Oh que voilà un pitch surréaliste pour un film particulièrement misogyne, con, mal branlé et joué comme les pieds. Ca fait beaucoup ! Reste qu'on a là un métrage qui prend son temps en nous proposant 1 heure de "j'arrive voir mon pote", "coucou ça fait plaisir de te revoir" et "wouaw elle est trop bien cette salope" avant d'enchainer, enfin et sous le prétexte le plus con du monde, à 5 combats totalement cheaps et pourris ! On peut dire que j'en ai vu des films de combats bouseux mais alors celui là, c'est quand même l'un des plus fumistes que je me soit offert !

A noter qu'en guise de consolation, on a droit à la 44eme minute à un dialogue super important autre le héros et la numéro 1. C'est genre "on est en train de tomber amoureux" et forcément, c'est sensible comme scène parce que c'est la base de l'"intrigue" du film. Sauf qu'en fond sonore, ben on entend comme un film de cul pendant presque 3 minutes ! Vu la qualité du film, j'en viens à me demander si de l'autre côté de la cloison, ils étaient pas en train tout simplement de tourner un film de boules ! C'est totalement surréaliste !
A noter tout de même que le Dragos aux dialogues de demeuré est incarné par Vinnie Jones, lequel se dévoile sous son vrai jour, celui d'un mauvais acteur qui ne fait que grimacer, comme dans XMen3 par exemple...
Au casting aussi, on retrouve Pat Morita dans l'un des derniers rôle (minable) de sa carrière...
Ne remercions donc pas Luc Campeau, réalisateur de la chose et qui, fort heureusement, n'aura pas remis le couvert. Ouf, y'a quand même une justice...