Top à ... John Schlesinger
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
Top à ... John Schlesinger
Tiens Dragon', il est pour toi ce top, parce que tu me l'as demandé et parce que Schlesschinmachin le mérite bien en effet. Maintenant je suis loin d'avoir tout vu de lui, et j'ai l'impression que ce que je connais n'est pas ce qu'il a fait de plus personnel.
Terminus (1961) : Pas vu.
A Kind of Loving (1962) : Pas vu.
Billy Liar (1963) : Pas vu.
Darling (1965) : Très beau - et assez audacieux pour l'époque - portrait de femme. Dans l'écriture c'est tranchant, inventif dans la mise en image, et superbement interprété par le trio Julie Christie / Dirk Bogarde / Laurence Harvey.
Far from the Madding Crowd (1967) : Encore Julie Christie ballotée entre 3 prétendants, mais cette fois dans une adaptation de Thomas Hardy. Une trame relativement balisée, mais un ensemble qui évite tout académisme, avec beaucoup de retenue dans l'écriture et d'acuité dans la réalisation. Interprétation de haute volée et photographie de Nicolas Roeg à tomber par terre. Les presque 3 heures du film passent d’un trait.
Midnight Cowboy (1969) : 17/20. Vu il y a bien 20 ans. Le film m’avait impressionné à l’époque. Je me souviens avoir rigolé au début et chialé à la fin.
Sunday Bloody Sunday (1971) : Pas vu.
Visions of Eight (1973) (segment "The Longest") : Pas vu.
The Day of the Locust (1975) : 14/20. Vieux souvenir là aussi. Un curieux film, assez gonflé, avec des longueurs mais aussi quelques passages très marquants (la scène du lynchage).
Marathon Man (1976) : 17/20. Un petit classique, avec une distribution tip top (Richard Bright et Marc Lawrence en tueurs quasi muets) et des morceaux de bravoure en veux-tu en voilà (la tentative d’assassinat de Scheider à Paris, la scène de torture, la course-poursuite entre Hoffman et les hommes de Laurence Olivier). Je trouve le scénario un peu inutilement embrouillé par moment, mais bon, ça reste une belle réussite.
Yanks (1979) : 15/20. Schlesinger rentre sur le vieux continent pour signer ce chouette mélo sur fond de WWII et "d'occupation" américaine de l'angleterre. Vision juste et sensible du choc de 2 cultures proches et différentes à la fois. L'ensemble n'est pas d’une grande originalité, mais le charme rétro du film opère.
Honky Tonk Freeway (1981) : Pas vu.
Separate Tables (1983) (TV) : Pas vu.
An Englishman Abroad (1983) (TV) : Pas vu.
The Falcon and the Snowman (1985) : 12/20. Sujet passionnant, distribution alléchante mais résultat décevant. Un film dans lequel je ne me suis pas vraiment senti impliqué. Etrange que Schlesinger soit passé à côté.
The Believers (1987) : 17/20. Excellent suspense horrifique, bien écrit, bien interprété, bien tendu d’un bout à l’autre.
Madame Sousatzka (1988) : Pas vu.
Pacific Heights (1990) : 15/20. Solide thriller mené d'une main de maître. Pas de grosses surprises mais quelques jolis frissons, des rebondissements bien distillés, une pointe d’humour noir et une interprétation impeccable (avec d’excellents seconds rôles, comme toujours chez Schlesinger, j’ai l’impression).
A Question of Attribution (1992) (TV) : Pas vu.
The Innocent (1993) : Pas vu.
Cold Comfort Farm (1995) (TV) : Pas vu.
Eye for an Eye (1996) : 08/20. Une réalisation efficace (roublarde diront peut-être ses détracteurs) et une très belle photographie au service d’un scénario particulièrement racoleur et manipulateur. Limite embarrassant.
The Tale of Sweeney Todd (1998) (TV) : Pas vu.
The Next Best Thing (2000) : 14/20. Le film manque un peu de finesse dans l’écriture, mais la réalisation de Schlesinger est un petit modèle d’élégance et d’efficacité dans son découpage elliptique raffiné - l’action se déroule sur une petite dizaine d’années – qui évoque ses travaux anglais des années 60, la fougue en moins. Et puis Madonna arrive pour une fois presque à s’effacer derrière son personnage.
Terminus (1961) : Pas vu.
A Kind of Loving (1962) : Pas vu.
Billy Liar (1963) : Pas vu.
Darling (1965) : Très beau - et assez audacieux pour l'époque - portrait de femme. Dans l'écriture c'est tranchant, inventif dans la mise en image, et superbement interprété par le trio Julie Christie / Dirk Bogarde / Laurence Harvey.
Far from the Madding Crowd (1967) : Encore Julie Christie ballotée entre 3 prétendants, mais cette fois dans une adaptation de Thomas Hardy. Une trame relativement balisée, mais un ensemble qui évite tout académisme, avec beaucoup de retenue dans l'écriture et d'acuité dans la réalisation. Interprétation de haute volée et photographie de Nicolas Roeg à tomber par terre. Les presque 3 heures du film passent d’un trait.
Midnight Cowboy (1969) : 17/20. Vu il y a bien 20 ans. Le film m’avait impressionné à l’époque. Je me souviens avoir rigolé au début et chialé à la fin.
Sunday Bloody Sunday (1971) : Pas vu.
Visions of Eight (1973) (segment "The Longest") : Pas vu.
The Day of the Locust (1975) : 14/20. Vieux souvenir là aussi. Un curieux film, assez gonflé, avec des longueurs mais aussi quelques passages très marquants (la scène du lynchage).
Marathon Man (1976) : 17/20. Un petit classique, avec une distribution tip top (Richard Bright et Marc Lawrence en tueurs quasi muets) et des morceaux de bravoure en veux-tu en voilà (la tentative d’assassinat de Scheider à Paris, la scène de torture, la course-poursuite entre Hoffman et les hommes de Laurence Olivier). Je trouve le scénario un peu inutilement embrouillé par moment, mais bon, ça reste une belle réussite.
Yanks (1979) : 15/20. Schlesinger rentre sur le vieux continent pour signer ce chouette mélo sur fond de WWII et "d'occupation" américaine de l'angleterre. Vision juste et sensible du choc de 2 cultures proches et différentes à la fois. L'ensemble n'est pas d’une grande originalité, mais le charme rétro du film opère.
Honky Tonk Freeway (1981) : Pas vu.
Separate Tables (1983) (TV) : Pas vu.
An Englishman Abroad (1983) (TV) : Pas vu.
The Falcon and the Snowman (1985) : 12/20. Sujet passionnant, distribution alléchante mais résultat décevant. Un film dans lequel je ne me suis pas vraiment senti impliqué. Etrange que Schlesinger soit passé à côté.
The Believers (1987) : 17/20. Excellent suspense horrifique, bien écrit, bien interprété, bien tendu d’un bout à l’autre.
Madame Sousatzka (1988) : Pas vu.
Pacific Heights (1990) : 15/20. Solide thriller mené d'une main de maître. Pas de grosses surprises mais quelques jolis frissons, des rebondissements bien distillés, une pointe d’humour noir et une interprétation impeccable (avec d’excellents seconds rôles, comme toujours chez Schlesinger, j’ai l’impression).
A Question of Attribution (1992) (TV) : Pas vu.
The Innocent (1993) : Pas vu.
Cold Comfort Farm (1995) (TV) : Pas vu.
Eye for an Eye (1996) : 08/20. Une réalisation efficace (roublarde diront peut-être ses détracteurs) et une très belle photographie au service d’un scénario particulièrement racoleur et manipulateur. Limite embarrassant.
The Tale of Sweeney Todd (1998) (TV) : Pas vu.
The Next Best Thing (2000) : 14/20. Le film manque un peu de finesse dans l’écriture, mais la réalisation de Schlesinger est un petit modèle d’élégance et d’efficacité dans son découpage elliptique raffiné - l’action se déroule sur une petite dizaine d’années – qui évoque ses travaux anglais des années 60, la fougue en moins. Et puis Madonna arrive pour une fois presque à s’effacer derrière son personnage.
Modifié en dernier par manuma le mer. avr. 21, 2010 9:28 pm, modifié 4 fois.
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Re: Top à ... John Schlesinger
Terminus (1961) : Pas vu.
A Kind of Loving (1962) : Pas vu.
Billy Liar (1963) : Pas vu.
Darling (1965) : Pas vu.
Far from the Madding Crowd (1967) : Pas vu.
Midnight Cowboy (1969) : Bien aimé il y a longtemps
Sunday Bloody Sunday (1971) : Pas vu.
Visions of Eight (1973) (segment "The Longest") : Pas vu.
The Day of the Locust (1975) : Pas vu.
Marathon Man (1976) : Chef d'oeuvre !
Yanks (1979) : Pas vu.
Honky Tonk Freeway (1981) : Pas vu.
Separate Tables (1983) (TV) : Pas vu.
An Englishman Abroad (1983) (TV) : Pas vu.
The Falcon and the Snowman (1985) : Bof !
The Believers (1987) : Excellent !
Madame Sousatzka (1988) : Pas vu.
Pacific Heights (1990) : Bon !
A Question of Attribution (1992) (TV) : Pas vu.
The Innocent (1993) : Pas vu.
Cold Comfort Farm (1995) (TV) : Pas vu.
Eye for an Eye (1996) : Pas vu.
The Tale of Sweeney Todd (1998) (TV) : Pas vu.
The Next Best Thing (2000) : Pas vu.
A Kind of Loving (1962) : Pas vu.
Billy Liar (1963) : Pas vu.
Darling (1965) : Pas vu.
Far from the Madding Crowd (1967) : Pas vu.
Midnight Cowboy (1969) : Bien aimé il y a longtemps
Sunday Bloody Sunday (1971) : Pas vu.
Visions of Eight (1973) (segment "The Longest") : Pas vu.
The Day of the Locust (1975) : Pas vu.
Marathon Man (1976) : Chef d'oeuvre !
Yanks (1979) : Pas vu.
Honky Tonk Freeway (1981) : Pas vu.
Separate Tables (1983) (TV) : Pas vu.
An Englishman Abroad (1983) (TV) : Pas vu.
The Falcon and the Snowman (1985) : Bof !
The Believers (1987) : Excellent !
Madame Sousatzka (1988) : Pas vu.
Pacific Heights (1990) : Bon !
A Question of Attribution (1992) (TV) : Pas vu.
The Innocent (1993) : Pas vu.
Cold Comfort Farm (1995) (TV) : Pas vu.
Eye for an Eye (1996) : Pas vu.
The Tale of Sweeney Todd (1998) (TV) : Pas vu.
The Next Best Thing (2000) : Pas vu.

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Re: Top à ... John Schlesinger
Hé, hé, merci Manuma !
Bon, rete que comme je le disais précédement, je n'ai pour ma part quasiment vu aucun film de John Schlesinger !
Uniquement "The Belivers", que j'ai trouvé très sympa, et "The Falcon and the Snowman", que j'ai par contre trouvé très décevant.
"Marathon man" et "Midnight cowboy", bref, ses 2 films les plus réputés, trainent sur mes étagères mais je ne les ai pas encore visioné.
Voilà 2 films pourrait cependent probablement remonter la quote d'un cinéaste ayant l'air au premier abord bien impersonnel !

Bon, rete que comme je le disais précédement, je n'ai pour ma part quasiment vu aucun film de John Schlesinger !

Uniquement "The Belivers", que j'ai trouvé très sympa, et "The Falcon and the Snowman", que j'ai par contre trouvé très décevant.
"Marathon man" et "Midnight cowboy", bref, ses 2 films les plus réputés, trainent sur mes étagères mais je ne les ai pas encore visioné.
Voilà 2 films pourrait cependent probablement remonter la quote d'un cinéaste ayant l'air au premier abord bien impersonnel !
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Re: Top à ... John Schlesinger
]Terminus (1961) : Pas vu.
A Kind of Loving (1962) : XX Film intelligent sur la mariage "forcé" d'une jeune fille enceinte. dans la droite ligne des films de Karel Reisz/Tony Richardson de l'époque.
Billy Liar (1963) : XXX pas loin du chef d'oeuvre. le tandem Tom Courtenay/Julie Christie est éblouissant
Darling (1965) : XXX - récit cynique et désinvolte sur l'évolution de Julie Christie époustoufflante (elle y a eu un oscar, je crois) partie de rien jusqu'à un mariage avec un noble italien. Flashy mais avec une raison, contrairement à pas mal de films du milieu de 60's
Far from the Madding Crowd (1967) : XXX Adapation de Thomas Hardy sur l'effet que provoque une jeune femme sur 3 hommes. La photode Roeg est superbe, le film est Magnifique!
Midnight Cowboy (1969) : (bizarrement, aucun souvenir)
Sunday Bloody Sunday (1971) : XXX un film choc à plus d'un égard. Si l'on oublie la scène du baiser qui focalise les historiens, le film est un constat assez amer sur les relations entre adultes. La réal de Schlesinger est moins percutante que dans la décade précédente mais le côté glacial et Glenda Jackson expliquent cela.
Visions of Eight (1973) (segment "The Longest") : Pas vu.
The Day of the Locust (1975) : XX ambitieux mais parteillement raté du fait d'un récit trop long et trop alambiqué. Mais toujours aussi désabusé.
Marathon Man (1976) :
jamais vu
Yanks (1979) : X ... récit romantique, mais que fout Schlesinger la dedans? J'en ai un souvenir plus qu'anecdotique
Honky Tonk Freeway (1981) : Pas vu.
Separate Tables (1983) (TV) : Remake TV du Delbert Mann. Sans grand interet.
An Englishman Abroad (1983) (TV) : Pas vu.
The Falcon and the Snowman (1985) : X comme manuma.
The Believers (1987) : XX petit thriller efficace et inattendu au milieu des années 80.
Madame Sousatzka (1988) : X Je me souviens d'un lancement franaçis à grand renfort de pub 4 par 3 dans le metro parisien. Capital Cinema y croyait dur comme fer. ce fut un échec public qui provoqua les premier sproblèmes financiers de la société... Quant au film, il vaut surtout pour une Shirley McLaine adroite et cabotine. La caméra s'efface presque devant u numéro d'acteur/
Pacific Heights (1990) : XX là aussi efficace et inattendu de Schlesinger. Mais toute sa fibre sociale s'est envolée au profit d'une oeuvre sans grande persoannalité.
A Question of Attribution (1992) (TV) : Pas vu.
The Innocent (1993) : X Interessant récit d'espionnage paranoiaque mais très académique. Hopkins en agent de la CIA, ça le fait moyen. isabelle R. est sublime.
Cold Comfort Farm (1995) (TV) : XXX Excellent! retour en pleine forme pour ce film TV qui sait s'éloigner de son format pour donner une galerie d'excentriques foutraques très réussie. Kate Beckinsale au top.
Eye for an Eye (1996) : O ouhalalala. les films sur l'autojustice, c'est vraiment pas ma tasse de thé. Reste qu'avec un scénario ultra-manipulateur comme il se doit pour ces machins de droite, Schlesinger tente des seconds personnages (la flic black lesbienne) qui contrebalance l'ambiance réactionnaire du film. Sally Field est excellente, mais où va le film et que souhaite-t-il démonter qu'autre chose qu'un Bronson au féminin? Limite.
The Tale of Sweeney Todd (1998) (TV) : Pas vu.
The Next Best Thing (2000) : X Semi-réussi (ou semi-raté, selon l'humeur). réalisation assez plate mais des interprètes convaincants qui sauvent le "film-thèse" un peu pataud. Mais le sujet était-il trop en avance ou le fait d'avoir madonna (qui s'en sort bien, d'ailleurs) en tete d'affiche a-t-il tué le concept? En tout ca,s un approche intéressante/
A Kind of Loving (1962) : XX Film intelligent sur la mariage "forcé" d'une jeune fille enceinte. dans la droite ligne des films de Karel Reisz/Tony Richardson de l'époque.
Billy Liar (1963) : XXX pas loin du chef d'oeuvre. le tandem Tom Courtenay/Julie Christie est éblouissant
Darling (1965) : XXX - récit cynique et désinvolte sur l'évolution de Julie Christie époustoufflante (elle y a eu un oscar, je crois) partie de rien jusqu'à un mariage avec un noble italien. Flashy mais avec une raison, contrairement à pas mal de films du milieu de 60's
Far from the Madding Crowd (1967) : XXX Adapation de Thomas Hardy sur l'effet que provoque une jeune femme sur 3 hommes. La photode Roeg est superbe, le film est Magnifique!
Midnight Cowboy (1969) : (bizarrement, aucun souvenir)
Sunday Bloody Sunday (1971) : XXX un film choc à plus d'un égard. Si l'on oublie la scène du baiser qui focalise les historiens, le film est un constat assez amer sur les relations entre adultes. La réal de Schlesinger est moins percutante que dans la décade précédente mais le côté glacial et Glenda Jackson expliquent cela.
Visions of Eight (1973) (segment "The Longest") : Pas vu.
The Day of the Locust (1975) : XX ambitieux mais parteillement raté du fait d'un récit trop long et trop alambiqué. Mais toujours aussi désabusé.
Marathon Man (1976) :

Yanks (1979) : X ... récit romantique, mais que fout Schlesinger la dedans? J'en ai un souvenir plus qu'anecdotique
Honky Tonk Freeway (1981) : Pas vu.
Separate Tables (1983) (TV) : Remake TV du Delbert Mann. Sans grand interet.
An Englishman Abroad (1983) (TV) : Pas vu.
The Falcon and the Snowman (1985) : X comme manuma.
The Believers (1987) : XX petit thriller efficace et inattendu au milieu des années 80.
Madame Sousatzka (1988) : X Je me souviens d'un lancement franaçis à grand renfort de pub 4 par 3 dans le metro parisien. Capital Cinema y croyait dur comme fer. ce fut un échec public qui provoqua les premier sproblèmes financiers de la société... Quant au film, il vaut surtout pour une Shirley McLaine adroite et cabotine. La caméra s'efface presque devant u numéro d'acteur/
Pacific Heights (1990) : XX là aussi efficace et inattendu de Schlesinger. Mais toute sa fibre sociale s'est envolée au profit d'une oeuvre sans grande persoannalité.
A Question of Attribution (1992) (TV) : Pas vu.
The Innocent (1993) : X Interessant récit d'espionnage paranoiaque mais très académique. Hopkins en agent de la CIA, ça le fait moyen. isabelle R. est sublime.
Cold Comfort Farm (1995) (TV) : XXX Excellent! retour en pleine forme pour ce film TV qui sait s'éloigner de son format pour donner une galerie d'excentriques foutraques très réussie. Kate Beckinsale au top.
Eye for an Eye (1996) : O ouhalalala. les films sur l'autojustice, c'est vraiment pas ma tasse de thé. Reste qu'avec un scénario ultra-manipulateur comme il se doit pour ces machins de droite, Schlesinger tente des seconds personnages (la flic black lesbienne) qui contrebalance l'ambiance réactionnaire du film. Sally Field est excellente, mais où va le film et que souhaite-t-il démonter qu'autre chose qu'un Bronson au féminin? Limite.
The Tale of Sweeney Todd (1998) (TV) : Pas vu.
The Next Best Thing (2000) : X Semi-réussi (ou semi-raté, selon l'humeur). réalisation assez plate mais des interprètes convaincants qui sauvent le "film-thèse" un peu pataud. Mais le sujet était-il trop en avance ou le fait d'avoir madonna (qui s'en sort bien, d'ailleurs) en tete d'affiche a-t-il tué le concept? En tout ca,s un approche intéressante/
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: Top à ... John Schlesinger
Je n'ai vu que Marathon man mais ce "thriller juif" ( selon les termes de Schlesinger ) suffit à le classer parmi les grands réalisateurs des 70's !
Quel film ! Quel fin !
Quel film ! Quel fin !
Ceci est un P.38, le flingue le moins puissant du monde. Si je te touche avec, c'est même pas dit que je te fasse un troisième téton.


Re: Top à ... John Schlesinger
J'ai effectivement un souvenir mémorable - bien que mointain - de "Marathon Man" qui m'avait beaucoup impressionné, certainement un classique du cinéma des 70s américain. "Macadam Cowboy" m'avait déjà laissé plus indifférent, un film bien fait et bien joué, très dans son époque, mais que j'avais trouvé un brin froid...
Et puis, c'est tout, je n'ai rien vu dans le reste...
Et puis, c'est tout, je n'ai rien vu dans le reste...

Re: Top à ... John Schlesinger
Ah et j'ai bien sûr vu Macadam cowboy ( je ne savais pas que le titre original était Midnight cowboy ) : un film sur les paumés de l'Amérique agréable et triste. Pas renversant.
Ceci est un P.38, le flingue le moins puissant du monde. Si je te touche avec, c'est même pas dit que je te fasse un troisième téton.


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- Localisation : Dans les Carpathes Lyonnaises
Re: Top à ... John Schlesinger
3ème vague Collection FNAC - Cinéma

Tous pareil que le très vieux Z1 US, avec ajout de st-fr pour ce le mater en VO en 5.1

Tous pareil que le très vieux Z1 US, avec ajout de st-fr pour ce le mater en VO en 5.1

Toi t'est un flic..? Non j'uis un con.
Snake Plisken Escape from NY

Snake Plisken Escape from NY
Re: Top à ... John Schlesinger
Tain, Manuma, faut que je me reprenne : j'ai bien évidemment vu et revu Fenêtre sur pacifique, un sacré thriller où on a qu'une envie : défoncer la tête de Michael Keaton à coups de barre de fer 

Ceci est un P.38, le flingue le moins puissant du monde. Si je te touche avec, c'est même pas dit que je te fasse un troisième téton.


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- Enregistré le : sam. sept. 27, 2008 4:09 pm
- Localisation : Tokyo dans les annees 70s, baby! Yeah!
Re: Top à ... John Schlesinger
Au final, pas vu grand chose de Schlesinger
Midnight Cowboy (1969) : Vu pour la derniere fois il y a une vingtaine d'annee. Tres marque.
Un film triste et desabuse qui ne juge jamais ses "heros". Pour moi, le meilleur qualificatif: "boulevard of broken dreams". Excellent.
The Day of the Locust (1975) : Vu il y a encore plus de temps
Malheureusement aucun souvenir. Me le referais bien par curiosite.
Marathon Man (1976) : Adore. Un classique du suspense "hardcover" (adapte de roman). Autant dire qu'un roman comme ca, ne s'adapterait plus comme ca. Quand meme par moment un chtouillat trop complique. Gosse, le "Weisse Engel" me terrifiait plus que le pere fouettard. Excellent.
The Falcon and the Snowman (1985) : Vu au cine. Sur papier, tout avait l'air d'etre bon, mais me suis ennuye. Plus sur pourquoi. Me le referait bien aussi, ne fut-ce que pour comprendre...?
The Believers (1987) : Vu au cine. Tres bon souvenir. Bizarrement, ai l'impression que ca a du veillir. A revoir pour me faire une idee (recente).
Difficile de dire quelle est la period Schlesinger (m...! j'ai les doigts qui collent au clavier ou quoi!!
quel nom!
) qui me botte le plus entre 60s et 80s. Il parvient toujours a sortir au moins un bon projet, voire mieux--un excellent film!
Pas sur que les 90s lui ai reussi par contre.

Midnight Cowboy (1969) : Vu pour la derniere fois il y a une vingtaine d'annee. Tres marque.
Un film triste et desabuse qui ne juge jamais ses "heros". Pour moi, le meilleur qualificatif: "boulevard of broken dreams". Excellent.
The Day of the Locust (1975) : Vu il y a encore plus de temps

Marathon Man (1976) : Adore. Un classique du suspense "hardcover" (adapte de roman). Autant dire qu'un roman comme ca, ne s'adapterait plus comme ca. Quand meme par moment un chtouillat trop complique. Gosse, le "Weisse Engel" me terrifiait plus que le pere fouettard. Excellent.
The Falcon and the Snowman (1985) : Vu au cine. Sur papier, tout avait l'air d'etre bon, mais me suis ennuye. Plus sur pourquoi. Me le referait bien aussi, ne fut-ce que pour comprendre...?
The Believers (1987) : Vu au cine. Tres bon souvenir. Bizarrement, ai l'impression que ca a du veillir. A revoir pour me faire une idee (recente).
Difficile de dire quelle est la period Schlesinger (m...! j'ai les doigts qui collent au clavier ou quoi!!


Pas sur que les 90s lui ai reussi par contre.
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.
Re: Top à ... John Schlesinger

Juste pour signaler la sortie chez FSM du la bande originale de Marathon Man composée par Michael Small, couplée avec celle de The Parallax view du même compositeur.
Re: Top à ... John Schlesinger
Très bonne musique, tendue et presque malsaine.
Avis aux nouveaux forumers, il est parfaitement normal voir de santé publique d'envoyer chier manolito au moins une fois.
Re: Top à ... John Schlesinger
"Far from the Madding Crowd" est un pur chef d'œuvre.