GOR et LES BANNIS DE GOR
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
GOR et LES BANNIS DE GOR
Dans « Gor » Tarl Cabot , un jeune professeur d’université pas très à l’aise dans notre monde va être projeté, grâce à une étrange bague dont il a hérité, sur la planéte Gor , terre cruelle où nombre d’habitant subissent la tyrannie du roi Sarm et sont pour la plupart réduit en esclavage. Tarl Cabot va devenir le héros de Gor en partant à la recherche d’une pierre sacrée (qui doit lui permettra de revenir sur terre) et en affrontant Sarm. En plus, il rencontre l’amûûûûr…(ce qui est cool)
Dans « les bannis de Gor », Tarl Cabot revient sur Gor et va devoir lutter contre la cruelle reine Lara qui l’accuse d’avoir assassiné le roi alors qu’en fait c’est elle qui l’a tué afin de prendre le pouvoir avec l’aide du prêtre Xenos. En plus, Tarl Cabot retrouvera son amûûûûr.
Je n’ai pas lu les livres de John Norman dont sont adaptés les films et je ne sais donc pas ce que vaut l’adaptation mais le tout évoque les bouquins d’Edgar Rice Burroughs ou le « Almuric » de Robert Howard.
Ces deux films réalisés en 1987 par John « Bud » Cardos pour le compte de la Cannon sont ma foi bien sympathiques. L’heroic fantasy que l’on nous propose ici est plûtot baroque, l e monde de Gor est peuplé de farouches et belles guerrières aux crinières permanentées typiquement 80, la cruauté envers les personnages est constantes (bien que restant dans les limites d’un spectacle familial) et notamment envers les femmes qui sont le plus souvent esclaves. Les décors, s’ils sont réduits ne semblent pas souffrir d’un trop petit budget, la figuration est nombreuse, et l’aspect très carton pâte ajoute au dépaysement et au côté chamarrer de l’aventure. Si la réalisation n’est guère plus élaborée que celle d’un téléfilm, elle est efficace et l’on suit avec plaisir les tribulations de Tarl Cabot et de ses amis (et amies). Jack Palance (Xenos) cachetonne mais c’est plutôt sympas de le voir dans ce rôle peu habituel.
Gor et les bannis de Gor sont donc deux bonnes séries B qui ne déçoivent pas notre attente
Dans « les bannis de Gor », Tarl Cabot revient sur Gor et va devoir lutter contre la cruelle reine Lara qui l’accuse d’avoir assassiné le roi alors qu’en fait c’est elle qui l’a tué afin de prendre le pouvoir avec l’aide du prêtre Xenos. En plus, Tarl Cabot retrouvera son amûûûûr.
Je n’ai pas lu les livres de John Norman dont sont adaptés les films et je ne sais donc pas ce que vaut l’adaptation mais le tout évoque les bouquins d’Edgar Rice Burroughs ou le « Almuric » de Robert Howard.
Ces deux films réalisés en 1987 par John « Bud » Cardos pour le compte de la Cannon sont ma foi bien sympathiques. L’heroic fantasy que l’on nous propose ici est plûtot baroque, l e monde de Gor est peuplé de farouches et belles guerrières aux crinières permanentées typiquement 80, la cruauté envers les personnages est constantes (bien que restant dans les limites d’un spectacle familial) et notamment envers les femmes qui sont le plus souvent esclaves. Les décors, s’ils sont réduits ne semblent pas souffrir d’un trop petit budget, la figuration est nombreuse, et l’aspect très carton pâte ajoute au dépaysement et au côté chamarrer de l’aventure. Si la réalisation n’est guère plus élaborée que celle d’un téléfilm, elle est efficace et l’on suit avec plaisir les tribulations de Tarl Cabot et de ses amis (et amies). Jack Palance (Xenos) cachetonne mais c’est plutôt sympas de le voir dans ce rôle peu habituel.
Gor et les bannis de Gor sont donc deux bonnes séries B qui ne déçoivent pas notre attente
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- Localisation : Dans la beauté du sale, la beauté du mal, sous les croix en feu, violant, déféquant...
Je n'ai vu que GOR, bon petit film en effet, assez réjouissif avec un oliver reed empaté qui lui aussi cachetonne mais on suit avec entrain ces aventures de GOR.. C assez Kitch, marrant, l'interprétation n'est pas trés convaincante mais ca se laisse rgarder et j'ai pris un certain plaisir à suivre ces péripetiés de ce pauvre prof qui se retrouve à une époque bien barbare!!!
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf


J'ai les 2 et j'ai vu les 2. Disons que cela se laisse voir mais c'est quand même bien fauché et il leur manque un brin de folie à ces films, ce n'est pas du Conquest.

Cela dit je préfère le premier, le second fut plus un supplice qu'autre chose. Il faut dire que je les ai vu à 2 jours d'intervalle, d'où l'aspect très répétitif. Heureusement qu'il y a Reed.
Les apparitions fatales des morts-vivants, dans leur brutalité, apparaissent inévitables, comme la main aveugle du destin. Les morts sont une fatalité, non un danger qui mettrait en jeu la survie.
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Le réalisateur du premier Gor : Fritz Kiersch a effectivement réalisé Horror Kid (les démons du maïs 1).Zecreep a écrit :Ce n'était pas le réalisateur d' Horror Kid qui avait réalisé ce fameux GOR?
Le réalisateur des Bannis de Gor c'est John "Bud" Cardos qu'on ne présente plus (l'Horrible Invasion, Mutants, le jour de la fin des temps...).
Les apparitions fatales des morts-vivants, dans leur brutalité, apparaissent inévitables, comme la main aveugle du destin. Les morts sont une fatalité, non un danger qui mettrait en jeu la survie.
Re: GOR et LES BANNIS DE GOR
A voir avant tout pour rigoler, parce qu’on est quand même plus près des Barbarians que Conan ici (d’ailleurs les mélomanes avertis reconnaitront la chanson du générique de fin des Barbarians, intégrée en source music, au début du film). J’avoue en tout cas avoir passé un bon moment en compagnie de ce héros un peu neuneu affrontant à l'aide d'une épée en plastoc un Oliver Reed bide à l’air qui se confond en rictus démoniaques. L’ambiance 100% carton pate du film, la naïveté de certaines péripéties et la médiocrité des dialogues évoquent les péplums ritals bien fauchés du début des années 60 et contribuent indiscutablement au charme pervers que distille cette production Cannon un peu oubliée.
Diffusé récemment sur Ciné FX.
Diffusé récemment sur Ciné FX.