Banlieue 13 Ultimatum de Patrick Alessandrin (2009)
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Banlieue 13 Ultimatum de Patrick Alessandrin (2009)
Vous l'attendiez, voici la BA : http://www.dvdrama.com/news-30765--b13- ... ousin-.php
Re: Banlieue 13 Ultimatum de Patrick Alessandrin (2009)
Heu ... je sais pas si on l'attendait en faite
Mais bon, un miracle est toujours possible qui sait !
Par contre ils ont pompé Vendredi 13 pour la BA

Mais bon, un miracle est toujours possible qui sait !
Par contre ils ont pompé Vendredi 13 pour la BA
"C’est du pop-corn ! Pourquoi du pop-corn ??"
"Parce que ce sont des clowns, voilà pourquoi !"
http://www.youtube.com/channel/UCifcA_2m4MaPJuhZFi4YH1w

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Re: Banlieue 13 Ultimatum de Patrick Alessandrin (2009)
T'imagines pas à quel point j'en bave d'impatience, le miracle serait que ça soit encore mieux que le premier en fait 

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Re: Banlieue 13 Ultimatum de Patrick Alessandrin (2009)
Une des rares productions Besson que j'ai vu avec un réel plaisir du sous-New York à la sauce hexagonale.
Pour la suite je dis banco
Pour la suite je dis banco

Toi t'est un flic..? Non j'uis un con.
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Re: Banlieue 13 Ultimatum de Patrick Alessandrin (2009)
Le réalisateur de "15 aout" et de "Mauvais esprit" + Philippe Torreton 

Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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Re: Banlieue 13 Ultimatum de Patrick Alessandrin (2009)
Si Torreton arrive à surpasser la prestation de Caubere dans Truands, alors la c'est jackpot!
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Re: Banlieue 13 Ultimatum de Patrick Alessandrin (2009)
Eh oh, "15 aout" c'est tres bien !Superwonderscope a écrit :Le réalisateur de "15 aout" et de "Mauvais esprit" + Philippe Torreton
Bon, c'est vrai que ca fait un sacre saut du coq a l'ane avec Banlieue 13...

What the fuck did I do ?
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Re: Banlieue 13 Ultimatum de Patrick Alessandrin (2009)
Whâ des yamakasis tatoués des filles avec des nattes de la mort, un scénario conçu comme un jeu vidéo... euh pardon conçu pour devenir un jeu vidéo si le C.A previsionnel est conforme au plan des actionnaires et si l'apport de la BNP et de la Général des Eaux dans le process product est supérieur à la charge salariale pour la production du prochain prototype des usines Europa Corp. Je sais pas ce qui me prend dès que je vois un bâtonnet à la sciure je me à parler comme un directeur marketing. Sacré Besson grâce à lui tous les mômes de la banlieue 13 ou pas vont avoir envie de faire des films pour pouvoir accéder au premier marché et discuter business avec la City Bank. Besson ou la poésie du 7ème art concentré en un seule mot : CAC 40 ce type est décidément le maître du haïku question synthèse créative.
La question reste pourtant entière Tao la chinoise au nom si évocateur de l'esprit mystérieux de l'asie mystérieuse fera t-elle pipi oui ou non ?
La question reste pourtant entière Tao la chinoise au nom si évocateur de l'esprit mystérieux de l'asie mystérieuse fera t-elle pipi oui ou non ?
Se faire traiter de con par des imbéciles est un plaisir de gourmet.
"Les anglais sont timides, charmants et monotones. Un peu comme du veau de choix dans une assiette à fleurs."
Alexandre Vialatte
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Re: Banlieue 13 Ultimatum de Patrick Alessandrin (2009)
et surtout aura elle les cheveux rouges ?




"Regarde moi avec ma cocaïne !!!" Robert Zdar in "Heat Street"
Re: Banlieue 13 Ultimatum de Patrick Alessandrin (2009)
Pour cette suite, Besson met un peu plus de moyens sur la table.
Plus de moyens techniques et financiers avec un film (tourné en partie à Belgrade), qui fait quand même moins cheap que le premier, quelques vrais acteurs professionnels pour faire bonne mesure (Toreton, Daniel Duval) au milieu des cascadeurs et autres rappeurs jouant faux comme pas possible. Plus de moyens scénaristiques aussi avec une histoire un peu plus élaborée que le premier. Besson semble conscient que ça devient un peu difficile à suivre, alors il explique tout à peu près 5 fois : hallucinante scène du soupirail où on nous récapitule tout ce qui s'est passé dans le film jusque là au cas où on se serait perdu ! Côté cascade, c'est Cyril Raffaelli qui a le droit aux meilleures scènes, avec en particulier le restaurant chinois (redite luxueuse de la supérette dans le premier) ou la bagarre qui fait mal dans le couloir de la préfecture de police. Mais l'action est quand même moins resserrée que dans le premier. Un peu trop intello, cette suite, en fait...
A part ça, on a quand même le droit à une accumulation d'invraisemblances ridiculissimes (les gens des services secrets qui se baladent dans des voitures immatriculées au nom de leur service : super discret !
; ou le serveur informatique top secret des mêmes services qu'on trouve en tirant sur un fil électrique !).
Mais à part le spectacle assez dynamique et marrant, on a aussi un film d'une démagogie épouvantable, truffé de clichés racistes hallucinants : noir = fumeurs de pétards à dreadlocks et totems africains ; arabes = barbus aux yeux fous et marchands de tapis ; asiatiques = triades et pirates informatiques, etc...
Quant au fond de l'histoire, n'en parlons même pas :
SPOILERS
Les chefs de gangs cassent tout pour qu'on ne fasse pas péter leurs cités (de merde, eux-mêmes le reconnaissent), mais sont finalement d'accord pour qu'on le fasse si c'est pour reconstruire "avec des espaces verts"
Franche hilarité dans la salle où je l'ai vu ! Bon, ce n'était pas dans une salle de banlieue profonde, mais au MK2 Bibliothèque devant un public largement déphasé par rapport au film, il faut bien le dire ! 
Plus de moyens techniques et financiers avec un film (tourné en partie à Belgrade), qui fait quand même moins cheap que le premier, quelques vrais acteurs professionnels pour faire bonne mesure (Toreton, Daniel Duval) au milieu des cascadeurs et autres rappeurs jouant faux comme pas possible. Plus de moyens scénaristiques aussi avec une histoire un peu plus élaborée que le premier. Besson semble conscient que ça devient un peu difficile à suivre, alors il explique tout à peu près 5 fois : hallucinante scène du soupirail où on nous récapitule tout ce qui s'est passé dans le film jusque là au cas où on se serait perdu ! Côté cascade, c'est Cyril Raffaelli qui a le droit aux meilleures scènes, avec en particulier le restaurant chinois (redite luxueuse de la supérette dans le premier) ou la bagarre qui fait mal dans le couloir de la préfecture de police. Mais l'action est quand même moins resserrée que dans le premier. Un peu trop intello, cette suite, en fait...
A part ça, on a quand même le droit à une accumulation d'invraisemblances ridiculissimes (les gens des services secrets qui se baladent dans des voitures immatriculées au nom de leur service : super discret !

Mais à part le spectacle assez dynamique et marrant, on a aussi un film d'une démagogie épouvantable, truffé de clichés racistes hallucinants : noir = fumeurs de pétards à dreadlocks et totems africains ; arabes = barbus aux yeux fous et marchands de tapis ; asiatiques = triades et pirates informatiques, etc...
Quant au fond de l'histoire, n'en parlons même pas :
SPOILERS
Les chefs de gangs cassent tout pour qu'on ne fasse pas péter leurs cités (de merde, eux-mêmes le reconnaissent), mais sont finalement d'accord pour qu'on le fasse si c'est pour reconstruire "avec des espaces verts"





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Re: Banlieue 13 Ultimatum de Patrick Alessandrin (2009)
D'accord avec Manolito sur pas mal de points... même tous. C'est quand même largement en dessous du premier car quand même trop sérieux
Les bastons sont moches et on ne voit rien tellement c'est filmé de près, on se fait régulièrement chier avec des dialogues à pleurer de rire tellement ils sont au niveau 0 et parfois ne veulent rien dire. Il manque la folie de Bibi Naceri et le cul de Dany Verissimo.
Et comme le dit si bien Manolito, la fin est juste hallucinante ! Dire qu'Ugc ne voulait pas de ce film ! Mais en fait il devrait être diffusé partout vu cette fin...

Et comme le dit si bien Manolito, la fin est juste hallucinante ! Dire qu'Ugc ne voulait pas de ce film ! Mais en fait il devrait être diffusé partout vu cette fin...
Re: Banlieue 13 Ultimatum de Patrick Alessandrin (2009)
Peut être que le critère d'UGC, c'est surtout qu'ils pensent que c'est mauvais, tout simplement ?Superfly a écrit :Dire qu'Ugc ne voulait pas de ce film ! Mais en fait il devrait être diffusé partout vu cette fin...

"Fuck The World", Rambo
Re: Banlieue 13 Ultimatum de Patrick Alessandrin (2009)
Voilà que j'apprécie une production française estampillée "Luc Besson". Comme quoi à l'impossible nul n'est tenu!
Gros film d'action sur fond de hip-hop, cette suite à BANLIEUE 13 (que je n'ai pas vu!) est un gros divertissement très bien calibré. Au scénario simple et stéréotypé mais très efficace qui, pour une fois, n'est pas perturbé par un humour débile aux punchlines incessantes ou encore avec un esprit très yo qui m'aurait très vite gavé! Mais non, le film de Patrick Alessandrin est bien dosé, toujours agréable à voir, amusant et avec de la dynamite en matière de grand spectacle. Car l'ensemble est bien gorgé de séquences d'actions parfaitement bien équillibrées, entre grosses cascades et performances physiques souvent hallucinantes. Le film se maintient à un rythme soutenu de tout son long, bien supporté par deux acteurs assez charismatiques. On retiendra aussi quelques personnages secondaires bien secoués, comme cette jeune fille toute tatouée à la longue queue de cheval bardée de lames de couteaux.
Un film bien burné, soutenu par des basses musicales ultra-punchy qui donne le ton. Ca te file une de ces patates... Cela nous ferait presque oublier les quelques "scories" qui ponctuent le métrage, comme cette fin très "bessonienne" où l'on parle "d'honneur d'homme" et du sens de la "famille". Au final, rien de bien saoûlant car très vite expédié... Juste pour nous rappeler que l'on baigne quand même dans l'univers du Gros Luc! Mais, pour cette fois-ci, on s'y sent bien, c'est même un film plutôt chouette à regarder... Une très bonne surprise!

Gros film d'action sur fond de hip-hop, cette suite à BANLIEUE 13 (que je n'ai pas vu!) est un gros divertissement très bien calibré. Au scénario simple et stéréotypé mais très efficace qui, pour une fois, n'est pas perturbé par un humour débile aux punchlines incessantes ou encore avec un esprit très yo qui m'aurait très vite gavé! Mais non, le film de Patrick Alessandrin est bien dosé, toujours agréable à voir, amusant et avec de la dynamite en matière de grand spectacle. Car l'ensemble est bien gorgé de séquences d'actions parfaitement bien équillibrées, entre grosses cascades et performances physiques souvent hallucinantes. Le film se maintient à un rythme soutenu de tout son long, bien supporté par deux acteurs assez charismatiques. On retiendra aussi quelques personnages secondaires bien secoués, comme cette jeune fille toute tatouée à la longue queue de cheval bardée de lames de couteaux.
Un film bien burné, soutenu par des basses musicales ultra-punchy qui donne le ton. Ca te file une de ces patates... Cela nous ferait presque oublier les quelques "scories" qui ponctuent le métrage, comme cette fin très "bessonienne" où l'on parle "d'honneur d'homme" et du sens de la "famille". Au final, rien de bien saoûlant car très vite expédié... Juste pour nous rappeler que l'on baigne quand même dans l'univers du Gros Luc! Mais, pour cette fois-ci, on s'y sent bien, c'est même un film plutôt chouette à regarder... Une très bonne surprise!
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Re: Banlieue 13 Ultimatum de Patrick Alessandrin (2009)
mon petit plaisir coupable
acheté en BR puisque loupé au cinéma
même recette, mais tao ne fait pas pipi
toujours bête, pas forcément bien interprété mais Cyril Rafaelli est vraiment au top
léger regret pour la parcours de Dabid Belle moins impressionnant
acheté en BR puisque loupé au cinéma
même recette, mais tao ne fait pas pipi

toujours bête, pas forcément bien interprété mais Cyril Rafaelli est vraiment au top
léger regret pour la parcours de Dabid Belle moins impressionnant
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Re: Banlieue 13 Ultimatum de Patrick Alessandrin (2009)
Je sais pas pourquoi, je m'étais persuadé que celui-ci serait meilleur que le premier. On commence par une petite visite des quartier. La caméra réalise des traveling en accéléré pour tenter de masquer l'aspect numérique hideux des images qu'on nous montre, avant de se stopper net sur quelques sacs poubelles, des individus armés ou les clichés précédemment cités par Manolito. Après ces premières images assez laborieuses revient la présentation des deux protagonistes. Le jeune banlieusard sautillant tout d'abord, puis le flic. Et là, j'ai personnellement halluciné : De qui se moque t'on ? Je veux dire la pub pour la voiture, avec l'autostoppeur déguisé en bombasse, c'était drôle. Mais là, au sein d'un film, l'accumulation de plan improbables, ça m'a juste terrifié.
Heureusement, on ressombre vite dans de la connerie moins "folle", plus mesurées. On retrouve bien évidemment les clichés Bessonniens débiles mais il faudrait aujourd'hui être stupide pour croire que l'on peut s'en passer...
Reste qu'entre B13 et B13U, il s'est passé qqe chose. Des films comme Die Hard 4 par exemple, dans lequel Cyril Raffaelli bougeait incroyablement vite. Toujours efficace ici, le bonhomme semble cependant moins rapide, moins impressionnant. Il en ira de même pour David Belle qui semble même un peu "empâté". Alors oui, on bouge bien mais ça n'offre absolument rien de plus que ce qu'on peut voir ailleurs. Et pire, l'extrême bêtise des dialogues, et surtout des flashback explicatifs, ne font qu'amener ce métrage sur la piste de ses tristes prédécesseurs... A savoir de ces films fait par des débiles, pour des spectateurs qu'on croit débile (non, électrocuter quelqu'un qu'on touche ne fait pas mal, car l'électricité sait reconnaitre sa cible et ne pas en déborder !). Malheureux, tout comme ce final, absolument tétanisant...
Un retiendra tout de même une ou deux poursuites, quelques combats (rendu has-been avec 30 ans d'avance par le cinéma hongkongais mais bon), la spectaculaire escapade en voiture et bien évidemment Tao, fringuée comme une pièce de charcuterie mais mignonne quand même !
Bilan franchement maigre donc, à l'issue de ce visionnage du Blu-Ray, techniquement bien plus convaincant que celui du premier film.
Heureusement, on ressombre vite dans de la connerie moins "folle", plus mesurées. On retrouve bien évidemment les clichés Bessonniens débiles mais il faudrait aujourd'hui être stupide pour croire que l'on peut s'en passer...
Reste qu'entre B13 et B13U, il s'est passé qqe chose. Des films comme Die Hard 4 par exemple, dans lequel Cyril Raffaelli bougeait incroyablement vite. Toujours efficace ici, le bonhomme semble cependant moins rapide, moins impressionnant. Il en ira de même pour David Belle qui semble même un peu "empâté". Alors oui, on bouge bien mais ça n'offre absolument rien de plus que ce qu'on peut voir ailleurs. Et pire, l'extrême bêtise des dialogues, et surtout des flashback explicatifs, ne font qu'amener ce métrage sur la piste de ses tristes prédécesseurs... A savoir de ces films fait par des débiles, pour des spectateurs qu'on croit débile (non, électrocuter quelqu'un qu'on touche ne fait pas mal, car l'électricité sait reconnaitre sa cible et ne pas en déborder !). Malheureux, tout comme ce final, absolument tétanisant...
Un retiendra tout de même une ou deux poursuites, quelques combats (rendu has-been avec 30 ans d'avance par le cinéma hongkongais mais bon), la spectaculaire escapade en voiture et bien évidemment Tao, fringuée comme une pièce de charcuterie mais mignonne quand même !

Bilan franchement maigre donc, à l'issue de ce visionnage du Blu-Ray, techniquement bien plus convaincant que celui du premier film.