
Federico Fellini
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Federico Fellini
je m'apercois (mais je ne suis pas surpris) qu'il y a de gros passionnes de cinema italien....je continue sur ma lancee apres Risi....croise un bon gros coffret de opening de fellini....tres emmerdant qq fois que de pouvoir en qq phrases resume ce qu'un real vous procure mais je vais qd meme vous le demander....je ne connais pas encore ce realisateur(ca me titille d'en savoir plus) faites moi rever 

chez corpses, apres l'avoir supprimer !
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Les Vitelloni : ...
La Strada : ...
Il Bidone : ...
Les nuits de Cabiria : ...
La Dolce Vita : ...
Boccace 70 (Le tentazioni del dottor Antonio) : ...
Juliette des esprits : ...
Histoire extraordinaires (Il ne faut jamais parier sa tête avec le diable) :
Fellini-Satyricon : (enfin
) Un grand choc à la première vision ; un péplum glauque et sordide, décadent et sale, surfant alors sur la révolution sexuelle de l'époque. L'ancêtre de Caligula. J'adore.
6/6
Les Clowns :
Fellini-Roma : Une petite merveille pour ce patchwork fascinant de scénettes sur Rome mélant alors fiction et réalité. Rome sale, Rome monstrueuse, Rome magique....
5,5/6
Amarcord : Evocation de souvenirs fortement emprunt de surréalisme et de poésie, et de beaucoup d'humour. Absolument génial.
6/6
Fellini-Casanova : Vision mélancolique d'un Casanova usé et dépassé, le tout dans un univers fantasmagorique dès plus fascinant (compétition de baises, statue géante emergeant de l'eau, poupée mécanique, utilisation de dessins de Topor...). 5,5/6
Répétition d'orchestre : ...
La cité des femmes : ...
Et vogue le navire : ...
Ginder & Fred : ...
Intervista : ...
La voce della luna : ...
La Strada : ...
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Boccace 70 (Le tentazioni del dottor Antonio) : ...
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Histoire extraordinaires (Il ne faut jamais parier sa tête avec le diable) :
Fellini-Satyricon : (enfin

6/6
Les Clowns :
Fellini-Roma : Une petite merveille pour ce patchwork fascinant de scénettes sur Rome mélant alors fiction et réalité. Rome sale, Rome monstrueuse, Rome magique....
5,5/6
Amarcord : Evocation de souvenirs fortement emprunt de surréalisme et de poésie, et de beaucoup d'humour. Absolument génial.
6/6
Fellini-Casanova : Vision mélancolique d'un Casanova usé et dépassé, le tout dans un univers fantasmagorique dès plus fascinant (compétition de baises, statue géante emergeant de l'eau, poupée mécanique, utilisation de dessins de Topor...). 5,5/6
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Là tu tombes mieux qu'avec Risi pour découvrir, parce que Fellini est quasi integralement dispo en dvd chez nous !
Pour ce que j'ai vu, un real assez inégal, mais proche du génie dans ses hauts, quoiqu'il en soit un maestro visuel, capable de créer des univers passionants, il plaira sans doute plus aux amateurs d'ambiance fééeriques qu'aux cartésiens adeptes de scénarios ciselés. Moi j'aime qd meme beaucoup meme si tous les films ne sont pas aussi réussis.
Les Vitelloni : Un de ses meilleurs films, une fable sur une bande de potes qui refusent d'affronter la vie d'adulte, chacun fuit à sa façon ces responsabilités, le tout dans le cadre où Fellini a lui-même grandi, Rimini, ville cotière italienne. Une des influences majeures de Scorsese pour "Mean streets" notamment, un des meilleurs "films de potes" de l'histoire du cinéma pour moi !
La Strada : Un très joli film, plein de poésie, porté par un couple A.Quinn / G.Massina juste parfait. Faudrait que je le revoie, mais très bon souvenir, un des sommets aussi, très bon dosage poésie / réalisme dans l'oeuvre fellinienne.
Il Bidone : Je l'ai vu il y a qques années, je n'en garde pas un souvenir imperissable. Des bonnes idées, des bonnes choses, mais il me semble avoir trouvé ça un brin long.
Les nuits de Cabiria : Assez proche d'un film comme "La strada". "Les nuits de Cabiria" c'est avant tout un sublime portrait de femme. G.Massina, encore et toujours, qui incarne cette prostituée au grand coeur, un peu trop naive pour le monde qui l'entoure. Très touchant.
La Dolce Vita : Peut-être mon préféré même si à la première vision, le film peut destabiliser. Palme d'Or contestée en son temps, peut-être le film le plus connu de son auteur, "La dolce vita" fut vu à l'epoque comme un éloge de la débauche et du laisser aller. Pour moi, il faut vraiment voir le film comme un long trip, majoritairement nocturne. On suit un chroniqueur mondain, Marcello, dans des petits bouts de vie qui n'ont pas vraiment de liens les uns avec les autres. Et Fellini empile les séquences cultes, la fontaine, la statue en helico, les soirées mondaines. Je comprends qu'on puisse trouver ça vide, moi j'adore, meme si faut vraiment être ds le bon "mood" pour apprécier j'imagine. Son chef d'oeuvre pour moi.
Boccace 70 (Le tentazioni del dottor Antonio) : Pas vu
Juliette des esprits : Pas vu
Histoire extraordinaires (Il ne faut jamais parier sa tête avec le diable) : Pas vu
Fellini-Satyricon : J'ai profondement detesté. Je n'ai meme pas fini le film. Des jolis tableaux, mais ça ne comble pas le vide absolu et indigeste qu'a constitué le film pour moi.
Les Clowns : Pas vu.
Fellini-Roma : Patchwork d'une ville, très inégal, des séquences franchement réussies alternent avec d'autres bp plus dispensables. Faudrait que je le revoie, mais j'avoue que j'attendais plus d'un film sur une ville comme Rome par un tel real.
Amarcord : Pas vu
Fellini-Casanova : A revoir aussi, en l'état j'avais été plutot déçu, pas specialement convaincu notamment par Sutherland en Casanova.
Répétition d'orchestre : ...
La cité des femmes : ...
Et vogue le navire : ...
Ginder & Fred : ...
Intervista : ...
La voce della luna : ...
Vu aucun des autres, et il manque un film au debut (le Cheick Blanc ?)
En gros, un real qui merite le coup d'oeil qd meme !
Et qui a donné son nom à la médiathèque de Montpellier, ville de gens de gouts !

Pour ce que j'ai vu, un real assez inégal, mais proche du génie dans ses hauts, quoiqu'il en soit un maestro visuel, capable de créer des univers passionants, il plaira sans doute plus aux amateurs d'ambiance fééeriques qu'aux cartésiens adeptes de scénarios ciselés. Moi j'aime qd meme beaucoup meme si tous les films ne sont pas aussi réussis.
Les Vitelloni : Un de ses meilleurs films, une fable sur une bande de potes qui refusent d'affronter la vie d'adulte, chacun fuit à sa façon ces responsabilités, le tout dans le cadre où Fellini a lui-même grandi, Rimini, ville cotière italienne. Une des influences majeures de Scorsese pour "Mean streets" notamment, un des meilleurs "films de potes" de l'histoire du cinéma pour moi !
La Strada : Un très joli film, plein de poésie, porté par un couple A.Quinn / G.Massina juste parfait. Faudrait que je le revoie, mais très bon souvenir, un des sommets aussi, très bon dosage poésie / réalisme dans l'oeuvre fellinienne.
Il Bidone : Je l'ai vu il y a qques années, je n'en garde pas un souvenir imperissable. Des bonnes idées, des bonnes choses, mais il me semble avoir trouvé ça un brin long.
Les nuits de Cabiria : Assez proche d'un film comme "La strada". "Les nuits de Cabiria" c'est avant tout un sublime portrait de femme. G.Massina, encore et toujours, qui incarne cette prostituée au grand coeur, un peu trop naive pour le monde qui l'entoure. Très touchant.
La Dolce Vita : Peut-être mon préféré même si à la première vision, le film peut destabiliser. Palme d'Or contestée en son temps, peut-être le film le plus connu de son auteur, "La dolce vita" fut vu à l'epoque comme un éloge de la débauche et du laisser aller. Pour moi, il faut vraiment voir le film comme un long trip, majoritairement nocturne. On suit un chroniqueur mondain, Marcello, dans des petits bouts de vie qui n'ont pas vraiment de liens les uns avec les autres. Et Fellini empile les séquences cultes, la fontaine, la statue en helico, les soirées mondaines. Je comprends qu'on puisse trouver ça vide, moi j'adore, meme si faut vraiment être ds le bon "mood" pour apprécier j'imagine. Son chef d'oeuvre pour moi.
Boccace 70 (Le tentazioni del dottor Antonio) : Pas vu
Juliette des esprits : Pas vu
Histoire extraordinaires (Il ne faut jamais parier sa tête avec le diable) : Pas vu
Fellini-Satyricon : J'ai profondement detesté. Je n'ai meme pas fini le film. Des jolis tableaux, mais ça ne comble pas le vide absolu et indigeste qu'a constitué le film pour moi.
Les Clowns : Pas vu.
Fellini-Roma : Patchwork d'une ville, très inégal, des séquences franchement réussies alternent avec d'autres bp plus dispensables. Faudrait que je le revoie, mais j'avoue que j'attendais plus d'un film sur une ville comme Rome par un tel real.
Amarcord : Pas vu
Fellini-Casanova : A revoir aussi, en l'état j'avais été plutot déçu, pas specialement convaincu notamment par Sutherland en Casanova.
Répétition d'orchestre : ...
La cité des femmes : ...
Et vogue le navire : ...
Ginder & Fred : ...
Intervista : ...
La voce della luna : ...
Vu aucun des autres, et il manque un film au debut (le Cheick Blanc ?)
En gros, un real qui merite le coup d'oeil qd meme !

Et qui a donné son nom à la médiathèque de Montpellier, ville de gens de gouts !



"J'ai essayé de me suicider en sautant du haut de mon égo. J'ai pas encore atteri... "
Il est l'auteur de la fameuse phrase qu'il a adressé à son assistant : "Tiens moi mon chef d'oeuvre pendant que je vais pisser"
Sinon, "la cité des femmes du même Fellini", que vaut il?
Sinon, "la cité des femmes du même Fellini", que vaut il?
Avis aux nouveaux forumers, il est parfaitement normal voir de santé publique d'envoyer chier manolito au moins une fois.
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Pas mon préféré dans les "grands" réalisateurs italien (je préfère les "marxistes" du genre Visconti-Pasolini-Rosi-Bertolucci aux "chrétiens" du genre Rosselini-De Sica-Fellini), mais un très grand metteur en scène quand même, avec de vrais grands chefs d'oeuvres au compteur... et pas mal de choses auxquelles je suis un peu allergique...
Les feux du music hall : pas vu
Le cheik blanc : pas vu
Les Vitelloni : un chef-d'oeuvre effectivement, la perfection formelle extraordinaire du cinéma italien de cette période au service d'une ambiance entre réalisme et poésie pour une histoire à la morale encore tout à fait d'actualité. Une mise en scène qui avait au moins dix ans d'avance sur son époque, peut-être même plus... Un des films préférés de David Lynch... 9/10
La Strada : On lui reproche sa morale un peu gnangnan ? Elle me convient tout à fait ; un bijou de réalisme poétique et un couple Anthony Quinn-Giuletta Massima aussi improbable que bouleversant. Un film qui est au "couple" ce que "The Kid" est à la paternité... 9/10
Il Bidone : Là aussi, un grand film moral, où l'invention de la forme et la justesse du propos forment un ensemble vraiment miraculeux. Broderick Crawford est bouleversant dans cette tragédie boufonne... Pour moi, "Les vitelloni", "La strada" et "Il bidone" forement la meilleure période de Felini, et aussi une trilogie de films très abordables pour une première approche. 9/10
Les nuits de Cabiria : Ca se gate un peu. La forme devient plus moderne, plus inventive, mais la morale devient un peu lourde. Ca reste très beau... 7/10
La Dolce Vita : Un film de transition que je n'aime pas beaucouop, que je trouve lourdement moraliste dans sa peinture de la "décadence" et du "vide" de la vie moderne. Des scènes célèbres à juste titre, mais un film que je trouve simpliste... 5/10
Boccace 70 (Le tentazioni del dottor Antonio) : Excellent sketch-comédie pour un Fellini qui se lâche complètement dans la peinture d'un bigot ridicule, confronté au monde de ses fantasmes. 9/10
8 1/2 : Felini nouvelle manière se trouve enfin et aligne les scènes toutes plus inventives et folles les unes que les autres. Souvent imité, jamais égalé ! Scandaleusement inédit en dvd en France ! 10/10
Juliette des esprits : Une curiosité, Fellini se laisse aller à un trip fantastico-psychédélique assez curieux. C'est beau, très beau, mais peut-être un peu vain... 7/10
Histoire extraordinaires (Il ne faut jamais parier sa tête avec le diable) : pas vu
Fellini-Satyricon : Ca commence à se gater... Un gros spectacle à l'invention visuelle hallucinante, mais aussi foncièrement chaotique et inégal. Certaines scènes sont à la limite du franchement saoulant et casse-couilles... Mais il faudrait peut-être que je le revois 5/10
Les Clowns : l'autre chef-d'oeuvre de Fellini pour moi, même s'il fait nettement moins l'unanimité que "8 1/2". Fellini tire son chapeau avec humilité aux artisans du rêve et du spectacle, et regarde le monde du cirque mourir dans une ultime explosion de couleur. Un Fellini humble, très émouvant pour moi... 10/10
Fellini-Roma : Le début d'une période que je n'aime pas trop. Fellini Fellinise et propose des films avec toujours des choses magnifiques, mais aussi une certaine lourdeur et un manque d'unité qui ne rendent pas ses films toujours digestes. Ici, de belles choses cotoient des choses lourdes... 6/10
Amarcord : A peu de choses près, j'en pense la même chose que "Roma" 5/10
Fellini-Casanova : Ca commence à devenir franchement indigeste et très, très lourd 3/10
Répétition d'orchestre : pas vu
La cité des femmes : Un pendant paillard de "8 1/2" où Fellini se moque un peu de lui-même dans un trip assez amusant. Pas un chef-d'oeuvre, mais après Casanova, la moyenne remonte ! 7/10
Et vogue le navire : Un film qui commence très bien, avec de très jolies scènes (le concert de verres de cristal) mais qui s'essoufle un peu à la fin... 6/10
Ginder & Fred : un film très classique et linéaire par rapport aux précédents, un joli hommage aux acteurs et aux vedettes du music hall. 8/10
Intervista : Fellini repart dans ses trips narcissiques un peu imbuvables. Pénible. 4/10
La voce della luna : souvent décrié, mais j'aime bien, un Fellini en demi-ton avec de vrais moments de poésie et de joliesse. Pas le premier Fellini à découvrir, mais un joli film d'adieu... 7/10
Les feux du music hall : pas vu
Le cheik blanc : pas vu
Les Vitelloni : un chef-d'oeuvre effectivement, la perfection formelle extraordinaire du cinéma italien de cette période au service d'une ambiance entre réalisme et poésie pour une histoire à la morale encore tout à fait d'actualité. Une mise en scène qui avait au moins dix ans d'avance sur son époque, peut-être même plus... Un des films préférés de David Lynch... 9/10
La Strada : On lui reproche sa morale un peu gnangnan ? Elle me convient tout à fait ; un bijou de réalisme poétique et un couple Anthony Quinn-Giuletta Massima aussi improbable que bouleversant. Un film qui est au "couple" ce que "The Kid" est à la paternité... 9/10
Il Bidone : Là aussi, un grand film moral, où l'invention de la forme et la justesse du propos forment un ensemble vraiment miraculeux. Broderick Crawford est bouleversant dans cette tragédie boufonne... Pour moi, "Les vitelloni", "La strada" et "Il bidone" forement la meilleure période de Felini, et aussi une trilogie de films très abordables pour une première approche. 9/10
Les nuits de Cabiria : Ca se gate un peu. La forme devient plus moderne, plus inventive, mais la morale devient un peu lourde. Ca reste très beau... 7/10
La Dolce Vita : Un film de transition que je n'aime pas beaucouop, que je trouve lourdement moraliste dans sa peinture de la "décadence" et du "vide" de la vie moderne. Des scènes célèbres à juste titre, mais un film que je trouve simpliste... 5/10
Boccace 70 (Le tentazioni del dottor Antonio) : Excellent sketch-comédie pour un Fellini qui se lâche complètement dans la peinture d'un bigot ridicule, confronté au monde de ses fantasmes. 9/10
8 1/2 : Felini nouvelle manière se trouve enfin et aligne les scènes toutes plus inventives et folles les unes que les autres. Souvent imité, jamais égalé ! Scandaleusement inédit en dvd en France ! 10/10
Juliette des esprits : Une curiosité, Fellini se laisse aller à un trip fantastico-psychédélique assez curieux. C'est beau, très beau, mais peut-être un peu vain... 7/10
Histoire extraordinaires (Il ne faut jamais parier sa tête avec le diable) : pas vu
Fellini-Satyricon : Ca commence à se gater... Un gros spectacle à l'invention visuelle hallucinante, mais aussi foncièrement chaotique et inégal. Certaines scènes sont à la limite du franchement saoulant et casse-couilles... Mais il faudrait peut-être que je le revois 5/10
Les Clowns : l'autre chef-d'oeuvre de Fellini pour moi, même s'il fait nettement moins l'unanimité que "8 1/2". Fellini tire son chapeau avec humilité aux artisans du rêve et du spectacle, et regarde le monde du cirque mourir dans une ultime explosion de couleur. Un Fellini humble, très émouvant pour moi... 10/10
Fellini-Roma : Le début d'une période que je n'aime pas trop. Fellini Fellinise et propose des films avec toujours des choses magnifiques, mais aussi une certaine lourdeur et un manque d'unité qui ne rendent pas ses films toujours digestes. Ici, de belles choses cotoient des choses lourdes... 6/10
Amarcord : A peu de choses près, j'en pense la même chose que "Roma" 5/10
Fellini-Casanova : Ca commence à devenir franchement indigeste et très, très lourd 3/10
Répétition d'orchestre : pas vu
La cité des femmes : Un pendant paillard de "8 1/2" où Fellini se moque un peu de lui-même dans un trip assez amusant. Pas un chef-d'oeuvre, mais après Casanova, la moyenne remonte ! 7/10
Et vogue le navire : Un film qui commence très bien, avec de très jolies scènes (le concert de verres de cristal) mais qui s'essoufle un peu à la fin... 6/10
Ginder & Fred : un film très classique et linéaire par rapport aux précédents, un joli hommage aux acteurs et aux vedettes du music hall. 8/10
Intervista : Fellini repart dans ses trips narcissiques un peu imbuvables. Pénible. 4/10
La voce della luna : souvent décrié, mais j'aime bien, un Fellini en demi-ton avec de vrais moments de poésie et de joliesse. Pas le premier Fellini à découvrir, mais un joli film d'adieu... 7/10
Il faut vraiment voir son toby dammit, pour moi c'est ce qu'il a fait de mieux (meme si je n'ai pas tout vu)
c'est glauque, surréaliste, avec un Terence Stamp (tres rock star) qui débarque a rome pour jouer dans un western tourné par le Vatican.
Il est obsedé par la vision d'une fille, tres inspiré par Bava et son opération peur.
c'est glauque, surréaliste, avec un Terence Stamp (tres rock star) qui débarque a rome pour jouer dans un western tourné par le Vatican.
Il est obsedé par la vision d'une fille, tres inspiré par Bava et son opération peur.
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Mais l'horizon serait encore plus nouvellement correcte et léger si tu pouvais rectifier le nom mal orthographié du gars dont tu parles.picknick2000 a écrit :ce genre de topic peut permettre lourd mais ca peut permettre de decouvrir a certains de nouveaux horizons...merci beaucoup a vous tous....
Non ?
Not only does God play dice, but... he sometimes throws them where they cannot be seen - Stephen Hawking
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Re: frederico fellini
"8 et demi" sort (enfin !) en dvd en France. C'est chez Gaumont, en double DVD, prévu le 15 octobre 2009 

"J'ai essayé de me suicider en sautant du haut de mon égo. J'ai pas encore atteri... "
Re: frederico fellini
Excellente nouvelle d'autant qu'il s'agit de mon préféré.DPG a écrit :"8 et demi" sort (enfin !) en dvd en France. C'est chez Gaumont, en double DVD, prévu le 15 octobre 2009
À noter que la cinémathèque française propose une rétrospective des films de Fellini du 21 octobre au 30 novembre. Les métrages seront pour la plupart projetés vers 20h00 / 21h00.