Les cavaliers de l'apocalypse - Jonas Akerlund (2009)
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Les cavaliers de l'apocalypse - Jonas Akerlund (2009)
Titre US : Horsemen
Le réalisateur des deux derniers films consacrés aux denrières tournées de Madonna entame pour Platinum Dunes (la société resposnable des remakes d'Amityville, de The Hitcher, de Massacre à la tronçonneuse et sa préquelle) le tournage d'un thriller un chouia horrifique.
Il s'agit d'un détective (Dennis Quaid) enquetant sur des meurtres inspirés par les méfaits des 4 Cavaliers de l'Apocalypse. Ecrit par Dave Callaham (Doom).
avec Zhang Ziyi, Lou Taylor Pucci, Clifton Collins Jr. , Patrick Fugit, Barry Shabaka Henley, Neil McDonough, Peter Stormare.
Sortie début 2008.
Le réalisateur des deux derniers films consacrés aux denrières tournées de Madonna entame pour Platinum Dunes (la société resposnable des remakes d'Amityville, de The Hitcher, de Massacre à la tronçonneuse et sa préquelle) le tournage d'un thriller un chouia horrifique.
Il s'agit d'un détective (Dennis Quaid) enquetant sur des meurtres inspirés par les méfaits des 4 Cavaliers de l'Apocalypse. Ecrit par Dave Callaham (Doom).
avec Zhang Ziyi, Lou Taylor Pucci, Clifton Collins Jr. , Patrick Fugit, Barry Shabaka Henley, Neil McDonough, Peter Stormare.
Sortie début 2008.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: Horsemen - Jonas Akerlund (2007)
Toujours pas sorti ? Quelqu'un a plus d'info ? J'avais bien aimé la précédente fiction de ce Jonas Akerlund et j'avoue que ce nouveau projet m'intrigue beaucoup.
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Re: Horsemen - Jonas Akerlund (2007)
pas mal de problèmes de retard sur le film. Il était au marché du film à Cannes l'année dernière et s'apprete à sortir en mars 2009 aux USa, il me semble. Rien chez nous à ce jour.
Il sort pourtant en Italie le mois prochain;
le site :
http://www.teamworld.it/thehorsemen/
Il sort pourtant en Italie le mois prochain;
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Re: Horsemen - Jonas Akerlund (2007)
Ce thriller horrifique sortira au cinéma le 1er avril en France sous le titre "LES CAVALIERS DE L'APOCALYPSE" !
Interdit aux moins de 16 ans

Le film mettra en scène Dennis Quaid, qui interprétera le rôle d'Aidan Breslin, policier, qui, depuis la mort de sa femme, n’est plus aussi proche qu’avant de ses deux jeunes fils, Alex et Sean. Il se trouve soudainement accaparé par une enquête sur des meurtres en série d’une perversité rare qui semblent liés à la prophétie biblique des cavaliers de l’Apocalypse. Le Cavalier blanc est un maître de la tromperie assoiffé de conquête. Le Cavalier rouge est un guerrier rusé, qui sait dresser les hommes les uns contre les autres. Le Cavalier noir est un tyran sombre et manipulateur qui a toujours un coup d’avance. Le Cavalier pâle est un bourreau d’une force surhumaine, déterminé à répandre la mort avec une précision chirurgicale…
Plus l’enquête d’Aidan avance, plus il découvre, horrifié, qu’il semble avoir un lien avec les quatre suspects… Le jeu de piste ne fait que commencer. Quatre Cavaliers. Quatre victimes sans lien apparent entre elles. Quatre secrets...
(Dossier Presse pour le résumé du film)

Interdit aux moins de 16 ans
Le film mettra en scène Dennis Quaid, qui interprétera le rôle d'Aidan Breslin, policier, qui, depuis la mort de sa femme, n’est plus aussi proche qu’avant de ses deux jeunes fils, Alex et Sean. Il se trouve soudainement accaparé par une enquête sur des meurtres en série d’une perversité rare qui semblent liés à la prophétie biblique des cavaliers de l’Apocalypse. Le Cavalier blanc est un maître de la tromperie assoiffé de conquête. Le Cavalier rouge est un guerrier rusé, qui sait dresser les hommes les uns contre les autres. Le Cavalier noir est un tyran sombre et manipulateur qui a toujours un coup d’avance. Le Cavalier pâle est un bourreau d’une force surhumaine, déterminé à répandre la mort avec une précision chirurgicale…
Plus l’enquête d’Aidan avance, plus il découvre, horrifié, qu’il semble avoir un lien avec les quatre suspects… Le jeu de piste ne fait que commencer. Quatre Cavaliers. Quatre victimes sans lien apparent entre elles. Quatre secrets...
(Dossier Presse pour le résumé du film)

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Re: Horsemen - Jonas Akerlund (2007)
et Zhang Zihi à poil, j'espère ?
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Re: Horsemen - Jonas Akerlund (2007)
Jolie sortie (de route) pour le film : 183 entrées sur Paris aux deux premières séances
. Va falloir se dépêcher pour le voir en salles (il y a 81 copies/France)

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Re: Horsemen - Jonas Akerlund (2007)
Des cavaliers au pas: 23 000 entrées France, soit une moyenne anémique d'environ 270 entrées/copie.
L'écurie n'est pas loin.
L'écurie n'est pas loin.
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Re: Horsemen - Jonas Akerlund (2007)
Malgré une forme, un rythme et un déroulement très téléfilm, un scénario en fin de compte assez passionnant, assorti de retournement de situation dès le milieu du métrage, ce qui est rare en ces temps de twist uniquement final. Et les situations ne reculent pas devant une horreur physique et psychologique très frontale.
Les personnages sont assez bien cernés, quoique classiques là encore. Ils permettent de suivre avec intérêt la progression de l'intrigue, présentation d'un phénomène de société, ici la scarification.
Il est simplement quelque peu dommage que la frilosité d'un certain cinéma US oblige souvent ce genre d'étude à se faire sous les oripeaux du polar. Il y a pourtant tant d'autres contextes sociaux qui permettraient d'illustrer ces cris et appels au secours lancés à une certaine forme de société (cf Noriko' dinner table ou After school).
En tout cas, ce genre de sujet n'a pour moi, au final, rien de fantastique.
Les personnages sont assez bien cernés, quoique classiques là encore. Ils permettent de suivre avec intérêt la progression de l'intrigue, présentation d'un phénomène de société, ici la scarification.
Il est simplement quelque peu dommage que la frilosité d'un certain cinéma US oblige souvent ce genre d'étude à se faire sous les oripeaux du polar. Il y a pourtant tant d'autres contextes sociaux qui permettraient d'illustrer ces cris et appels au secours lancés à une certaine forme de société (cf Noriko' dinner table ou After school).
En tout cas, ce genre de sujet n'a pour moi, au final, rien de fantastique.
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Re: Horsemen - Jonas Akerlund (2007)
Bon j'ai pas bien compris le propos de savoy1, mais je crois que je viens de voir un des meilleurs thriller hollywoodien post Silence des agneaux (me parlez pas de Seven, j'aime pas çà).
Cà n'a pas la perfection formelle teintée de froideur de La secte sans nom (qui est espagnol de surcroit - mais dont la mention n'est pas anodine) ou de The river king (plus un drame fantastique), voir l'efficacité d'un Mindhunters (plus porté sur l'action au final) mais le film est clairement un honnête thriller, bien au-dessus de la moyenne des dernières daubes du genre (The cleaner, Bone collector, Anamorph et autres Intraçable).
Certes ils auraient pu aller plus loin et donner de la classe au métrage en prenant réellement un personnage de père à l'ouest (je demande pas du Bad lieutenant mais çà reste encore trop hollywoodien là-dessus... dans La corde par exemple Eastwood qui avait déjà suivi à peu de chose près la même voie s'en était beaucoup mieux sorti). En tirant un peu moins sur les ficelles du genre aussi, mais cela reste tout à fait acceptable grâce à une vrai ambiance. La grande réussite du film (comme dans le Silence des agneaux) est vraiment parvenir à diffuser un sentiment de malaise. On a quelques scènes surprenantes et déconcertante devant la noirceur des personnages qui nous sont proposés (avec un peu plus de violence on aurait eu un film un peu hors norme qui sort des sentiers battus du film hollywoodien stricto sinsus, hors là Le silence des agneaux est déjà passé par là il y a bien longtemps, et l'impacte est moindre).
Si on a vu les films précités et qu'on est un amateur du genre (toujours une histoire d'exégèse biblique) on se doute assez rapidement de ce qu'il va se passer, mais encore une fois c'est suffisamment bien fait et glauque pour qu'on continue à faire semblant.
Cà n'a pas la perfection formelle teintée de froideur de La secte sans nom (qui est espagnol de surcroit - mais dont la mention n'est pas anodine) ou de The river king (plus un drame fantastique), voir l'efficacité d'un Mindhunters (plus porté sur l'action au final) mais le film est clairement un honnête thriller, bien au-dessus de la moyenne des dernières daubes du genre (The cleaner, Bone collector, Anamorph et autres Intraçable).
Certes ils auraient pu aller plus loin et donner de la classe au métrage en prenant réellement un personnage de père à l'ouest (je demande pas du Bad lieutenant mais çà reste encore trop hollywoodien là-dessus... dans La corde par exemple Eastwood qui avait déjà suivi à peu de chose près la même voie s'en était beaucoup mieux sorti). En tirant un peu moins sur les ficelles du genre aussi, mais cela reste tout à fait acceptable grâce à une vrai ambiance. La grande réussite du film (comme dans le Silence des agneaux) est vraiment parvenir à diffuser un sentiment de malaise. On a quelques scènes surprenantes et déconcertante devant la noirceur des personnages qui nous sont proposés (avec un peu plus de violence on aurait eu un film un peu hors norme qui sort des sentiers battus du film hollywoodien stricto sinsus, hors là Le silence des agneaux est déjà passé par là il y a bien longtemps, et l'impacte est moindre).
Si on a vu les films précités et qu'on est un amateur du genre (toujours une histoire d'exégèse biblique) on se doute assez rapidement de ce qu'il va se passer, mais encore une fois c'est suffisamment bien fait et glauque pour qu'on continue à faire semblant.
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- Localisation : Avec Milla en train de casser du zombie ...
Re: Horsemen - Jonas Akerlund (2007)
vu et très vite oublié à cause d'une fin ridicule et facile à deviner ...
Re: Les cavaliers de l'apocalypse - Jonas Akerlund (2009)
Ce n'est clairement pas la gloire, ces "Cavaliers de l'apocalypse".
Il y a pourtant de bonnes bases. La mise en scène de Jonas Akerlund est plaisante, trouvant un équilibre entre cinémas contemporain et classique, bien adapté à un tel thriller de série B.
La distribution est sympathique, l'ambiance hivernale de Winnipeg (ville canadienne moins vue et revue au cinéma que Vancouver) crée une vraie atmosphère. Bref, un film qui a a priori beaucoup pour lui...
Sauf qu'il repose sur un scénario structurellement faiblard. Terrifié à l'idée de proposer quelque chose d'un peu inédit, Platinum Dune nous ressert sans vergogne de grosses références à "Seven" (la liste de meurtres bibliques) et "Le slience des agneaux" (avec une imitation très pénible de Hannibal Lecter). Tout cela est périmé depuis bien longtemps et ce ne sont pas quelques tortures tarabiscotées à la "Saw" qui vont moderniser la sauce.
Ajoutons à cela que Dennis Quaid incarne un détective bien peu perspicace (la référence biblique "Viens et vois", assez connue, ne percute chez aucun des policiers), que le twist final est effectivement facile à deviner dès le milieu du métrage et que la fin se termine dans le dégoulinant... Bof, un film avec du potentiel, mais qui n'est vraiment pas une réussite à l'arrivée.
Vu sur le bon bluray metropolitan, zoné B, bonne copie HD 1.85, bande son anglaise dts master anglaise solide - sans être spectaculaire. De la bonne HD...
Il y a pourtant de bonnes bases. La mise en scène de Jonas Akerlund est plaisante, trouvant un équilibre entre cinémas contemporain et classique, bien adapté à un tel thriller de série B.
La distribution est sympathique, l'ambiance hivernale de Winnipeg (ville canadienne moins vue et revue au cinéma que Vancouver) crée une vraie atmosphère. Bref, un film qui a a priori beaucoup pour lui...
Sauf qu'il repose sur un scénario structurellement faiblard. Terrifié à l'idée de proposer quelque chose d'un peu inédit, Platinum Dune nous ressert sans vergogne de grosses références à "Seven" (la liste de meurtres bibliques) et "Le slience des agneaux" (avec une imitation très pénible de Hannibal Lecter). Tout cela est périmé depuis bien longtemps et ce ne sont pas quelques tortures tarabiscotées à la "Saw" qui vont moderniser la sauce.
Ajoutons à cela que Dennis Quaid incarne un détective bien peu perspicace (la référence biblique "Viens et vois", assez connue, ne percute chez aucun des policiers), que le twist final est effectivement facile à deviner dès le milieu du métrage et que la fin se termine dans le dégoulinant... Bof, un film avec du potentiel, mais qui n'est vraiment pas une réussite à l'arrivée.
Vu sur le bon bluray metropolitan, zoné B, bonne copie HD 1.85, bande son anglaise dts master anglaise solide - sans être spectaculaire. De la bonne HD...