Until Death (Van-damme 2007) de Simon Fellows
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
Critique (obective?) de jeanclaudevandamme.fr:
Critique
La dualité, la rédemption... Deux thèmes essentiels et récurrents dans la filmographie d’un acteur en renouvellement constant depuis vingt ans. Deux thèmes fondamentaux qui se télescopent et se complètent d’un film à l’autre. Double Impact, Timecop, Risque maximum, Replicant, In Hell, L’Empreinte de la mort, pour le personnage principal double (Van Damme s’est d’ailleurs frotté au jeu dangereux de la gémellité à plusieurs reprises). Full Contact, Timecop, Mort subite, Légionnaire, Inferno, Replicant, In Hell, The Hard Corps pour la rédemption… A ces deux listes vient aujourd’hui s’ajouter Until death, le nouvel opus d’une star plus que jamais encline à effectuer une autocritique lucide sur sa vie et son œuvre. L’on voit tout de suite ce qui, dans ce personnage de flic en perdition, alcoolique et drogué, délaissant sa femme enceinte, a pu plaire à un acteur lui-même longtemps à la dérive. Van Damme se livre totalement, se met à nu (au propre comme au figuré, d’ailleurs), et incarne magnifiquement son personnage, véritable zombie aux traits marqués par la souffrance à qui une seconde chance est offerte. Cette seconde chance, que réclame l’acteur, c’est Simon Fellows qui la lui offre sur un plateau. Un inconnu, ce Fellows ? Pas tout à fait, puisqu’il s’agit du metteur en scène douteux de 7 Seconds et Ultime menace, ici subitement atteint par la grâce qui faisait tant défaut à aux deux films cités. En dépit d’une gestion de l’espace parfois laborieuse notamment dans les scènes d’action, et d’un budget limité, le cinéaste épure sa mise en scène au fur et à mesure que le film avance, la débarrasse de ses tics les plus agaçants, collant de plus en plus à son personnage principal. Résumons : un scénario de Dan Harris (X-Men 2, Superman Returns), un metteur en scène en progrès constant, un acteur principal qui éclipse littéralement ses partenaires, ingrédients auxquels ont peut ajouter d’excellents seconds rôles (dont Adam Leese qui nous a accordés une intervie) et une très belle bande originale… Pas de doute, Until Death s’impose d’emblée comme le meilleur film de Van Damme depuis des années. Un film carré, incroyablement émouvant, dans lequel l’acteur livre une performance digne de celles de Replicant, In Hell ou L’Empreinte de la mort. Autant le dire tout de suite : ça fait vraiment plaisir !
Critique
La dualité, la rédemption... Deux thèmes essentiels et récurrents dans la filmographie d’un acteur en renouvellement constant depuis vingt ans. Deux thèmes fondamentaux qui se télescopent et se complètent d’un film à l’autre. Double Impact, Timecop, Risque maximum, Replicant, In Hell, L’Empreinte de la mort, pour le personnage principal double (Van Damme s’est d’ailleurs frotté au jeu dangereux de la gémellité à plusieurs reprises). Full Contact, Timecop, Mort subite, Légionnaire, Inferno, Replicant, In Hell, The Hard Corps pour la rédemption… A ces deux listes vient aujourd’hui s’ajouter Until death, le nouvel opus d’une star plus que jamais encline à effectuer une autocritique lucide sur sa vie et son œuvre. L’on voit tout de suite ce qui, dans ce personnage de flic en perdition, alcoolique et drogué, délaissant sa femme enceinte, a pu plaire à un acteur lui-même longtemps à la dérive. Van Damme se livre totalement, se met à nu (au propre comme au figuré, d’ailleurs), et incarne magnifiquement son personnage, véritable zombie aux traits marqués par la souffrance à qui une seconde chance est offerte. Cette seconde chance, que réclame l’acteur, c’est Simon Fellows qui la lui offre sur un plateau. Un inconnu, ce Fellows ? Pas tout à fait, puisqu’il s’agit du metteur en scène douteux de 7 Seconds et Ultime menace, ici subitement atteint par la grâce qui faisait tant défaut à aux deux films cités. En dépit d’une gestion de l’espace parfois laborieuse notamment dans les scènes d’action, et d’un budget limité, le cinéaste épure sa mise en scène au fur et à mesure que le film avance, la débarrasse de ses tics les plus agaçants, collant de plus en plus à son personnage principal. Résumons : un scénario de Dan Harris (X-Men 2, Superman Returns), un metteur en scène en progrès constant, un acteur principal qui éclipse littéralement ses partenaires, ingrédients auxquels ont peut ajouter d’excellents seconds rôles (dont Adam Leese qui nous a accordés une intervie) et une très belle bande originale… Pas de doute, Until Death s’impose d’emblée comme le meilleur film de Van Damme depuis des années. Un film carré, incroyablement émouvant, dans lequel l’acteur livre une performance digne de celles de Replicant, In Hell ou L’Empreinte de la mort. Autant le dire tout de suite : ça fait vraiment plaisir !
Re: Until Death (Van-damme 2007) de Simon Fellows
Il semblerait que ce film sortira le 22 juillet 2008 en DVD et en Blu-ray en France !
"Fuck The World", Rambo
Re: Until Death (Van-damme 2007) de Simon Fellows
Chez quel éditeur, stp??arioch a écrit :Il semblerait que ce film sortira le 22 juillet 2008 en DVD et en Blu-ray en France !
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Re: Until Death (Van-damme 2007) de Simon Fellows
Studio Canal.
Je comprends pas trop que le studio se lance dans le Blu-Ray avec un titre comme ça mais bon, c'est eux qui gèrent...
Honnetement, le film est vraiment pas top. JCVD nous offre là une performance très moyenne car bien trop stéréotypée. Pendant la première moitié du film, le mec est méchant alors il ne soutient pas ses potes et attrape les filles en levrette. Durant la seconde moitié, c'est la rédemption avec un JCVD tout gentil, qui aime ses collègues, répare ses erreurs et fait des bisous à tout le monde... Mouaip. On s'emmerde pas mais bien souvent, on sourit devant la naiveté touchante voire grotesque de la chose. Je ne pense pas que c'était là l'objectif et pourtant, il n'y a guère que ça qui en ressort...
Je comprends pas trop que le studio se lance dans le Blu-Ray avec un titre comme ça mais bon, c'est eux qui gèrent...
Honnetement, le film est vraiment pas top. JCVD nous offre là une performance très moyenne car bien trop stéréotypée. Pendant la première moitié du film, le mec est méchant alors il ne soutient pas ses potes et attrape les filles en levrette. Durant la seconde moitié, c'est la rédemption avec un JCVD tout gentil, qui aime ses collègues, répare ses erreurs et fait des bisous à tout le monde... Mouaip. On s'emmerde pas mais bien souvent, on sourit devant la naiveté touchante voire grotesque de la chose. Je ne pense pas que c'était là l'objectif et pourtant, il n'y a guère que ça qui en ressort...
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Re: Until Death (Van-damme 2007) de Simon Fellows
Bien apprécié pour ma part, à ma grande surprise. Je n'en attendais pas grand chose et bon, je n'ai pas vu le To cité ci-dessus (et je ne le verrai pas de si To
). Mais force est de reconnaitre que JCVD est assez crédible en bad cop noyé d'héroïne et d'alcool. Pas de coups de tatane, un histoire de rédemption assez classique, avec un scénario un poil plus classieux qu'à son habitude. En tous cas, nettement plus travaillé que ses dernières tentatives DTV. Et je ne rejoins pas le Xav sur le coup de son interprétation, plutot bien calibrée, au contraire.
Pas vu les précédents films de Fellows mais là pour le coup, ça me fait envie. Si on passe les effets faciles de caméras pivotant à 180° sur son axe, la mise en scène est nerveuse dans les gunfights (le shoot-out dans la hangar bulgare, pas mal) et même les scènes d'exposition offrent un dynamisme inattendu. Et la majorité de l'interprétation est quand même au-dessus de la moyenne... je me disais pendant le film qu'il aurait largement pu sortir au cinéma vu le niveau global du produit. Rien de révolutionnaire, mais un polar honorable - parfois dépourvu de scènes d'action, focalisé sur le psychologique.. curieux pour un JCVD.
Bien rester au bout du générique pour avoir une explication complémentaire à l'intrigue.
Une co-production Millenium avec son ancien producteur Moshe Diamant (Timecop, Sudden Death...) de bonne facture. Avec un Scope un peu passe-partout... mais un film qui ne fait pas fauché et dont le tournage majoritaire en Bulgarie ne se voit pas trop...
Sur le DVD studio canal, over-bradé à 0.79€ chez Noz Evreux, où ça sent la fin de règne (bon en règle générale, c'est la déprime totale chez Noz mais quand j'y suis allé samedi, il y avait de quoi se tailler les veines
) . 5.1 anglais pleine puissance sur l'action et avec un environnement sonore là aussi bien travaillé.
Par contre, son interview est juste
. JCVD, le vrai.

Pas vu les précédents films de Fellows mais là pour le coup, ça me fait envie. Si on passe les effets faciles de caméras pivotant à 180° sur son axe, la mise en scène est nerveuse dans les gunfights (le shoot-out dans la hangar bulgare, pas mal) et même les scènes d'exposition offrent un dynamisme inattendu. Et la majorité de l'interprétation est quand même au-dessus de la moyenne... je me disais pendant le film qu'il aurait largement pu sortir au cinéma vu le niveau global du produit. Rien de révolutionnaire, mais un polar honorable - parfois dépourvu de scènes d'action, focalisé sur le psychologique.. curieux pour un JCVD.
Bien rester au bout du générique pour avoir une explication complémentaire à l'intrigue.
Une co-production Millenium avec son ancien producteur Moshe Diamant (Timecop, Sudden Death...) de bonne facture. Avec un Scope un peu passe-partout... mais un film qui ne fait pas fauché et dont le tournage majoritaire en Bulgarie ne se voit pas trop...
Sur le DVD studio canal, over-bradé à 0.79€ chez Noz Evreux, où ça sent la fin de règne (bon en règle générale, c'est la déprime totale chez Noz mais quand j'y suis allé samedi, il y avait de quoi se tailler les veines

Par contre, son interview est juste


Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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Re: Until Death (Van-damme 2007) de Simon Fellows
Tu aurais dû t'offrir le dvd de "Vatanen" pour te remonter le moralSuperwonderscope a écrit :Sur le DVD studio canal, over-bradé à 0.79€ chez Noz Evreux, où ça sent la fin de règne (bon en règle générale, c'est la déprime totale chez Noz mais quand j'y suis allé samedi, il y avait de quoi se tailler les veines) .

On doit être les clients les plus fidèles de Noz Evreux
