Top à ... Thomas Carter

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Superwonderscope
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Top à ... Thomas Carter

Message par Superwonderscope »

Réalisateur américain sorti de la télé (entre Hill Street Blues, St Elsewhere ou encore Fame...), il va entamer une carrière cinéma via l'écurie Disney et ses filiales adultes Hollywood Pictures ou Touchstone. Un illustrateur honnête, techniquement propre mais sans réelle audace ni personnalité réelle à mes yeux.


Swing Kids (1993) : XX Son meilleur film. Reconstitution honnête et performances d'acteurs au service d'une histoire prévisible mais généreuse.

Metro (1997) : O Sympa à voir mais rapidement oubliable.

Save The Last dance (2001) : X Sujet & acteurs intéressants, beaucoup plus que son traitement là aussi répondant aux règles narratives du mélo musical hollywoodien remises au gout du jour avec une hiqstoire inter-raciale et forcément du hip hop .

Coach Carter (2005) : O . Un coach avec des couilles remet sur pied une équipe de losers fortes de tete. Sur ce canevas, le cinéma US a largué un nombre incommensurable de produits interchangeables. le fait que Samuel Jackson dirige une équipe de basketteurs noirs. cette fois-ci ne change pas la donne. C'est joliment fait, un peu manipulateur mais bon, je préfère encore Hoosiers. On peut aussi penser (beaucoup) à Lean on Me ou encore le Miracle avec Kurt Russell sorti un an auparavant mais les exemples sont légion...


Je n'ai pas vu ses téléfilms, par contre .
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
manuma
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Re: Top à ... Thomas Carter

Message par manuma »

Tu n’as pas précisé qu’il avait débuté comme acteur avant de passer à la réalisation. Son « plus grand » rôle est peut-être bien celui de l’infirmier rasta dans l’excellent C’est ma vie, après tout de John Badham.


Call to Glory (1984)(TV) : 4/10. Chopé sur la 5 dans mon adolescence et maté uniquement parce qu’il y avait Elisabeth Shue dedans. Vague souvenir d’un mélo très patriotique surfant sur le succès de The Right stuff qui suivait les mésaventures d’un pilote de l’Air Force et sa petite famille dans les années 60, avec dans le rôle principal un Craig T. Nelson en mode balai-brosse dans le fion. Apparemment une série a suivie, mais je ne suis pas certain que la 5 l’ait diffusée.

Amazing Stories – Dorothy and Ben (1985)(TV) : 4/10. Mélo fantastique en milieu hospitalier à la fois lourd et convenu. Belle partition de Georges Delerue et c’est à peu près tout.

Midnight caller – Conversation with an assassin (1988)(TV) : 5/10. Celui-là, c’est parce qu’il y avait les belles Jenny Wright et Kay Lenz au générique que je me le suis farci (tiens, qu’est ce qu’elle est devenue, la première, depuis ?). Pilote d’une série télé vaguement policière connue chez nous sous le titre de Jack Killian, l’homme au micro. Esthétiquement plutôt accrocheur, avec une réalisation soignée, une belle photo et la zique eighties planante de Brad Fiedel, mais sans surprise dans son contenu, alignant pas mal de stéréotypes. Pas vu la série ensuite.

Swing Kids (1993) : Pas vu.

Metro (1997) : 6/10. Polar d’action décevant en partie phagocyté par la personnalité de son interprète principal. Reste quelques belles pièce d’action et de bons seconds rôles.

Save the last dance (2001) : 5/10. Mélodrame musical / inter racial bien emballé, correctement interprété mais dépourvu de toute originalité niveau script. La plus stricte routine, qui devrait néanmoins satisfaire sans problème le fan de hip-hop pas trop regardant.

Coach Carter (2005) : Pas vu.

Gifted Hands : The Ben Carson story (2008) : Pas vu.
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