etre caché! :(
Il en va de même pour les plans de prises de substances illicites, on suggère plus qu'on ne montre. :(

C'est surtout l'aspect psychedelique des séquences, leur coté trip hallucinogène et cette indicible brise de violence latente fortement amateur qui donne au film son interet et cette force d'attraction auprès du spectateur se gorgeant de malsain. 8)

Mais ce qui restera de Snuff c'est son hallucinant final, la fameuse séquence dite snuff que rajouta le producteur, Allan Shackleton, ex prod de porno douteux.
Une rumeur courait alors comme quoi il existerait ces fameux snuff movies qui circuleraient dans les milieux underground.
Shackleton, qui jusque là n'avait jamais réussi à trouver la gloire ni à produire un film à succés, vit là le moyen d'accéder à la renomée et utilisa la rumeur à des fins bassement commerciales.
Il baptisa definitivement le film Snuff et tourna cette ultime scène dans sa villa. Snuff devint un film dans un film. Lors du massacre final tourné par les Finlay, l'image s'arrete soudain et on découvre une équipe technique dans ce salon tant bien que mal transformé afin d'assurer une continuité avec la séquence des époux.
Le pseudo-réalisateur devient hystèrique et se met à découper a la scie circulaire son actrice devant la caméra tout en hurlant: Filmez! Filmez avant de l'eventrer et de lui sortir les entrailles. Pas de generique, pas de mot FIN, tout s'arrête là!

Ce ridicule final greffé portera pourtant ses fruits. Shackleton le vendra comme un véritable snuff movies, terme qui sera dés lors plus d'actualité que jamais, entretenant sa réputation et son mystère. L'affaire tombe non seulement au sein de la police et du FBI mais Snuff voit toutes les ligues feministes se soulever contre une telle aberration. Il faudra plusieurs années pour que le film soit reconnu comme «  a real scrap / une vraie merde » dixit le Times square, Shackleton continuant pour sa part d'entretenir le suspens bien ridicule en déclarant: si c'est un vrai meurtre, je serais fou de l'admettre, si ce n'est pas un vrai meurtre, je serais fou de l'admettre! » :mrgreen:
Ainsi il eut son heure de gloire et trouva ce qui lui faisait tant défaut: l'argent et la renommée.. Tous les moyens sont bons. Eric rit! :lol: :lol:

Hormis donc ce final grotesque, Snuff n'est qu'un simple hippie-movie, un drug-movie approximatif trés ancré 70s particulièrement bavard noyé dans une bande-son woodstockienne très sympathique et d'où herbes, seringues et poudre ne sont jamais vraiment absents.

L'interprétation est des plus quelconque, la plupart du casting étant argentin. On y admirera les corps d'ephèbes, splendides, du sublimissime Clao Villanueva 8)) 8)) dont on attend qu'une chose qui ne se produira jamais, qu'il tombe son petit pantalon de toile :( , le tout bad boy Enrique Laratelli dans le rôle de Satan dont on aimerait être à l'instar de ses catins, son docile animal :@ .
Les autres s'épancheront sur les hippies girls tout en franges et bandeaux, biker-girls mini-jupées et catins patchouli à savoir la Caro, la Amuschastegui, la Fernandez Bianco et la réalisatrice elle même la Finlay.
Très amusant aujourd'hui, on peut se demander comment alors on put se laisser prendre au jeu tant ce final est grotesque.

Une curiosité psychè rince l'oeil qui fit la joie d'Eric! :-D

Le corbeau gourou jamais docile, grand maitre de la secte de l'exploitation! :-D
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.

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steph horror fan
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Re: Snuff - 1976 - M. et R. Findlay

Message par steph horror fan »

"On a dit de ce film qu’aucun producteur n’aurait pu le produire, qu’aucun distributeur le distribuer et aucun public le regarder… Aucune violence pareille n’avait jamais été filmée auparavant et avant d’être interdit définitivement aux USA, certains projectionnistes de cinéma ont fuit leur cabine… Filmé en Amérique du Sud et à New York, la légende qui accompagne ce long métrage laisse planer un doute : des hommes sont réellement morts pendant le tournage ! Mais, après tout, est-ce possible ??!!"
"Le film que vous n’oserez JAMAIS voir jusqu’au bout !"
"Un dernier quart d’heure à vous couper le souffle !"
"The film they said could NEVER be shown…"
"The film that could only be made in South America…where life is cheap!"

Si ça ce n’est pas de l’accroche publicitaire !! Voici donc le film de tous les excès, dont le célèbre "le film que vous n’oserez jamais voir jusqu’au bout" a alimenté mes fantasmes d’adolescents accros aux films d’horreurs. Que pouvait donc bien montrer ce film qui soit si horrible que même un rédacteur de la défunte revue "Vidéo 7" avait dit de son collègue, qui l’avait visionné, qu’il ne s’en était pas remis !!??

le film a été réalisé en 1970 par Michael Findlay, avec l’aide d’un co-réalisateur argentin, Horacio Fredricksson. Le tournage s’est déroulé à Buenos Aires et dans ses environs. Le titre prévu pour l’Argentine était "El angel de la Muerte" et pour les USA : "The Slaughter". Un certain Carter Stevens, voyant une opportunité avec ce film, rajouta une séquence de meurtre à la fin du métrage en jouant sur son caractère "réel". Le film sortit alors en 1976 sous l’anonymat le plus total concernant les crédits sous le titre "Snuff". La controverse concernant cette fameuse séquence finale prit une ampleur soudaine et de nombreuses plaintes ont suivi contre le film, qui fut alors interdit dans de nombreux pays. On peut dire que la légende des "snuff movies" est née avec ce film de Michael Findlay.

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Petit budget donc pour ce film, qui n’est pas vraiment fameux. Acteurs de seconds plans, interprétations de faible qualité, érotisme soft et quelques meurtres qui ne feront pas faire de cauchemars à vos enfants. Les films des Findlay ont souvent cette réputation d’être de mauvais films, ce n’est pas "Snuff" qui viendra démentir cette rumeur, la version française de la VHS éditée par VIP n’aidant pas à relever le niveau. Le gourou de la secte fait une interprétation assez théâtrale, qui en devient vite ridicule. Le principal attrait vient du gang dévoué au gourou. Composé de jolies jeunes filles, qui ne reculent devant aucune exaction, que ce soit le meurtre, la torture ou le sexe, ce sont elles qui pimentent le film et lui donnent du relief. On notera la beauté de deux actrices en particulier : Margarita Amuchastegui, qui joue le rôle d’Anjelica et qui a des yeux à tomber ; Mirtha Massa, qui joue le rôle de Terry London. Un côté charme pas désagréable du tout. Le film nous fait donc suivre les journées de ces demoiselles, accros à la drogue, dangereuses, véritables meurtrières en puissance, tout en se focalisant également sur l’arrivée de Terry London, actrice venue tourner dans un film érotique et qui retrouve son ancien amant, Horst, fils de milliardaire. Les scènes s’enchaînent sans grande passion, nous entraînant dans un ennui qui ne s’estompe pas au fur et à mesure de la progression. Les meurtres qui vont avoir lieu dans la villa relancent l’intérêt et nous arrachent de notre torpeur, même s’ils s’avèrent assez légers en termes de violence. Mais le gang féminin donne de l’énergie à l’ensemble et cela se ressent. Une équipée sauvage à la manière du gang féminin du célèbre "Faster pussycat, kill, kill" en quelque sorte. Mais on est quand même loin du niveau de qualité du film précité !

Vient donc cette fameuse séquence ajoutée, source de scandale. L’idée en soi n’est pas mauvaise, puisqu’on se retrouve, pendant une scène de meurtre avec deux filles du gang, avec la soit-disant équipe technique du film, qui était donc en train de filmer la scène. Bon, pour rajouter à la crédibilité, il aurait fallu habiller l’actrice censée être le personnage du film, avec les mêmes vêtements. Passons ce détail…

Snuff", malgré sa réputation sulfureuse, n’est au final qu’un film de qualité plus que moyenne, qui se regarde aussi vite qu’il s’oublie. Beaucoup de tapage pour pas grand chose en fait. Reste de jolies actrices, un scénario plutôt glauque compte tenu des faits s’étant déroulés en 1969, quelques scènes intéressantes avec le gang féminin. C’est peu...

:wink:
Tubbytoast
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Re: Snuff - 1976 - M. et R. Findlay

Message par Tubbytoast »

Pourquoi Simon Nuchtern est-il souvent crédité à la réalisation du dernier 1/4h en lieu et place de Carter Stevens ?
steph horror fan
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Re: Snuff - 1976 - M. et R. Findlay

Message par steph horror fan »

perso, comme c'est pas très clair tout ça, j'avais demandé à l'époque où j'ai rédigé ma chronique sur horreur.com à Jean-Claude Michel (alias Fantômas ici) s'il en savait un peu plus sur cette histoire de tournage et cette scène ajouté et c'est donc lui qui m'a fourni ces explications et ce nom de Carter Stevens. Connaissant la culture de Fantô, on peut lui accorder crédit.

Peut être que Simon Nuchtern a des pseudos ?
eric draven
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Re: Snuff - 1976 - M. et R. Findlay

Message par eric draven »

Steph a bien dégrossi l'ensemble, ajoutons y quelques informations croustillantes:

Le film sortit en 1976 aux USA alors que des rumeurs concernant des soi disant snuff films ( film où la mort n'est pas feinte) circulaient.

Sorti avec les slogans cités par Steph, Snuff fut immediatement classé X, chose qui alors etaient reservés aux films porno.
Mais Snuff réussit à circuler dans quelques salles où rapidement une vague de protestations se leva de la part de nombreuses ligues, l'une d'elles arborant le slogan: Murder is not amusing. :mrgreen:

Les origines de Snuff remontent a 1971. Il faut aller fouiller du coté d'une micro maison d'edition nommée Monarch specialisée dans le X et à sa tête un petit producteur, Allan Shackleton, qui jusque là n'avait jamais réussi a faire fortune.

Spêcialisé dans les sex-comedies, Shackleton se tourna vers l'exploitation dés 1971, pret a tout pour se faire un nom.

Les époux Findlay étaient quant à eux specialisés dans les grindhouse et autres hippie-movies déjà geniteurs de petites oeuvres de sexploitation comme satan's bed, Slaughter, Body of a female, The touch of her flesh ou Shriek of the mutilators.

C'est surtout avec Slaughter qu'ils se firent remarquer en 1971, film exploitant le filon de la mort de la Tate et de la famille Manson, sujet fort à la mode alors dans le cinéma d'exploitation.

Trés à la mode étaient aussi les hippies movies, les drugs movies et les community movies ( ah quelle époque bénie! 8) ). Ce sont les Findlays qui avec Slaughter furent les 1ers à explorer le filon de l'hysterie hippie et le culte qui l'entourait.

Roberta Findlay reconnaissait alors que Slaughter était un trés mauvais film, les époux ayant bien eu du mal a le terminer.

C'est alors qu'arrive Shackleton qui avait flairé le bon coup avec ce type de productions. Il reprend donc l'histoire de Slaughter, en retire tous les credits et transforme le titre en Snuff afin d'y adjoindre cette ombre sordide de verité. Afin d'eviter toute confusion avec leur Slaughter à eux, les Findlays vendirent le titre a la Paramount.
Shackleton avait désormais la voie libre pour son bas bizness.

Le petit producteur s'appretait a frapper un grand coup, lancant le plus gros coup commercial d'alors, Snuff: le film ou on meurt pour de vrai!

Snuff, sous la direction des Findlays, reprend donc la trame de Slaughter et Shackleton y greffa cette fin ridicule tournée en un week end.
Pour repondre a la question de Tubby, Carter Stevens, un Porn productor connut sous de multiples pseudos( Steven Mitchell, Wal Morob..) engagé par Shackleton, tourna en effet cette séquence dans son propre salon sous la direction de Shackleton lui même. Il se souvient combien il purent rire jusqu'aux larmes durant ce WE... confiait un de ses amis proches lors d'une interview en 93.

Le reste on connait: Classé X pour violence et hard pornographie, interdit, soulevant protestations et toutes les ligues feministes en revolte, Snuff atteint son but et Shackleton triompha, atteignant ce qu'il voulait: la gloire bassement acquise... et la seule chose dont on se souviendra de lui également.
Eric adore! 8) 8)

Pour découvrir Snuff, la VHS francaise bien sur mais aussi un Z1 americain. 8) Que demande le petit vicieux pervers que nous sommes! :@

Michael Findlay trouva la mort en 77 dans un accident d'helicoptère, alors divorcé d'avec Roberta.
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bluesoul
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Re: Snuff - 1976 - M. et R. Findlay

Message par bluesoul »

Puree, je me rappelle avoir vu la couverture de la K7 VIP dans mon videoclub dans les 80s.

Jamais louee l'objet par contre. Fou ce qu'on pouvait trouver dans son propre quartier. :mrgreen:

:) Marcel, t'as quoi de neuf comme K7 cette semaine?
:twisted: Un truc argentin. On y meurt pour de vrai!
:-D Cool. Je prends, et mets-moi aussi tes 2 Face a la mort en prime (aussi vu dans mon club)
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.
igorfx
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Re: Snuff - 1976 - M. et R. Findlay

Message par igorfx »

Je me rapproche des avis émis concernant la piètre qualité de ce film, avec une fin même pas crédible...mais la légende de certains films n'étant pas toujours basée sur leur qualité....
eric draven
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Re: Snuff - 1976 - M. et R. Findlay

Message par eric draven »

Ce devait etre cette tres belle jaquette je pense monsieur Bluesoul.. :-D

Et une petite précision que j'oubliais: le film existe egalement sous un autre titre qui est en fait son titre de ressortie en Allemagne: American cannibale

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jigsaw
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Re: Snuff - 1976 - M. et R. Findlay

Message par jigsaw »

La fameuse VIP... Il n'ya eu je pense qu'une seule edition...pour un film tres court et pas terrible il est vrai, tout comme I DRINK YOUR BLLOD, chez Delta... :?
http://www.videohistory.ifrance.com
Le site des barjots de la video et de la k7 en folie !!!!
drummonde
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Re: Snuff - 1976 - M. et R. Findlay

Message par drummonde »

jigsaw a écrit :La fameuse VIP... Il n'ya eu je pense qu'une seule edition...pour un film tres court et pas terrible il est vrai, tout comme I DRINK YOUR BLLOD, chez Delta... :?

Comment comparer un chef d'oeuvre comme I DRINK YOUR BLOOD et un navet comme SNUFF ? :shock:
Ceci est un P.38, le flingue le moins puissant du monde. Si je te touche avec, c'est même pas dit que je te fasse un troisième téton.
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steph horror fan
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Re: Snuff - 1976 - M. et R. Findlay

Message par steph horror fan »

Comment comparer un chef d'oeuvre comme I DRINK YOUR BLOOD et un navet comme SNUFF
+1000 :shock:

Snuff, c'est chiant, il se passe pas grand chose et on ne rigole même pas. Seules les jolies filles valent le coup !

Tout le contraire de I Drink your Blood en somme !
Romain
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Re: Snuff - 1976 - M. et R. Findlay

Message par Romain »

L'accroche ne mentait pas... J'avais loué le film à la fin des années 80 avec mon pere et on avait été incapable de la regarder jusqu'au bout. C'etait si nul... :D
Visitez le site www.jaws-3d.com !
Superwonderscope
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Re: Snuff - 1976 - M. et R. Findlay

Message par Superwonderscope »

Bientôt en HD et Blu ray chez Blue underground, mais surtout en avant-première sur le site:

http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=8409
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Heinrich
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Re: Snuff - 1976 - M. et R. Findlay

Message par Heinrich »

Finito les sous titres français! :? ils ont eu des problèmes ou quoi ?
igorfx
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Re: Snuff - 1976 - M. et R. Findlay

Message par igorfx »

Je vois que Blue Underground veut sortir en HD les chefs d'oeuvre du patrimoine cinématographique américain... ça promet ! :D
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