La musique de ce premier sexy-giallo, composée par Nora Orlandi, vient de sorti chez Fin de siècle.
Connu aussi sous le titre rigianle de Il Dolce corpo di deborah ou aux us sous The sweet body of deborah.
Avec Carroll Baker, Jean Sorel, Luigi Pistilli, Evelyn Stewart ... Carroll baker entamait sa seconde carrière en Italie. Visiblement des problèmes d'argent et des échecs répétés (la bio de Jean Harlow fut le dernier en 1965) ont eu raison d'elle aux USA.
Elle tenta sa chance en Italie et initia la vague de sexy-gialli en tourna ce médiocre film de Romolo Guerrieri. Déjà avec Jean Sorel, elle forme un couple que la box office italien adorera. Mais c'est sous la nhoulette d'Umberto Lenzi que le sexy-giallo prendra tout son essor.
Ici, on reste bien timide. le scénario est signé Ernesto Gastaldi et la ressemblance avec Si Douces... Si perverses est troublante à plus d'un titre.
Pendant environ une heure, on suit le couple nouvellement marié (Baker/Sorel) àtravers la Suisse. Peu d'histoire, si ce n'est de les suivre sur différents points touristiques montagnards. Scènes de sexe etre jean & carroll. Puis direction un club. Puis une autre scène de sexe. Luigi istilli accuse Jean Sorel d'avoir rendu sa femme folle. Et des coups de téléphone smystéireux qui viennent les terroriser.
La mise en scène est assez plate, malgré tout, alternant de longs dialogues face à face, des scènes de club (Carroll baker porte des tenues totalemnt hallucinantes). Un rythme alangui qui n'aide pas vriament à coller à l'atmopshère. C'est juste vers la fin que Guerrieri/Gastaldi se réveillent en enquillant les rebondissements. On a le droit à l'inévatible scène de strip tease de la part d'une actrice noire (un numér très prisé dans le cinéma bis transalpin des 60'S/70's).
On reste vraiment en dessous de Orgasmo ou de Paranoia. Faute en incombe au fait que ce Deborah soit le premier à avoir été tourné. Trop long, au scénario qui patauge pendant une heure avant de se retrouver en territoire typiquement Gastaldien (apparences trompeuses à tous les niveaux). Et une caméra bien timide, sauf en cas de Carroll Baker se déshabillant. Maigre compensation!
Vu sur une VHS Italienne (Schendene & Moizzi).
Cromoscope 2.35:1
1H32.