Voici une petite comparaison, entre la version vue à la télé et celle du DVD. Ce n'est pas exactement la même image, mais la caméra ne bouge pas dans l'intervalle, donc la comparaison est valable...
[img][img]http://img69.imageshack.us/img69/7924/i ... 8dy.th.png[/img][/img]
The Incredible shrinking man - Jack Arnold (1957)
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
D'après le forum dvdclassik, le film serait peux etre sorti en France, mais je ne le trouve pas sur les sites de vente internet.
En Belgique, je ne sais pas, mais quelle ne fut pas ma surprise ce matin, de le trouver à Carrefour à 9,90 euros. Jaquette en français, VO, VF + VOSTF... Bref, que du bonheur...
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MadXav
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Bast a écrit :trouvé le mien a carrouf il y a quasi deux mois, a 9,9 euros, copie conforme de l'édition anglaise
Qu'est-ce qu'ils font à Carrouf ??? Ils ont décidé d'être un peu compétent ou quoi ? Déjà qu'il semble qu'ils soient les seuls à proposer "The CAR"... Ca me parait étrange... Je vais être obligé d'aller y faire un tour...
Dessin et sketching liés au cinéma, au voyage, etc. :
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MadXav
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Puisque Tarantula est remonté, aucune raison que L'Homme qui Rétrécit ne fasse pas de même. Un film réellement hors du commun, intelligent, bien foutu et accompagné d'une voix-off très pertinente, ajoutant à la solitude du héros. Un très grand Arnold sur l'une des meilleurs histoire de Matheson : Le carton plein.
La critique ici :
http://www.devildead.com/indexfilm.php3?FilmID=1387
La critique ici :
http://www.devildead.com/indexfilm.php3?FilmID=1387
Dessin et sketching liés au cinéma, au voyage, etc. :
Un très grand film, toujours surprenant, toujours inventif, entrainant le spectateur dans un spectacle hors du commun, succession de morceaux de bravoure impressionnants et empreints d'un réel suspense. Je ne suis pas fan de tout ce qu'a fait Jack Arnold, mais "L'homme qui rétrécit" mérite son statut de classique...
Re: The Incredible Shrinking Man
Je remonte le topic pour signaler la sortie du DVD français de L'Homme qui rétrécit!
Un peu tard, tout de même...il y a peu d'indication et c'est Aventi qui s'en occupe!
http://www.amazon.fr/Lhomme-qui-retreci ... 01&sr=1-27
Un peu tard, tout de même...il y a peu d'indication et c'est Aventi qui s'en occupe!
http://www.amazon.fr/Lhomme-qui-retreci ... 01&sr=1-27
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vicknick2000
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Re: The Incredible Shrinking Man
sur amazon.fr le dvd zone 2 uk est dispo a 7.49euros.. 
.v.f. mais pas de bonus...cela dit je vois mal aventi faire des bonus...pour ma part.... 
.v.f. mais pas de bonus...cela dit je vois mal aventi faire des bonus...pour ma part.... -
MadXav
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Re: The Incredible Shrinking Man
Tu sais s'il y a d'autres titres de ce genre qui accompagnent cette sortie ?Algor a écrit :Je remonte le topic pour signaler la sortie du DVD français de L'Homme qui rétrécit!
Un peu tard, tout de même...il y a peu d'indication et c'est Aventi qui s'en occupe!
http://www.amazon.fr/Lhomme-qui-retreci ... 01&sr=1-27
Dessin et sketching liés au cinéma, au voyage, etc. :
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bluesoul
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Re: The Incredible Shrinking Man
Robert Scott Carey, jeune homme marie et heureux, voit sa vie bouleversee par l’etrange maladie qui soudainement le ronge. En effet, il rapetisse literalement a vue d’oeil, jour apres jour, encore et encore, inexorablement…
Du initialement a la plume de Richard Matheson (qui signera d’ailleurs le scenario du film), l’adaptation du roman tombera dans l’escarcelle de l’Universal qui deleguera la realisation de l’adaptation au cinema a ce vieux routier du fantastique qu’est Jack Arnold dans les annees 50s.
Contrairement aux autres films d’Arnold, TISM est a la base un roman, et non un « scenario » ou « concept ». A ce niveau-la, Arnold aura a jongler avec d’autres elements, tels une pre-conception de l’histoire chez le spectateur, ainsi que des attentes / espoirs de l’auteur.
A l’arrivee, l’on peut parler d’un film realise « a quatre mains », Matheson en charge de la partie narrative, laissant apparemment le champ libre en matiere de mise en scene a Arnold et inversement. Il est aussi a noter, que TISM est le premier scenario d’un « film cinema» que Matheson aura a ecrire, ses precedentes experiences n’etant limitee qu’a des productions televisuelles.
Ce qui a possiblement pu aider a l’entente entre les deux hommes, est leur (legendaire) amour du fantastique, l’un a travers les pages de romans et novelles, l’autres a travers la realisation de metrages au cinema.
Si le concept du present film parait « enhaurme » de nos jours, il ne fait que s’inscrire dans les angoisses quant a la radioactivite et l’atome qui existaient a l’epoque.
Cependant, et contrairement a la tendance a mettre en scene des monstres (generalement “agrandis”) en tous genres, le metrage, par le truchement du recit de Matheson, se centrera sur le drame humain et sa volonte de survie face a un environnement on ne peut plus « normal » devenu dangereux a tout niveau...
Si le contexte tres science-fictionnel(!), semblerait empecher Arnold de se livrer a ses habituelles tirades scientifiques, il y parviendra neanmoins via les differents tests medicaux auxquels le hero se soumet. La difference, est que cette fois-ci, la science ne pourra apporter ni les questions, ni les reponses aux maux du protagoniste principal, questions, auxquelles seule la philosophie pourra repondre, cloturant une aventure presque aussi « interieure » qu’ « exterieure »...
En ce qui concerne les effets speciaux, l’Universal (et Arnold) tacheront de mettre en oeuvre leurs experiences precedentes, telle Tarantula (1955), deja signe par le meme Arnold pour le meme studio et fesant deja usage des ecrans bleus. Si les efforts sont louables, un public contemporain ne peut que constater qu’un important usage de l’ecran bleu est effectue, usage generalement assez facile a interpreter et donc tres reconnaissable.
Ainsi, au niveau des effets speciaux, ce que l’on retiendra le plus encore de nos jours, seront les decors et les sets gigantesques qui « rappetissent » le hero. Ceux-ci, ajoutes a la performance de Grant Williams (egalement vu dans The Monolith Monsters (1957) la meme annee) en personnage principal « font » le metrage, reussissant par un casting tres inspire a faire croire et a donner toute sa force a cette histoire tellement « incroyable (« incredible » en anglais) ».
Grant parvient sans probleme a faire ressentir le trouble et les frustrations (sexuelles) et masculines de son personnage condamne a rappetisser petit a petit, tout autant que de faire montre de determination dans la partie « survival » du recit, ou ramene a des dimensions plus qu’effrayantes, il devra faire face a la « monstruosite » de son nouvel environnement.
Reussite autant dramatique que cinematographique, le film parvient sans mal a se hisser au rang de classique (au plein sens du terme) du fantastique.
A voir, car un bon metrage, c’est avant tout ; une bonne histoire/scenario, une bonne interpretation ou une bonne realisation ; TISM beneficie des trois...ce qui en fait un chef-d'oeuvre!
The Incredible Shrinking Man : 5 / 5
Du initialement a la plume de Richard Matheson (qui signera d’ailleurs le scenario du film), l’adaptation du roman tombera dans l’escarcelle de l’Universal qui deleguera la realisation de l’adaptation au cinema a ce vieux routier du fantastique qu’est Jack Arnold dans les annees 50s.
Contrairement aux autres films d’Arnold, TISM est a la base un roman, et non un « scenario » ou « concept ». A ce niveau-la, Arnold aura a jongler avec d’autres elements, tels une pre-conception de l’histoire chez le spectateur, ainsi que des attentes / espoirs de l’auteur.
A l’arrivee, l’on peut parler d’un film realise « a quatre mains », Matheson en charge de la partie narrative, laissant apparemment le champ libre en matiere de mise en scene a Arnold et inversement. Il est aussi a noter, que TISM est le premier scenario d’un « film cinema» que Matheson aura a ecrire, ses precedentes experiences n’etant limitee qu’a des productions televisuelles.
Ce qui a possiblement pu aider a l’entente entre les deux hommes, est leur (legendaire) amour du fantastique, l’un a travers les pages de romans et novelles, l’autres a travers la realisation de metrages au cinema.
Si le concept du present film parait « enhaurme » de nos jours, il ne fait que s’inscrire dans les angoisses quant a la radioactivite et l’atome qui existaient a l’epoque.
Cependant, et contrairement a la tendance a mettre en scene des monstres (generalement “agrandis”) en tous genres, le metrage, par le truchement du recit de Matheson, se centrera sur le drame humain et sa volonte de survie face a un environnement on ne peut plus « normal » devenu dangereux a tout niveau...
Si le contexte tres science-fictionnel(!), semblerait empecher Arnold de se livrer a ses habituelles tirades scientifiques, il y parviendra neanmoins via les differents tests medicaux auxquels le hero se soumet. La difference, est que cette fois-ci, la science ne pourra apporter ni les questions, ni les reponses aux maux du protagoniste principal, questions, auxquelles seule la philosophie pourra repondre, cloturant une aventure presque aussi « interieure » qu’ « exterieure »...
En ce qui concerne les effets speciaux, l’Universal (et Arnold) tacheront de mettre en oeuvre leurs experiences precedentes, telle Tarantula (1955), deja signe par le meme Arnold pour le meme studio et fesant deja usage des ecrans bleus. Si les efforts sont louables, un public contemporain ne peut que constater qu’un important usage de l’ecran bleu est effectue, usage generalement assez facile a interpreter et donc tres reconnaissable.
Ainsi, au niveau des effets speciaux, ce que l’on retiendra le plus encore de nos jours, seront les decors et les sets gigantesques qui « rappetissent » le hero. Ceux-ci, ajoutes a la performance de Grant Williams (egalement vu dans The Monolith Monsters (1957) la meme annee) en personnage principal « font » le metrage, reussissant par un casting tres inspire a faire croire et a donner toute sa force a cette histoire tellement « incroyable (« incredible » en anglais) ».
Grant parvient sans probleme a faire ressentir le trouble et les frustrations (sexuelles) et masculines de son personnage condamne a rappetisser petit a petit, tout autant que de faire montre de determination dans la partie « survival » du recit, ou ramene a des dimensions plus qu’effrayantes, il devra faire face a la « monstruosite » de son nouvel environnement.
Reussite autant dramatique que cinematographique, le film parvient sans mal a se hisser au rang de classique (au plein sens du terme) du fantastique.
A voir, car un bon metrage, c’est avant tout ; une bonne histoire/scenario, une bonne interpretation ou une bonne realisation ; TISM beneficie des trois...ce qui en fait un chef-d'oeuvre!
The Incredible Shrinking Man : 5 / 5
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.
![[img]http://img69.imageshack.us/img69/7924/i ... 8dy.th.png[/img]](http://img69.imageshack.us/my.php?image=ismcomparaisonsmall8dy.png){kind=link}
Re: The Incredible Shrinking Man
Dispo pour 2 euros chez la fourmi
Avis aux nouveaux forumers, il est parfaitement normal voir de santé publique d'envoyer chier manolito au moins une fois.
Re: The Incredible Shrinking Man
Mes excuses MadXav. J'avais perdu ce sujet de vue! J'imagine que tu as eu ta réponse depuis le temps. Pas d'autres titres à l'horizon.MadXav a écrit :Tu sais s'il y a d'autres titres de ce genre qui accompagnent cette sortie ?Algor a écrit :Je remonte le topic pour signaler la sortie du DVD français de L'Homme qui rétrécit!
Un peu tard, tout de même...il y a peu d'indication et c'est Aventi qui s'en occupe!
http://www.amazon.fr/Lhomme-qui-retreci ... 01&sr=1-27
Moi, j'ai trouvé mon dvd francais pour 4 euros et c'est le même contenu que le disque UK!
À noter sur Marketplace amazon.fr qu'un rigolo essaie de vendre sa copie à 999.99 euros!
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bluesoul
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- Localisation : Tokyo dans les annees 70s, baby! Yeah!
Re: The Incredible Shrinking Man
Pour ce prix-la, en bonus il doit y avoir le "Shrinking Man" en personne! 
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.