Le metteur en scène de The Man from Elysian fields , Hearts of Darkness, The Mayor of Sunset Strip et Factory Girl vient de décéder samedi à l'age de 47 ans. Un parcours assez atypique, une sorte de refus de compromission a jalonné une carrière hors des sentiers battus. Je n'étais pas spécialement un fan (Man from Elysian Fields m'a laissé de glace, entre autres) mais il avait une indéniable originalité à traiter de sujets assez peu commerciaux...
Il venait de terminer son dernier film, Casino Jack, avec Kevin Spacey et un autre acteur hélas décédé depuis peu, Maury Chaykin.
So long...
R.I.P : George Hickenlooper
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
-
Superwonderscope
- DeVilDead Team
- Messages : 21513
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:09 am
- Localisation : Pyun City
R.I.P : George Hickenlooper
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: R.I.P : George Hickenlooper
Tiens, je ne savais pas non plus pour Maury Chaykin. Hickenhooper, ayant vu pas mal de ses travaux je voulais lui consacrer un top il y a quelques temps, et puis j’ai abandonné l’idée, en disant que ça n’allait pas intéresser grand monde.
Impression générale similaire à celle de Superwondie. Heart of Darkness est un must-see dans la catégorie documentaire-making of. Mais pour le reste, je suis nettement plus réservé. Je le sentais très intéressé par toute la période fin 60-début 70, celle dite de la contre-culture. C’est du moins ce que laisse transparaitre certains sujets de films et documentaires, voire certains choix d’interprètes comme Mick Jagger dans The Man from Elysian Fields. Et bon, cela donnait un peu d’unité et de personnalité à son travail.
Maintenant, je trouvais dans l’ensemble son travail très froid, un peu prétentieux également. Si The Man from Elysian fields, son neo-noir Persons unknown ou son curieux western horrifique Grey Knight – peut-être sa fiction la plus intéressante – ne sont pas sans mérite, le biopic Factory girl est en revanche particulièrement loupé. Faudrait que je revoie The Big Brass ring, à la distribution intéressante (comme d’ailleurs la plupart de ses films).
Impression générale similaire à celle de Superwondie. Heart of Darkness est un must-see dans la catégorie documentaire-making of. Mais pour le reste, je suis nettement plus réservé. Je le sentais très intéressé par toute la période fin 60-début 70, celle dite de la contre-culture. C’est du moins ce que laisse transparaitre certains sujets de films et documentaires, voire certains choix d’interprètes comme Mick Jagger dans The Man from Elysian Fields. Et bon, cela donnait un peu d’unité et de personnalité à son travail.
Maintenant, je trouvais dans l’ensemble son travail très froid, un peu prétentieux également. Si The Man from Elysian fields, son neo-noir Persons unknown ou son curieux western horrifique Grey Knight – peut-être sa fiction la plus intéressante – ne sont pas sans mérite, le biopic Factory girl est en revanche particulièrement loupé. Faudrait que je revoie The Big Brass ring, à la distribution intéressante (comme d’ailleurs la plupart de ses films).