RIP Roy Ward Baker
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RIP Roy Ward Baker
Roy Ward Baker nous a quitté en ce mois d'octobre à l'age de 93 ans....
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Re: RIP Roy Ward Baker
C'est un grand nom du cinéma d'horreur britannique qui vient de nous quitter. Il n'était plus actif depuis près de 20 ans mais bon...
Filmographique partielle du bonhomme :
http://www.devildead.com/indexdb.php3?F ... Ward+Baker
Pour ceux qui voudraient se replonger dans l'oeuvre du Monsieur, on a tout un tas de chroniques pour des films qui sont majoritairement incontournables :
L'excellent Dr Jekyll and Sister Hyde :


Le très bien roulé Vampire Lovers :


Quatermass and the pit :

Scars of Dracula :

And now the screaming starts :

Asylum :

Les sept vampires d'or :

Filmographique partielle du bonhomme :
http://www.devildead.com/indexdb.php3?F ... Ward+Baker
Pour ceux qui voudraient se replonger dans l'oeuvre du Monsieur, on a tout un tas de chroniques pour des films qui sont majoritairement incontournables :
L'excellent Dr Jekyll and Sister Hyde :


Le très bien roulé Vampire Lovers :


Quatermass and the pit :

Scars of Dracula :

And now the screaming starts :

Asylum :

Les sept vampires d'or :

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Re: RIP Roy Ward Baker
Encore un grand monsieur du cinoche "populaire" et "classique" qui nous quitte...
Un monsieur qui a berce mon enfance cinephilique et fantasticophile. Sur le coup, impossible de dire lequel est son meilleur.
Dernier film en date ( il y a deja quelque temps) The Monster Club (1980); vu dans ma periode "films a sketch" en DVD, un Amicus (je crois), venu sur le tard, dont je n'attendais pas grand'chose, jusqu'au moment ou je vois le nom du real au generique, on commence a y croire, et 90min plus tard, le moment passe fut excellent.
As usual.
Thank you Mr. Baker.


Un monsieur qui a berce mon enfance cinephilique et fantasticophile. Sur le coup, impossible de dire lequel est son meilleur.
Dernier film en date ( il y a deja quelque temps) The Monster Club (1980); vu dans ma periode "films a sketch" en DVD, un Amicus (je crois), venu sur le tard, dont je n'attendais pas grand'chose, jusqu'au moment ou je vois le nom du real au generique, on commence a y croire, et 90min plus tard, le moment passe fut excellent.

As usual.
Thank you Mr. Baker.

En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.
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Re: RIP Roy Ward Baker
Les films cités de ce môssieur sont très réussis, sauf...le dernier! 

Attention: message incompréhensible et cryptique...
Re: RIP Roy Ward Baker
Un solide pro du cinéma anglaise souvent injustement déconsidéré à mon sens, même par les exégètes de l'épouvante gothique. Et aussi une longue carrière au service du cinéma anglais sous des aspects variés. Ceux que je me souviens avoir vu...
# 1967 : Les Monstres de l'espace (Quatermass and the Pit) : son grand classique de la Hammer, celui qui fait sans doute le plus l'unanimité chez les amateurs. 8/10
# 1970 : The Vampire Lovers : parfois mal considéré, mais à mon sens, une vraie réussite du cinéma vampirique, avec une belle ambiance, un pas conséquent vers l'érotisme, mais sans vulgarité, ni mauvais goût, une excellente distribution, grand rôle d'Ingrid Pitt. 8/10
# 1970 : Les Cicatrices de Dracula (Scars of Dracula) : même le savoir-faire de Baker ne suffit pas à sauver une série en pleine déconfiture, avec un scénario maigrichon et purement prétexte. 5/10
# 1971 : Dr. Jeckyll et sister Hyde (Dr. Jekyll and Sister Hyde) : on repart sur des bases saines avec un autre grand film de la Hammer, qui ne laisse jamais sentir aucune contrainte d'argent, et avec un excellent tandem de vedettes. 8/10
# 1973 : And Now the Screaming Starts! Certes, cette histoire de fantômes souffre d'un titre à la fois vague et kitsch. Oui, cette histoire de vengeance surnaturelle laisse planer un parfum de déjà vu. Mais néanmoins, l'ambiance est réussi, la narration est cohérente, c'est du solide ! 7/10
# 1974 : Les 7 Vampires d'or (The Legend of the 7 Golden Vampires) : je fais partie des rares fans. Un objet un peu absurde, certes, mais aussi un grand spectacle, bondissant, avec de vraies images marquantes (la chevauchée des zombies par exemple) et un divertissement garanti ! 7/10
# 1980 : Le Club des monstres (The Monster Club) : du cinéma gothique en fin de vie, un peu pathétique dans une certaine mesure, avec des interludes musicaux qui sentent un essai de rajeunissement aux forceps - et qui ne dupe personne. Mais tout de même un bon petit moment, encore. 6/10
# 1967 : Les Monstres de l'espace (Quatermass and the Pit) : son grand classique de la Hammer, celui qui fait sans doute le plus l'unanimité chez les amateurs. 8/10
# 1970 : The Vampire Lovers : parfois mal considéré, mais à mon sens, une vraie réussite du cinéma vampirique, avec une belle ambiance, un pas conséquent vers l'érotisme, mais sans vulgarité, ni mauvais goût, une excellente distribution, grand rôle d'Ingrid Pitt. 8/10
# 1970 : Les Cicatrices de Dracula (Scars of Dracula) : même le savoir-faire de Baker ne suffit pas à sauver une série en pleine déconfiture, avec un scénario maigrichon et purement prétexte. 5/10
# 1971 : Dr. Jeckyll et sister Hyde (Dr. Jekyll and Sister Hyde) : on repart sur des bases saines avec un autre grand film de la Hammer, qui ne laisse jamais sentir aucune contrainte d'argent, et avec un excellent tandem de vedettes. 8/10
# 1973 : And Now the Screaming Starts! Certes, cette histoire de fantômes souffre d'un titre à la fois vague et kitsch. Oui, cette histoire de vengeance surnaturelle laisse planer un parfum de déjà vu. Mais néanmoins, l'ambiance est réussi, la narration est cohérente, c'est du solide ! 7/10
# 1974 : Les 7 Vampires d'or (The Legend of the 7 Golden Vampires) : je fais partie des rares fans. Un objet un peu absurde, certes, mais aussi un grand spectacle, bondissant, avec de vraies images marquantes (la chevauchée des zombies par exemple) et un divertissement garanti ! 7/10
# 1980 : Le Club des monstres (The Monster Club) : du cinéma gothique en fin de vie, un peu pathétique dans une certaine mesure, avec des interludes musicaux qui sentent un essai de rajeunissement aux forceps - et qui ne dupe personne. Mais tout de même un bon petit moment, encore. 6/10