Paul Thomas Anderson
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Paul Thomas Anderson
A l'occasion de la sortie de Boogie Nights en DVD collector, la partie sur Paul Thomas Anderson a été complétée sur Somewhat affected.
Qu'est-ce que vous pensez de ce réalisateur et de son oeuvre ?
Qu'est-ce que vous pensez de ce réalisateur et de son oeuvre ?
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J'aime beaucoup.
Un "Boogie Nights" vraiment excellent, tres belle saga et temoignage d'une epoque.
Un "Magnolia" un peu longuet, mais parfaitement maitrise, avec quelques moments assez exceptionnels (sans parler d'un casting vraiment impeccable).
Et surtout un "Punch Drunk Love" surprenant et rafraichissant (et realise de min de maitre).
Voila pour ceux que j'ai vu.
Un "Boogie Nights" vraiment excellent, tres belle saga et temoignage d'une epoque.
Un "Magnolia" un peu longuet, mais parfaitement maitrise, avec quelques moments assez exceptionnels (sans parler d'un casting vraiment impeccable).
Et surtout un "Punch Drunk Love" surprenant et rafraichissant (et realise de min de maitre).
Voila pour ceux que j'ai vu.
Boogie night fait partie de mes films préférés, Magnolia j'en ai un bon souvenir mais je ne l'ai pas revu depuis la sortie ciné (et puis il ya Julianne Moore
) et punch drunk love j'avais pas accroché au côté bizarre de l'oeuvre (en plus je supporte dificilement Emilie Watson), il faut que je le revoie un de ces jours pour voir si vraiment ça ne passe pas ou si je n'étais pas d'humeur quand je l'ai vu.

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Si c'est la scène de la glace, Anderson a expliqué qu'il trouvait ça marrant "Mark Wahlberg qui joue Eddie Adams qui joue Dirk Diggler qui joue Robert De Niro qui joue Jack La Motta qui joue qui Marlon Brando qui joue du Shakespeare".Buralo66 a écrit :Anderson se la joue un peu trop Scorsese, frôlant le plagiat sur certains plans.
Je dirais long et maîtrisé.Buralo66 a écrit :Magnolia plutôt chiant, et surtout extrèmement prétentieux.
Moyennement aimé Boogie Nights, trop sous-Scorsese servile, en plus j'ai détesté la logique du dernier plan (bon vous voulez voir sa bite, je vous la montre, ça fait 2 heures que vous attendez que ça, hop). Adoré Magnolia par contre, l'énergie que dégage la première partie, et pourtant c'est aussi très sous-Scorsese par moment... J'aime bien Punch Drunk Love aussi, même si j'ai eu plus de mal à rentrer dans le film.
Salut,
moi j'aime beaucoup Ce gars vraiment trés trés doué et son plus gros défaut est d'en être un peu trop conscient.
Les emprunts stylistiques à Scorcese sont évidents mais il ne s'en cache pas et surtout il à un style et un univers propre qui font que ces figures du style ne font que rajouter du sens à ses propres films (en convoquant les films de Scorcese).
Dès son premier film, Hard Eight (1996), il est également écrivain du scénario et collabore déja avec Jon Brion (musique) et Robert Elswit (photographie). On y sent déja la patte d'un réalisateur à part, doté d'un univers et de thèmes reconnaissables et qui évolueront au fur et à mesure de sa carrière.
Le sujet et le traitement sont originaux et virtuose, même si plus proche d'une production classique que ses futures oeuvres.
Avec Boogie Nights (1997), il deviendra également producteur de ses films de façon à mieux pouvoir les contrôler. Son ambition et son talent unique y éclateront vraiment et si le grand public ne réagit pas forcément, les critiques même négatifs seront bien obligés de reconnaître les qualités de cinéaste et de scénariste vraiment évidentes de notre homme. Il signe donc une véritable fresque de 152 minutes contenant un nombre impressionnant de rôles parlants et étoffés, qu'il maîtrisera de façon étonnante.
Il y développera aussi un sens de l'humour réellement désopilant, saura rester prude et ce malgré un sujet très scabreux qui aurait pu donner lieu à des dérapages avec un cinéaste moins concerné par son histoire et ses personnages (l'industrie du film pornographique dans les années 70).
Sa mise en scène très aérienne et musicale est époustouflante de maîtrise et de justesse, malgré le fait que certains l'aient qualifiée de tape à l'oeil (alors qu'il n'en est rien).
Il confirmera toutes ces qualités et nous surpendra encore plus avec Magnolia (1999). On assiste alors à la naissance d'un véritable auteur qui confirme ses thèmes de prédilection (les souffrances intérieures, les relations familiales torturées, le suicide, l'amour, le pathétique de certains personnages) et son talent de surdoué de la mise en scène.
Il gère des personnages plus complexes et plus nombreux que sur Boogie Nights, nous les montre souffrir, refléchir, réagir, aimer, de façon totalement artificielle, maîtrisée et comme Todd Haynes avec Far from Heaven (2002, cf critique), il atteint la vérité et la profondeur des sentiments à travers l'artificialité des personnages, des situations et de la réalisation.
Sa mise en scène est encore plus fluide et évidente malgré son extrême complexité et qui plus est totalement assujetie à la musique du film. Celle-ci revêt d'ailleurs une importance primordiale, exprimant de façon sidérante le ressenti des personnages et J. Brion signe à nouveau un score inoubliable, poignant et touchant (en très étroite collaboration avec P.T Anderson).
Il y confirme également son talent de directeur d'acteurs en obtenant des performances ahurissantes de tous ses interprêtes (habitués ou non), dont Julianne Moore et Tom Cruise qui se révèlent étonnants en tous points. Ses détracteurs s'en donnent bien évidemment à coeur joie, son style étant plus tranché que jamais, mais son film touche le public et malgré ses réticences, une grande partie de la critique.
Il surpendra à nouveau tout le monde (détracteurs et admirateurs) avec Punch-Drunk Love (2002) en signant un petit film d'amour joyeux et intimiste.
Au final, si la légèreté (assumée) du propos et l'absence de sens caché peuvent gêner, ils sont le coeur même du film (l'ivresse de l'amour) et la mine ravie d'Adam Sandler amoureux et pour la première fois de sa vie sûr de lui font plaisir à voir et son adéquation avec une Emily Watson radieuse vous plongeront dans un état second d'euphorie proche de l'ébriété légère.
C'est le but de P.T Anderson qui réussit là parfaitement son coup, et sa performance d'avoir réussi à nous émouvoir de façon différente avec un semblant d'histoire, grâce à ses expérimentations visuelles, sonores, scénaristiques et tout son talent doit être soulignée.
Il ne s'agit certes pas d'un film grand public (comme toutes les oeuvres expérimentales), mais d'une oeuvre exigeante malgré son vide apparent, qui impose définitivement P.T Anderson parmi les plus grands.
Stefan
moi j'aime beaucoup Ce gars vraiment trés trés doué et son plus gros défaut est d'en être un peu trop conscient.
Les emprunts stylistiques à Scorcese sont évidents mais il ne s'en cache pas et surtout il à un style et un univers propre qui font que ces figures du style ne font que rajouter du sens à ses propres films (en convoquant les films de Scorcese).
Dès son premier film, Hard Eight (1996), il est également écrivain du scénario et collabore déja avec Jon Brion (musique) et Robert Elswit (photographie). On y sent déja la patte d'un réalisateur à part, doté d'un univers et de thèmes reconnaissables et qui évolueront au fur et à mesure de sa carrière.
Le sujet et le traitement sont originaux et virtuose, même si plus proche d'une production classique que ses futures oeuvres.
Avec Boogie Nights (1997), il deviendra également producteur de ses films de façon à mieux pouvoir les contrôler. Son ambition et son talent unique y éclateront vraiment et si le grand public ne réagit pas forcément, les critiques même négatifs seront bien obligés de reconnaître les qualités de cinéaste et de scénariste vraiment évidentes de notre homme. Il signe donc une véritable fresque de 152 minutes contenant un nombre impressionnant de rôles parlants et étoffés, qu'il maîtrisera de façon étonnante.
Il y développera aussi un sens de l'humour réellement désopilant, saura rester prude et ce malgré un sujet très scabreux qui aurait pu donner lieu à des dérapages avec un cinéaste moins concerné par son histoire et ses personnages (l'industrie du film pornographique dans les années 70).
Sa mise en scène très aérienne et musicale est époustouflante de maîtrise et de justesse, malgré le fait que certains l'aient qualifiée de tape à l'oeil (alors qu'il n'en est rien).
Il confirmera toutes ces qualités et nous surpendra encore plus avec Magnolia (1999). On assiste alors à la naissance d'un véritable auteur qui confirme ses thèmes de prédilection (les souffrances intérieures, les relations familiales torturées, le suicide, l'amour, le pathétique de certains personnages) et son talent de surdoué de la mise en scène.
Il gère des personnages plus complexes et plus nombreux que sur Boogie Nights, nous les montre souffrir, refléchir, réagir, aimer, de façon totalement artificielle, maîtrisée et comme Todd Haynes avec Far from Heaven (2002, cf critique), il atteint la vérité et la profondeur des sentiments à travers l'artificialité des personnages, des situations et de la réalisation.
Sa mise en scène est encore plus fluide et évidente malgré son extrême complexité et qui plus est totalement assujetie à la musique du film. Celle-ci revêt d'ailleurs une importance primordiale, exprimant de façon sidérante le ressenti des personnages et J. Brion signe à nouveau un score inoubliable, poignant et touchant (en très étroite collaboration avec P.T Anderson).
Il y confirme également son talent de directeur d'acteurs en obtenant des performances ahurissantes de tous ses interprêtes (habitués ou non), dont Julianne Moore et Tom Cruise qui se révèlent étonnants en tous points. Ses détracteurs s'en donnent bien évidemment à coeur joie, son style étant plus tranché que jamais, mais son film touche le public et malgré ses réticences, une grande partie de la critique.
Il surpendra à nouveau tout le monde (détracteurs et admirateurs) avec Punch-Drunk Love (2002) en signant un petit film d'amour joyeux et intimiste.
Au final, si la légèreté (assumée) du propos et l'absence de sens caché peuvent gêner, ils sont le coeur même du film (l'ivresse de l'amour) et la mine ravie d'Adam Sandler amoureux et pour la première fois de sa vie sûr de lui font plaisir à voir et son adéquation avec une Emily Watson radieuse vous plongeront dans un état second d'euphorie proche de l'ébriété légère.
C'est le but de P.T Anderson qui réussit là parfaitement son coup, et sa performance d'avoir réussi à nous émouvoir de façon différente avec un semblant d'histoire, grâce à ses expérimentations visuelles, sonores, scénaristiques et tout son talent doit être soulignée.
Il ne s'agit certes pas d'un film grand public (comme toutes les oeuvres expérimentales), mais d'une oeuvre exigeante malgré son vide apparent, qui impose définitivement P.T Anderson parmi les plus grands.
Stefan
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Salaud
Putain, ça va me pousuivre pendant longtemps ce truc la hein malgré tout ce que vous vous mettez dans le gueule vous avez la mémoire tenace ici
Bon alors je suis censé casser la tête à tous ceux qui n'aiment pas 2001 juste pour vous faire plaisir (et être fidèle au personnage que vous m'avez crées), je vais avoir un sacré boulot alors
Bon alors Allan, coup de boule pour toi aussi ou non ?
Au fait pour revenir au sujet t'en penses quoi des films de Paul Thomas Anderson ?
Stefan
Ps: attendez que je parles de 2001 sur mon site et je me vengerai

Putain, ça va me pousuivre pendant longtemps ce truc la hein malgré tout ce que vous vous mettez dans le gueule vous avez la mémoire tenace ici

Bon alors je suis censé casser la tête à tous ceux qui n'aiment pas 2001 juste pour vous faire plaisir (et être fidèle au personnage que vous m'avez crées), je vais avoir un sacré boulot alors

Bon alors Allan, coup de boule pour toi aussi ou non ?
Au fait pour revenir au sujet t'en penses quoi des films de Paul Thomas Anderson ?
Stefan
Ps: attendez que je parles de 2001 sur mon site et je me vengerai

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Je dis pas non !cinetudes a écrit :Bon alors Allan, coup de boule pour toi aussi ou non ?
J'adore Magnolia et je suis mitigé sur Punch Drunk Love et sur Boogie Night !cinetudes a écrit :Au fait pour revenir au sujet t'en penses quoi des films de Paul Thomas Anderson ?
Mais comme PT Anderson déchire a la real, je l'estime énormément !
"Comme disait mon ami Richard Nixon, mieux vaut une petite tâche sur la conscience qu'une grosse sur l'honneur. Allez en vous remerciant bonsoir."
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C'est vraiment incroyable. J'ajoute qu'il s'est tapé Estella Warren.cinetudes a écrit :Salut,
moi j'aime beaucoup Ce gars vraiment trés trés doué et son plus gros défaut est d'en être un peu trop conscient.
Les emprunts stylistiques à Scorcese sont évidents mais il ne s'en cache pas et surtout il à un style et un univers propre qui font que ces figures du style ne font que rajouter du sens à ses propres films (en convoquant les films de Scorcese).
Dès son premier film, Hard Eight (1996), il est également écrivain du scénario et collabore déja avec Jon Brion (musique) et Robert Elswit (photographie). On y sent déja la patte d'un réalisateur à part, doté d'un univers et de thèmes reconnaissables et qui évolueront au fur et à mesure de sa carrière.
Le sujet et le traitement sont originaux et virtuose, même si plus proche d'une production classique que ses futures oeuvres.
Avec Boogie Nights (1997), il deviendra également producteur de ses films de façon à mieux pouvoir les contrôler. Son ambition et son talent unique y éclateront vraiment et si le grand public ne réagit pas forcément, les critiques même négatifs seront bien obligés de reconnaître les qualités de cinéaste et de scénariste vraiment évidentes de notre homme. Il signe donc une véritable fresque de 152 minutes contenant un nombre impressionnant de rôles parlants et étoffés, qu'il maîtrisera de façon étonnante.
Il y développera aussi un sens de l'humour réellement désopilant, saura rester prude et ce malgré un sujet très scabreux qui aurait pu donner lieu à des dérapages avec un cinéaste moins concerné par son histoire et ses personnages (l'industrie du film pornographique dans les années 70).
Sa mise en scène très aérienne et musicale est époustouflante de maîtrise et de justesse, malgré le fait que certains l'aient qualifiée de tape à l'oeil (alors qu'il n'en est rien).
Il confirmera toutes ces qualités et nous surpendra encore plus avec Magnolia (1999). On assiste alors à la naissance d'un véritable auteur qui confirme ses thèmes de prédilection (les souffrances intérieures, les relations familiales torturées, le suicide, l'amour, le pathétique de certains personnages) et son talent de surdoué de la mise en scène.
Il gère des personnages plus complexes et plus nombreux que sur Boogie Nights, nous les montre souffrir, refléchir, réagir, aimer, de façon totalement artificielle, maîtrisée et comme Todd Haynes avec Far from Heaven (2002, cf critique), il atteint la vérité et la profondeur des sentiments à travers l'artificialité des personnages, des situations et de la réalisation.
Sa mise en scène est encore plus fluide et évidente malgré son extrême complexité et qui plus est totalement assujetie à la musique du film. Celle-ci revêt d'ailleurs une importance primordiale, exprimant de façon sidérante le ressenti des personnages et J. Brion signe à nouveau un score inoubliable, poignant et touchant (en très étroite collaboration avec P.T Anderson).
Il y confirme également son talent de directeur d'acteurs en obtenant des performances ahurissantes de tous ses interprêtes (habitués ou non), dont Julianne Moore et Tom Cruise qui se révèlent étonnants en tous points. Ses détracteurs s'en donnent bien évidemment à coeur joie, son style étant plus tranché que jamais, mais son film touche le public et malgré ses réticences, une grande partie de la critique.
Il surpendra à nouveau tout le monde (détracteurs et admirateurs) avec Punch-Drunk Love (2002) en signant un petit film d'amour joyeux et intimiste.
Au final, si la légèreté (assumée) du propos et l'absence de sens caché peuvent gêner, ils sont le coeur même du film (l'ivresse de l'amour) et la mine ravie d'Adam Sandler amoureux et pour la première fois de sa vie sûr de lui font plaisir à voir et son adéquation avec une Emily Watson radieuse vous plongeront dans un état second d'euphorie proche de l'ébriété légère.
C'est le but de P.T Anderson qui réussit là parfaitement son coup, et sa performance d'avoir réussi à nous émouvoir de façon différente avec un semblant d'histoire, grâce à ses expérimentations visuelles, sonores, scénaristiques et tout son talent doit être soulignée.
Il ne s'agit certes pas d'un film grand public (comme toutes les oeuvres expérimentales), mais d'une oeuvre exigeante malgré son vide apparent, qui impose définitivement P.T Anderson parmi les plus grands.
Stefan
sinon il y en a d'autres qui on vu HARD EIGHT ?
j'ai jamais pris le temps de matter mon dvd !
sinon perso j'avais bien aimé BOOGIE NIGHTS à sa sortie -jamais revu-, mais c'est MAGNOLIA qui me la rendu plus que sympathique. J'adore la structure du film, l'hyperventilation du récit, le flot de perso, les acteurs... j'ai du le voir 5 ou 6 fois depuis sa sortie.
J'avoue par contre ne pas avoir été sensible à son projet PUNCH DRUNK LOVE qui m'a laissé un goût de trop rien avec sa fantaisie diaphane qui sent la naphta.
j'ai jamais pris le temps de matter mon dvd !
sinon perso j'avais bien aimé BOOGIE NIGHTS à sa sortie -jamais revu-, mais c'est MAGNOLIA qui me la rendu plus que sympathique. J'adore la structure du film, l'hyperventilation du récit, le flot de perso, les acteurs... j'ai du le voir 5 ou 6 fois depuis sa sortie.
J'avoue par contre ne pas avoir été sensible à son projet PUNCH DRUNK LOVE qui m'a laissé un goût de trop rien avec sa fantaisie diaphane qui sent la naphta.
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- Enregistré le : dim. mai 02, 2004 3:57 pm
- Localisation : The Oniric Quest of the Unknown Kadath
Oui moi je l'ai vu et honnêtement c'est vaut pas Magnolia... Scénario pas très interessant (histoire d'arnaque à Las Vegas), mise en scène qui se cherche un peu... Sinon un putain de casting et deux trois persos sympas. Ca se laisse voir mais y a rien de transcendant...Haribo a écrit :sinon il y en a d'autres qui on vu HARD EIGHT ?
j'ai jamais pris le temps de matter mon dvd !
Sinon pour le reste de sa filmo, j'aime assez Boogie Nights, j'adore Magnolia et je hais intégralement et de tout mon être Punch-Drunk Love... Voilà.
http://www.chuckpalahniuk.net
Mon avatar : Jacek Yerka, dessinateur de génie.
"Mais qu'importe, que le vent m'emporte, nourrir les bêtes et les cloportes. Ce sera bien là de toute une vie, le seul contrat bien rempli." Mano Solo
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